MUSOKO MBUYI PATRICE
sur 22 septembre 2010 à 11 h 58 min
A notre avis nous pensons qu’il est temps de convoquer rapidement une conférence mondiale sur le terrorisme .cette rencontre va permetre de trouver des solutions face à la ménace du terrorisme dans le monde entier .
MUSOKO MBUYI PATRICE
TEL 00243815023698
Dom22
sur 22 septembre 2010 à 12 h 14 min
Tu te surpasses Christian, dingue que la peur distillée en permanence par notre Gouvernement ne soit pas qualifié de « terrorisme ». 😛
Dom22
hub.
sur 22 septembre 2010 à 16 h 22 min
Bien vu!
Le terrorisme est une vue de l’esprit, selon que l’on soit dans un camp ou dans l’autre. N’oublions pas que l’Allemagne nazi qualifiaient les résistants de « terroristes ».
Le fait qu’effectivement le gouvernement actuel ait un comportement « terroriste » à l’égard de la population qu’il est sensé représenter, prouve bien qu’il n’est pas dans le même camp qu’elle.
Etymologie : du latin terror, terreur. Le mot terrorisme a été utilisé pour la première fois en novembre 1794 pour désigner la « doctrine des partisans de la Terreur » pendant la Révolution Française.
[b]Le terrorisme désigne l’usage de la violence par certaines organisations politiques pour atteindre leurs objectifs : faire pression sur l’État, contraindre une population à l’obéissance, médiatiser une cause, promouvoir une idéologie….[/b]
Le terrorisme peut prendre la forme d’attentats, d’assassinats, d’enlèvements, de sabotages, d’actes d’intimidation, etc. [b]Au-delà des victimes directes, qui sont souvent des civils, le terrorisme cherche à frapper l’opinion publique, à l’intimider, en instaurant un climat de terreur et de peur.[/b]
Un terroriste est celui qui réalise des actes de terrorisme.
Le terrorisme d’État est l’utilisation par un gouvernement de mesures d’exception et d’actes violents à l’encontre d’une partie de ses administrés, sous couvert de raison d’État.
Au sens figuré, le terme terrorisme désigne une attitude d’intimidation, d’intolérance ou des pratiques abusives dans le domaine de l’économie, de la culture, de la mode, etc.
On distingue le terrorisme de la résistance (ou guerre des partisans) qui met en avant un objectif légitime en revendiquant le droit à l’autodétermination des peuples et la lutte contre l’oppression ou contre un envahisseur. Exemple : La Résistance en France pendant l’Occupation allemande, au cours de la Seconde Guerre mondiale.
La distinction est cependant délicate car le terrorisme des uns est souvent le combat pour la liberté des autres.
La guérilla, quant à elle, a des cibles purement militaires et cherche à recueillir le soutien de la population.
« Si on se réfère aux définitions courantes ou explicitement légales du terrorisme, qu’y trouve-t-on ? La référence à un crime contre la vie humaine en violation des lois (nationales ou internationales) y implique à la fois la distinction entre civil et militaire (les victimes du terrorisme sont supposées être civiles) et une finalité politique (influencer ou changer la politique d’un pays en terrorisant sa population civile). »
Jacques Derrida – 1930-2004 – Le Monde diplomatique de février 2004[/i]
Donc c’est confirmé ce gouvernement se rend coupable de terrorisme envers sa population. 😮
A notre avis nous pensons qu’il est temps de convoquer rapidement une conférence mondiale sur le terrorisme .cette rencontre va permetre de trouver des solutions face à la ménace du terrorisme dans le monde entier .
MUSOKO MBUYI PATRICE
TEL 00243815023698
Tu te surpasses Christian, dingue que la peur distillée en permanence par notre Gouvernement ne soit pas qualifié de « terrorisme ». 😛
Dom22
Bien vu!
Le terrorisme est une vue de l’esprit, selon que l’on soit dans un camp ou dans l’autre. N’oublions pas que l’Allemagne nazi qualifiaient les résistants de « terroristes ».
Le fait qu’effectivement le gouvernement actuel ait un comportement « terroriste » à l’égard de la population qu’il est sensé représenter, prouve bien qu’il n’est pas dans le même camp qu’elle.
Source : [url]http://www.toupie.org/Dictionnaire/Terrorisme.htm[/url]
[i]Définition de terrorisme
Etymologie : du latin terror, terreur. Le mot terrorisme a été utilisé pour la première fois en novembre 1794 pour désigner la « doctrine des partisans de la Terreur » pendant la Révolution Française.
[b]Le terrorisme désigne l’usage de la violence par certaines organisations politiques pour atteindre leurs objectifs : faire pression sur l’État, contraindre une population à l’obéissance, médiatiser une cause, promouvoir une idéologie….[/b]
Le terrorisme peut prendre la forme d’attentats, d’assassinats, d’enlèvements, de sabotages, d’actes d’intimidation, etc. [b]Au-delà des victimes directes, qui sont souvent des civils, le terrorisme cherche à frapper l’opinion publique, à l’intimider, en instaurant un climat de terreur et de peur.[/b]
Un terroriste est celui qui réalise des actes de terrorisme.
Le terrorisme d’État est l’utilisation par un gouvernement de mesures d’exception et d’actes violents à l’encontre d’une partie de ses administrés, sous couvert de raison d’État.
Au sens figuré, le terme terrorisme désigne une attitude d’intimidation, d’intolérance ou des pratiques abusives dans le domaine de l’économie, de la culture, de la mode, etc.
On distingue le terrorisme de la résistance (ou guerre des partisans) qui met en avant un objectif légitime en revendiquant le droit à l’autodétermination des peuples et la lutte contre l’oppression ou contre un envahisseur. Exemple : La Résistance en France pendant l’Occupation allemande, au cours de la Seconde Guerre mondiale.
La distinction est cependant délicate car le terrorisme des uns est souvent le combat pour la liberté des autres.
La guérilla, quant à elle, a des cibles purement militaires et cherche à recueillir le soutien de la population.
« Si on se réfère aux définitions courantes ou explicitement légales du terrorisme, qu’y trouve-t-on ? La référence à un crime contre la vie humaine en violation des lois (nationales ou internationales) y implique à la fois la distinction entre civil et militaire (les victimes du terrorisme sont supposées être civiles) et une finalité politique (influencer ou changer la politique d’un pays en terrorisant sa population civile). »
Jacques Derrida – 1930-2004 – Le Monde diplomatique de février 2004[/i]
Donc c’est confirmé ce gouvernement se rend coupable de terrorisme envers sa population. 😮
Dom22