Bayonne en fête avec Alain Afflelou

 

Du 25 au 29 juillet 2012, se dérouleront les 105 éme fêtes de Bayonne. Ces festivités ont vu le jour le 13 juillet 1932 à l’initiative de «  l’aviron Bayonnais » et ont été interrompues de 1940 à 1945 .  

Depuis 1947 le maire de Bayonne confie les clefs de la ville à trois invités vedettes qui les jettent à la population et déclarent ainsi les fêtes ouvertes.

Pour l’occasion la population tout entière s’habille en blanc et rouge avec béret assorti au foulard (Cinta). Pour cinq jours, tous les bayonnais ainsi que les visiteurs seront égaux et feront la fêtes tous ensemble au son des Bandas,  dans les typiques « Bodegas » et respecteront une vieille devise : « tout est permis sauf la casse »

 Cette année, la crise budgétaire à bien failli réduire les festivités et le conseil municipal étudiait la possibilité de faire payer l’accès à la ville  mais c’était sans compter sur le sponsoring  providentiel d’Alain Afflelou qui injecte dans l’organisation des fêtes 2012 pas moins de 500.000 € et pourrait devenir dans les années à venir le principal sponsor du comité des fêtes de Bayonne.

Le programme musical 2012 débutera aux arènes par le concert d’ouverture de « Bénabar » à 21H30 le 25 juillet. Vous vous transformerez ensuite en joyeux « Festayres » (fêtards) et partirez avec votre « Peñas » (groupe d’amis) à la rencontre du « Roi Léon » qui veille sur les festivités et qui apparait au balcon de l’hôtel de ville accompagné par une cour de marionnettes géantes : « le fou – le médecin – la gouvernante – et le chocolatier » Bayonne c’est aussi les lâchers de vachettes dans les rues de la vieille ville et les courses à la cocarde, ou l’on verra des sauteurs effectuer des sauts athlétiques par-dessus les vaches pour y récupérer une cocarde fixée sur les cornes de l’animal.  Suivront ensuite les spectacles de tauromachie dans les arènes romaines et les tournois de pelote, sport très populaire au pays basque. Un défilé  clôturera les fêtes et verra le départ du roi Léon qui retournera dans l’anonymat jusqu’aux prochaines festivités