Jours après Nuits,
S’écoulent les sables du temps.
Laisse les années telles les engrenages
D’une horloge se dérouler
Dans ton esprit, promène tes pas
A travers le temps,
Vers des jours meilleurs.
Les souvenirs, tels des songes
Assèchent le torrent de tes larmes.
Comme les étoiles du firmament,
Les ténèbres ne peuvent t’enlacer.
Illumines la nuit, joie est lumière
Jusqu’à la nouvelle aurore.
Bannis ce vieux masque
Recouvert de mélancolie et rancune.
Et prends ce nouveau visage
Et emprunte-moi ma lumière.
C’est très beau, Edward.
merci!!
Salam ou aleikum Gorgui Edwards…. Nakan ga dëf ?
Sa poème rafetna trop !
Wo salam ak konak bubenene yone
Dominique
dieureudieuf dominique, ma ngui dolli sant rek