Le président Israélien Moshé Katzav, tombe en disgrâce est démissionné à cause de son application dans un scandale sexuel, il évite la prison de justesse en faisant un compromis avec la justice.
M. Moshé Katzav, âgé de 61 ans et père de cinq enfants, avait été suspendu en janvier, a sa fonction de président qui avait accédé en 2000. Il dit : « Je souhaite mettre un terme à mon mandat deux semaines en avance et je vous remets pour cette raison ma démission ».
Le compromis, il a reconnu sa responsabilité dans une longue série de délits sexuels, y compris harcèlements et actes indécents contre deux de ses ex-employées, mais l'accusation de viol n'a pas été retenue contre lui !
Selon le conseiller juridique du gouvernement, …/…
…/… M. Mazouz, conclu qu’après que M. Katzav, qui criait son innocence, a fini par « Reconnaître être responsable d’un parti des accusations qui pèsent contre lui ». Il a affirmé que le chef d’inculpation pour viol n’avait pas été retenu « par manque de preuves suffisantes ».
La plaignante dit : « Je suis blessée par ce compromis qui donne la permission aux criminels de s’en prendre aux femmes », « Moshé Katzav a exercé sur mois une terreur physique et morale (…) Il était comme Jeckyll et Hyde, docteur la journée et tueur la nuit. J’ai vu son côté monstrueux ».
M. Mazouz avait indiqué vouloir inculper M. Katzav pour viol, harcèlement sexuel, entrave à la justice et subornation de témoin. Des associations féministes et des victimes d’agressions sexuelles prévoient d’organiser une manifestation de protestations samedi soir à Tel-Aviv.