Suivant un communiqué de « ONR » office of naval research, La « Navy » dispose depuis peu d’un tout nouveau prototype de « Canon Électromagnétique ». Cette arme de guerre extrêmement efficace, permet d’envoyer des masses à des vitesses avoisinant les 9000 km par heure, ce qui en fait une arme efficace à distance puisqu’il ne lui faudrait qu’une minutes pour atteindre un objectif situé à 150 kms


L’énorme avantage de cette technique c’est qu’elle n’a besoin que d’électricité. Pas de charge explosive, pas de produits chimiques. Ceci retire un problème de taille, le stockage qui rend vulnérable les bâtiments de guerre, que se soit en mer ou en l’air. Dans cette technique le projectile est inerte et aucun carburant ou moyen de propulsion n’est nécessaire, jusqu’à une portée envisagée de 185 kms

La course à l’armement continue donc d’accaparer les chercheurs de tous les pays et toujours dans un objectif de destruction. Cela nous amène naturellement à penser si une application civile ne serait pas plus bénéfique au monde d’aujourd’hui. Face à l’obligation de stopper l’emploi du nucléaire dans nos centrales électriques ! Ne serait-il pas judicieux d’employer cette énergie de propulsion à faire tourner des turbines  ou pour faire fonctionner des installations gourmandes en énergie. Ce prototype qui produit une énergie de 32 mégajoules soit 7600 kcal par tir ne peut-il pas permettre des applications civiles ? Il faudrait pour cela que nos politiciens mettent dans leurs programmes prioritaires la recherche sur des énergies nouvelles, non polluantes, et ne risquant pas comme pour « Fukushima » de détruire tout un pays par suite d’événements climatiques que nous ne pouvons pas maitriser. Nous tenons peut-être avec l’électromagnétisme, une source d’énergie, propre, sécurisante et surtout infinie qui devrait inspirer nos chercheurs et déboucher dans quelques décennies sur une solution mondiale à nos problèmes de consommation énergétique. Bien sur il faudrait pour cela que le monde prenne vraiment conscience que notre avenir n’est plus dans la guerre mais dans la capacité des peuples à améliorer leurs conditions de vie et à protéger notre planète qui agonise, de toutes formes de pollution