Bonsoir mes amis lecteurs, ce soir je n’écrirai pas sur la fibromyalgie, mais sur des faits plus graves, ce soir je voudrais vous parler de quelque chose qui me tient à coeur, et qui devrait tous nous interpeller en ce retour du grand froid.

Nous devons encore plus penser aux SDF, aux personnes dans la précarité qui non pas ou plus les moyens de se chauffer et se nourrir convenablement.
Personne ne sait ce que la vie nous réserve, qui sait, demain nous pourrions être les prochains SDF !!!.
Si vous apercevez une personne vivant dans la rue, allez lui parler, un peu la réconforter, mais surtout appelez un des services d’aide sociale,le 115 pour la France, ou le 100 pour la Belgique.
Selon l’INSEE, il y a environ 90.000 sans-abris en France, ils sont difficiles à dénombrer, car les sans-papier et les invisibles sont compliqués à répertorier.
17% d’entre eux sont des femmes, et 20% ont moins de 25 ans.
Parmi les SDF âgés de 16 à 18 ans la proportion de femmes atteint 70% ils  pourraient  être nos enfants.
En France ils y a plusieurs associations d"entre-aide, comme la croix rouge, la fondation Abbé Pierre, les restos du coeur ets..,
Les fondations viennent de lancer un appel d’urgence aux dons, argent, nourriture, couvertures, habits, bonnets,gants ainsi que des manteaux et des vestes chaudes.
Si vous ne savez pas quoi faire de certains de vos vêtements, pensez à ces associations, elles elles rendront des personnes heureuses.
En Belgique c’est le CPAS qui s’occupe des personnes en difficultés pécuniaires.
Vous voulez faire votre bonne action du jour, allez à la rencontre de ces personnes à la nuit tombante, offrez leur un café, une soupe ou de quoi les réchauffer un peu, vous verrez dans leurs regards la plus belle des étoiles qui brillera en remerciement.
Ce soir tout le monde devrait lire et faire passer ce message.
Ayons une très grande pensée pour toutes ces personnes,  tous ces sans-abris qui dormiront dans ce froid glacial et n’auront rien de chaud à boire ou à manger, pensons aussi à tous ceux qui sont dans la détresse.
Merci de m’avoir lu
Eric