La rareté et la cherté des céréales en Europe commence tant bien que mal à inquiéter l’opinion internationale. Ce déficit est provoqué par un climat peu favorable à la production dans les régions productrices et à leur utilisation abusive dans la fabrication des hydrocarbures. Ce qui inquiète notamment les dirigeants du G20 concernés  (Usa, Mexique, France) qui dans quelque semaines échangeront sur la situation par téléphone.

A partir de ces échanges téléphoniques les trois pays après analyses de la situation devront  porter un jugement sur la situation afin d’envisager une réunion avec les membres du G20 si nécessaire dans la première semaine du mois de septembre et éviter surtout les risques d’embargos qui ne seraient profitable à personne selon Stephane LE FOLL ministre français de l’agriculture. Et comme si la situation n’était pas assez préoccupante, cette situation nécessite une prise de décision rapide et dans l’immédiat.

 

Déficit alimentaire et flambée des prix


Ce déficit alimentaire a débuté par la flambée des  prix qui est passée d’un prix moyen de 88 euros dans les mois précédents à environ 180 euros dans ces dernières semaines et qui continu sans cesse d’augmenter. Pourquoi une telle effervescence  des prix ? Cela se justifierait par l’utilisation de céréale pour la fabrication des hydrocarbures, prenant l’exemple des usa qui utilise 40% de leur production de mais dans ce procédé pour éviter la pollution alors que la population meurt de faim, aussi faudrait  mettre l’accent sur le dérèglement climatique qui a une grande influence dans les grandes régions productrices  comme  le Brésil et l’Algérie qui malgré son bon rendement à  quand même connu une baisse de régime quand aux années précédentes. Cette hausse des prix serait le fruit des marchés financiers qui achète les produits qu’il garde en stock  pour les revendre plus chers en temps de pénurie, une soumission totale au système financier .

Suggestion 

 

Il serait ingénieux pour les grands pays producteurs de  céréale tel que les états unis de diminuer considérablement l’utilisation de céréales dans la fabrication de biocarburant afin de combler le déficit alimentaire qui prévaut ce qui aurait certainement une incidence sur une baisse probable du prix des céréales.