Définissons tout d’abord le terme « délinquance »: la délinquance se caractérise par des infractions renouvelées, sans cesse, du point de vue social tant que du point de vue pénal.
Il y a donc danger pour autrui ainsi que pour les biens matériels d’autrui.
La délinquance peut être réfléchie, avoir une cause, mais on ne peut affirmer qu’un délit est concevable, dans la mesure où celui ci nuit toujours a une personne.
Les jeunes sont les plus « touchés » par la délinquance, c’est l’âge ingrat, l’envie de révolution, de montrer aux « grands » qu’on a un certain pouvoir. On a moins de recul, moins de perspectives que les adultes, et on agit par colère et violence sans réfléchir aux conséquences de ses actes. Et cela motive la répétition d’autres actes de délinquance.
On aura tendance a juger plus sévèrement juridiquement les attaques a l’encontre d’une personne, car celles-ci pourront amener au crime, ou du moins d’abord a porter atteinte a autrui.
Pour plus de la moitié des Français, la délinquance en France a augmenté en plusieurs mois. On reste cependant prudent sur ces faits, car la grande majorité de la population se sent en sécurité et n’a besoin de protection rapprochée. Les constats sont donc corsés du point de vue des arguments a apporter.
Ceux qui ressentent le plus la montée de la délinquance sont les retraités, qui n’assimilent pas ces attitudes a celles de leur jeunesse, car en effet on vivait il y a 60 ans de respect, de dur labeur afin de vivre dans de bonnes conditions, et la guerre avait trop touché les gens pour qu’ils décident d’en rajouter.
La délinquance effraie donc dans la mesure où elle déstabilise les forces de l’ordre, elle apporte un sentiment d’insécurité ainsi que des préjugés souvent non mérités pour les groupes touchés par ces accusations.
La délinquance fut d’abord caractérisée par des violences urbaines, des révoltes en masse, qui furent proliférées a l’échelle tant nationale qu’internationale.
Mais a t’on cherché a comprendre ce mouvement d’émeute? Pourquoi tant de violence?
Des associations ont tenté d’étudier le problème et son contexte, en en venant a la conclusion que les jeunes des banlieues sont délaissés, n’ont pas les mêmes chances que les autres jeunes, dans le milieu scolaire ou,professionnel , ce que stigmatisent les médias en appuyant un peu trop sur les préjugés des jeunes de banlieues. La France essaie de montrer qu’on mène un débat en tentant de trouver des réponses aux diverses interrogations, mais elle garde cependant les jeunes dans un climat de rejet social, ce qui alimente « la montée de la délinquance » en France.