L’ancien secrétaire des Nations Unies, le Ghanéen Koffi Anan a déclaré :"la drogue détruit nos sociétés. Elle nourrit la criminalité, répand des maladies comme le sida, tue notre jeunesse et notre avenir". Ces quelques propos témoignent de la gravité de la question. Aujourd’hui, se sont plus de 200 millions de toxicomanes dans le monde. La drogue sous toutes ses formes menacent notre société. En effet, elle est le principal facteur de la criminalité dans le monde. Le trafic ou la possession de drogue est interdit dans la plupart des pays. Ce qui n’entrave en rien la volonté effrénée des toxicomanes de s’en procurer. Ils s’engagent donc dans des voies illégales. Les systèmes judiciaires pas à la hauteur La majorité des systèmes judiciaires de certains pays sont submergés ou s’effondrent sous les affaires liées à la drogue. Egalement, le prix de la drogue étant élevé, ce sont la prostitution, des braquages et les actes de violence sous d’autres formes qui sont commis par les toxicomanes pour obtenir de quoi l’acheter. Le commerce de la drogue est du moins l’un des plus rentables au monde. Ainsi, pour faire circuler librement leur produit, les trafiquants de drogue tentent de corrompre les hauts fonctionnaires ou de les intimider allant parfois à se tailler une armée privée. Cependant, l’énorme quantité d’argent qui en résulte pose un sérieux problème. Ainsi pour palier à toutes actions de poursuite judicaire, ils se servent de certains banquiers ou avocats pour blanchir cet argent.
Les conséquences néfastes sur la société
Les effets de la drogue peuvent conduire un individu à mal se comporter en commettant des crimes ou à se prostituer. Les conséquences du trafic de drogue sont tragiques sur tout le système. Des violences au foyer à la criminalité en passant par la corruption et surtout la propagation de graves maladies doivent emmener les dirigeants à trouver des moyens plus concrets pour lutter contre ce fléau qui s’apparente à une pandémie. La question qui se pose est la suivante : faut-il couper l’offre à la demande ou la demande à l’offre ? Dans tous cas, trouver une solution pratique qui permettrait de réduire la consommation de la drogue serait la bienvenue.
[b]A croire que certaines « zotorités » sont aveugles, sourdes et muettes ?[/b]
Mais ce sont les autorités qui sont derrière le business de la drogue !!!
Normal qu’ils gardent le silence !!!
[b]@Julian,
Non ! c’est pas possibles les « zotorités », eux, là-dedans ? ah! vous me la baillez bien belle, c’est un scoop! ;D
Plus sérieusement, quand les fils et les filles de… y passent, c’est comme assassiner ses propres enfants.[/b]
Malheureusement Zelectron tous le monde n’est pas aussi perspicace que vous pour comprendre aussi vite !!!
Le fléau c’est la prohibition !
http://www.parl.gc.ca/Content/SEN/Committee/371/ille/presentation/oscapella1-f.htm
Comment la prohibition des drogues finance et autrement permet le terrorisme
Mémoire présenté au Comité spécial sur les drogues illicites du Sénat du Canada par
Eugene Oscapella,
B.A., LL.B., LL.M.
Le manque de perspicacité au sujet du lien entre les drogues et le terrorisme et le crime organisé.
[b]Zappiste,
le fléau c’est la police qui ne fait pas son travail (par manque de moyens, de son propre aveu, je n’invente rien)
La permissivité serait une abomination, vous êtes sûr de ce que vous dites ?[/b]
Kofi Annan déplore les ravages des drogues quand elles sont interdites surtout ! Il explique cela clairement dans un manifeste qu’il signe avec beaucoup d’autres sommités ici : http://www.facebook.com/ajax/messaging/attachment.php?attach_id=81b37c80d6722c5fdf9e8a5c09856673&mid=id.228977670520823&ext=1327805980&hash=AQDLYHi_cqKP9P2-
Et oui, comme le dit Zappiste, c’est la prohibition qui est un fléau, les plantes concernées ont toujours été bien gérées par les sociétés depuis la nuit des temps, cela ne fait que très peu de temps (entre 1 siècle et 40 ans) qu’elles posent problème, c’est à dire depuis qu’elles sont interdites…
Zappiste, votre lien est out…
[b]réfléchissez à ce que j’entends par manque de moyens…[/b]