Les énergies fossiles représentent des plaies pour l’environnement. En effet, si on prend l’exemple du pétrole ou du charbon, ce sont des énergies à la fois utiles mais qui induisent beaucoup d’inconvénients: pollution, réchauffement climatique.. L’écologie est alors touchée. Le nucléaire, lui, serait une solution envisageable mais son coût est énorme et on ne sait encore où stocker les déchets nucléaires qui peuvent infecter les sols et par suite, la planète.
 On s’interroge alors sur la possibilité de choisir le gaz naturel comme future énergie. 

 

  Le gaz naturel pourrait donc être l’énergie de demain: avantages: faible coût, peu polluante ou du moins, moins que les autres énergies, et plus accessible.

 La bataille qui fait rage en Norvège relance le débat sur l’approvisionnement énergétique de demain. Pourquoi chercher de nouvelles sources d’énergie quand un combustible fossile permet de réduire les dégagements de gaz toxiques dans l’atmosphère ? Le développement des énergies renouvelables n’est encore que trop confidentiel, car ces énergies génèrent hélas beaucoup de problèmes, à l’échelle mondiale.

 Le gaz naturel pourrait bien effectuer un retour en force sur la scène énergétique mondiale.

   Et pour éviter de souiller la planète plus qu’elle ne l’est déjà, les énergies fossiles polluantes doivent être progressivement abandonnées, en vue de pallier les besoins mondiaux en énergie.

 

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 La Norvège, dépendante des hydrocarbures, a donc remis le gaz sur le devant de la scène. Pour des raisons de compétitivité des prix, et aussi parce que ses réserves sont énormes..
  Combustible fossile présent naturellement dans les roches poreuses, le gaz naturel représente actuellement la troisième source d’énergie après le pétrole et le charbon. Plus propre que les autres combustibles fossiles, le gaz naturel émet par exemple beaucoup moins de dioxyde de soufre, d’azote et de carbone. Son utilisation génère deux fois moins de CO2 que pour le charbon et les rendements des centrales électriques au gaz peuvent être supérieurs de 50 %. De surcroît, ses réserves sont importantes et augmentent au fur et à mesure que de nouvelles techniques d’extraction sont développées, notamment dans les gisements offshores.

   En attendant le déploiement d’une solution alternative à grande échelle, le gaz naturel pourrait bien être la clé..