un bon article mais vous n’ave pas renseigné les métadonnées …Indispensable !!

nos contributeurs québecois ne sont pas disciplinés et ne se plient pas aux règles du site ….c’est bien dommageable  pour tout le monde …

faites-le et RENVOYER l’article svp , comme s’il était nouveau… sinon nous ne verrons pas les corrections

 

 

 

Depuis quelques années, les hôpitaux débordent de patients et l’attente pour consulter un médecin est beaucoup trop longue. Le Gouvernement du Québec ne cessent de mettre des mesures en place afin d’améliorer le fonctionnement des hôpitaux, mais les problèmes se font encore sentir. La pénurie de médecins et d’infirmières en est la principale cause.

Le 24 et 25 octobre, un millier de professionnels en santé aborderont ce sujet lors du congrès annuel de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec. En effet, ceux-ci veulent déterminer s’ils devraient abolir la formation collégiale d’infirmerie et obliger l’obtention d’un baccalauréat pour pratiquer ce métier. Tout d’abord, étant donné les conditions actuelles dans les hôpitaux, la formation collégiale d’infirmerie devrait continuer d’exister. En effet, rendre les études des élèves encore plus longues qu’elles le sont actuellement n’est vraiment pas la bonne solution pour régler le problème de la pénurie. Plusieurs étudiant(e)s voulant devenir infirmiers ou infirmières, ainsi que certaines personnes étant déjà dans ce programme d’étude pourraient se désister et opter pour un autre métier. De plus, les cours d’universités sont nettement plus dispendieux que ceux du collège, donc certaines personnes pourraient se retrouver dans une situation financière très précaire.   Ensuite, en obligeant l’obtention d’un baccalauréat, toutes les infirmières seront au même niveau. Cela signifie qu’il faudra déterminer quelqu’un pour faire les tâches les plus faciles, normalement assignées aux infirmières n’ayant qu’un diplôme d’étude collégiale. Certaine infirmières auront donc fait des études obligatoire supérieure mais n’utiliseront pas pleinement leur capacités.  

La pénurie de médecins et d’infirmières est un très gros problème au Québec. Au lieu de vouloir abolir l’étude collégiale pour devenir infirmière et de faire accroître cette pénurie, les professionnels en santé devraient prendre des mesures afin d’améliorer les conditions de travail des infirmières dans les hôpitaux. En effet, plus de personnes désireraient pratiquer ce métier. Bref, Il faudrait ajouter des préposés aux bénéficiaires, ainsi que des infirmières auxiliaires sur le plancher, ce qui aiderait grandement les infirmières. En effet, cela leur permettrait de consacrer tout leur temps ou presque à effectuer des tâches plus complexes qu’elles seules peuvent accomplir. Cela aiderait à régler en partie le problème de la pénurie.

 

 

source: Googlenews et Rdi