Le désormais célèbre groupe "Hacktiviste" Anonymous, créé en 2007 pour protester contre certaines lois, ou certaines réformes mises en place par les gouvernements des divers pays semble décidément être partout… PIPA, ACTA, SOPA, fermeture de Megaupload ont donné lieu à de nombreuses attaques virtuelles et manifestations réelles dans les rues. Aujourd’hui, divers médias Britanniques rapportent que le gouvernement de Grande-Bretagne a été la cible pendant plusieurs heures des rebelles masqués.
Et pour cause, dimanche matin, les serveurs du site Internet du ministère de l’intérieur Britannique semblaient être surchargés de requêtes. Par conséquent, il était impossible de s’y connecter. Plus tard, l’attaque a bel et bien été revendiquée sur Twitter par Anonymous par le message "Tango Down" signifiant dans le jargon militaire "Cible détruite".
Pourquoi une telle attaque ? Toujours d’après le Twitter officiel Français du groupe, "pour vos projets de surveillance draconienne". Et il est vrai par ailleurs que le gouvernement anglo-saxon prévoyait, et prévoit peut-être toujours actuellement un projet de surveillance globale de la toile. Voir ici
Assez courtois, les Anonymous avaient pourtant prévenu les forces Britanniques d’une potentielle attaque. C’est du moins ce que nous pouvions lire le 4 avril dernier toujours sur la même page Twitter…
Suite à cette attaque, les réactions ont bien entendu été nombreuses… A commencer par un porte-parole du ministère de l’intérieur qui, dans un communique, annonce : "Nous sommes au courant que le ministère de l’intérieur a pu être l’objet de protestations en ligne. On a pris toutes les mesures nécessaires et on surveille la situation de très près".
Enfin, ce projet de loi n’est pas la seule contestation des Anonymous. Récemment, le même gouvernement Britannique prévoit d’installer un dispositif permettant aux services de renseignements électroniques de contrôler les moindres faits et gestes des Internautes. Qui sait? Bientôt, nous ne seront probablement plus les seuls à lire nos mails plus ou moins privés…
[b]In-Q-Tel (IQT ou In-Q-It), à l’origine appelé Peleus (Pélée),
est un fonds américain de capital-investissement à but non
lucratif(!!!) créé et géré par la CIA (Central Intelligence Agency).[/b]
Son siège social se trouve à Arlington en Virginie à proximité
de Washington DC, la capitale des États-Unis.
In-Q-Tel prend des participations stratégiques dans
des entreprises technologiques de pointe, notamment
des startups liées à la collecte, l’analyse et le
traitement de l’information, et donc en lien avec
le renseignement.
Les participations permettent souvent d’avoir un siège
au conseil d’administration et donc de connaître et
de suivre les évolutions technologiques des entreprises.
[b]Comme l’ont dévoilé les Anonymous, Palantir avait pris part
à l’élaboration d’un projet – présenté sous en-tête Palantir –
visant à espionner, attaquer et décrédibiliser Wikileaks
et ses soutiens dans la presse[/b].
Dans cette affaire, Palantir ne s’était certes pas directement
engagée à fournir des solutions offensives, mais « seulement »
ses services d’analyse de données, qui auraient le cas échéant
servi à exploiter des données prélevées dans des circonstances
douteuses, voire illégales.
[b]Palantir occupe aujourd’hui les anciens locaux de [u]Facebook.[/u][/b]
Autre venture capitalist hors normes à s’être penché
sur le berceau de la startup Facebook, Jim Breyer et
son fonds d’investissement Accel Partners.
Au moment de son entrée dans la danse, Breyer, qui est
toujours un membre du conseil d’administration de Facebook,
siégeait à celui de la NVCA, pour National Venture Capital
Association, une organisation rassemblant des fonds
d’investissement spécialisés dans les nouvelles technologies,
aux côtés de Gilman Louie, créateur et premier directeur
d’In-Q-Tel et d’Anita K. Jones, elle aussi membre du
comité d’administration d’In-Q-Tel, et ancienne directrice
du DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency),
l’agence de recherche avancée de la défense américaine.
[b]Peut-on dès lors s’étonner que certains mauvais esprits voient
en Facebook le successeur ou fils spirituel du TIAO, qui aurait
accompli l’exploit d’amener les gens à se ficher eux-mêmes …
avec le sourire ?
Quoi qu’il en soit, nous n’en aurons probablement jamais le cœur
net, si l’on se fie à un récent développement dévoilant la nature
des relations entre la NSA et un autre acteur high-tech, Google,
hors d’atteinte de toute requête FOIA (Freedom of Information Act,
la loi américaine sur la liberté d’information), donc secrètes. [/b]
CISPA, un projet de loi américain sur la cybersécurité …
controversé
Un projet de loi, permettant de favoriser l’échange de
données privées au nom de la cybersécurité, suscite les
craintes des associations.
Bonjour a tous le gouvernement nous ment sur tout !A vous a moi à tout le monde !!et si personne ne fais rien vous et moi nous seront contrôler même chez nous!!!au toilette, dans la douche, chambre à couché!!!voulez vous vraiment être contrôler?que l’ont vous dicte ce que vous devez faire??pourquoi autant de violence ?sans résultat?Il est temps de ce réveiller !!!De ce battre pour nous ,nos enfants , nos parents , et pour tous!Pour regagner notre liberté!!!!tout augmente!pas nos salaire !les politiciens rigoles !et empoche notre argent!!!ou vas tout cette argent?A qui profite tout sa??Les conflit avec d’autre pays ,les armés qui parte pour d’autre pays !Qui paye à votre avis??C’est nous!!!On nous manipules!Ont nous surveille même quand vous prenez le bus !partout des caméras !!!Accepter vous cela,??,Réagissez avant que l’ont vous abrutissent!!