Droite ou Gauche, même combat, la France n’a tiré aucun enseignement des époques troubles des années 40, hier les juifs, aujourd’hui les « Roms » nous avons toujours l’immense besoin de détruire les communautés, qui nous jettent à la figure notre incompétence à gérer des mouvements migratoires et notre peu d’humanité.
Avons-nous réellement constaté un changement de politique en matière de gestion des flux migratoires ? Nous pensons que non et constatons que notre pays, qui se dit « patrie des droits de l’homme » et « terre d’accueil » continue sa chasse aux immigrés et principalement aux communautés « Roms » comme au temps du « sarkozysme. Les vols reprennent de plus belle pour rapatrier des familles de Roms qui pour certains ont trouvé dans cette procédure un bon moyen de s’enrichir sur le dos du peuple Français.
Les incohérences de la gestion de l’immigration continuent de mettre à mal notre budget sans apporter de véritables solutions humanitaires et sociales. Enfin quoi ! Peut-on dans un même temps refouler des familles entières d’européens vers leur pays d’origine et maintenir en vigueur les accords de libre circulation en Europe ? Si on considère que les « candidats » à un retour au pays touchent unitairement 300 euros par adulte et 150 euros par enfant, la porte au bizness frauduleux est toute grande ouverte. La bagatelle de 60.000 € a été déboursée pour le dernier vol, sans compter le coût du vol vers Bucarest en Roumanie où le salaire moyen d’un roumain ne dépasse pas les 200 euros par mois.
Certains habitués, principalement d’origine Roumaine, avec des identités parfois fantaisistes et difficilement contrôlables passent facilement les 443 kms de frontières qui les séparent de la Hongrie, membre de l’espace Schengen. Une fois dans l’espace de libre circulation, ils rejoignent la France en totale liberté, pour en repartir dans quelques mois, tous frais payés, grâce aux dispositions prises par notre gouvernement
Nous pensons donc qu’il est impératif de stopper l’octroi de ces cadeaux financiers encourageant le trafic. Si nous ne sommes pas en mesure de contrôler les frontières de l’espace Schengen, il faut en sortir pour limiter les flux migratoires. Et si nous ne sommes pas capables de surveiller nos frontières, alors il est de notre devoir d’aider toutes ces populations en détresse à s’intégrer dans notre pays.