Adieu …
Une conviction, une idée obsédante …
Une réalité effrayante, hideuse et torturante …
Un monde carcéral qui m’emprisonne,
Entre ses murailles glacées, sanglantes …
Qui me guette … incognito, elle me guette,
Jouit de l’évanescence de mes sentiments,
De l’épanouissement de mes douleurs,
Enterrant mes cris dans une nuée de cacophonies,
Etouffant mes haleines ; Les noyant dans un déluge horrible …
Adieu … Une pensée fatale, inéluctable …
Une blessure incurable, gravée sans remède.
Quoi que je fasse, Elle est toujours là …
M’interdisant toute distraction,
Et menottant mes pieds dans ses chaines froides …
Je me hâte …
Mais elle reste proche, toujours à mes côtés,
Je cours … Mais j’entends encore le son de ses pas lourds,
Ballottant la terre sous mes pieds …
Il me semble que déjà une voix murmure,
Secrètement à mes oreilles : « …Adieu ! »
Des mots touchants et des sentiments ruisselants ! Bravo NadBad pour ces lignes qui m’ont comblé mon besoin littéraire. Vraiment c’est bien écrit ! Continue 😉
C’est beau ! poignant ! on ressent tant de choses en lisant cela ! bravo 🙂
Que de mots!Savants!
vraiment rien à dire,,ça déchire trop,,J’aime cmt t’as décrit le fait que le Adieu t’obsédes et te taquine,,Je c pas pk,j sens comme si j ss entrain d lire un truck à victor hugo,,genre condamné à mort,,Chapeau Le junior Victor Hugo 🙂
Merci beaucoup pour vos mots ! C’est juste des impulsions instantannées 😉