Il y avait tes rêves égarés
Sous la lune argentée
Et tes larmes recueillies
Aux crépuscules gris
Dans la nuit noire naissait
Cette mélopée ondulante
Comme une danse galante
N’en finissant jamais
Au dehors, sans cesse,
La pluie, triste princesse,
Imposait, tyrannique,
Sa loi mélancolique
Les promesses rabattues
Par le vent violent
Contre ton cœur à nu
Contre ton être en sang
Mon amour, raconte-moi
Tes douleurs et tes armes
Serre-toi contre moi
Que je sèche tes larmes.
ça serait-y pas une poésie inspirée par la grisaillattitude ambiante et estivale ?
😉 😀 ;D