Je me décide enfin d’écrire cet article et à le finir après plusieurs tentatives inachevées suite à mon commentaire sur l’article: http://www.come4news.com/nicolas-sarkozy-ne-fait-pas-le-malin-chez-les-sdf-817972 car les critiques postées sur cet article, mais aussi sur de nombreux autres et visant le président de la République me font réagir.
Il y a des problèmes évidents en France certes le président de la République ne fait peut-être pas ce qu’il faut ou pas tout ce qu’il faudrait qu’il fasse. Quoiqu’il arrive il manque à sa tâche, mais qui peut me citer un président Français qui n’a pas failli à sa tâche ? Très peu, voir aucun surtout si l’on se place sur un point de vue de "autre temps, autre moeurs" ou l’on ne peut comparer les époques dans ce cas, mais revenons à de nos jours.
La relation entre la population et le gouvernement se déchire, de graves problèmes apparaissent aux yeux de tous les Français : la crise, le chômage, les retraites, le déficit du pays, le déficit de la sécurité sociale, les SDF…. Logiquement que fait la majorité des gens ? Ils visent le pouvoir et l’accablent de toutes les responsabilités de ces problèmes.
Mais est-ce réellement le gouvernement qui est responsable de tous ces problèmes et de leurs non résolution ?
C’est ici que je ne suis pas d’accord avec vous, la plupart des Français. Je pense que c’est NOUS le peuple qui sommes responsables de l’échec du système de notre pays et de l’embourbement continuel de celui-ci. Je vais reprendre certains arguments avancés dans mon commentaire sur le sujet cité plus haut.
Qui vote ? Le peuple Français me semble-t-il donc c’est nous qui sommes à la base de l’élection du président. En toute logique, on vote pour tel ou tel candidat pour ses idées et donc son programme auquel on adhère en totalité ou en partie. On peut s’accorder sur le fait que le but du candidat est d’être élu donc il faut faire un programme attrayant qui va faire voter pour. Nous savons tous, depuis le temps, que les programmes n’ont donc qu’un but électoral et ne sont pas très réalistes de ce qui va être réalisé derrière pourtant nous votons quand même. Et donc nous savons très bien qu’après élection s’il y a, le programme sera mis de côté et les belles promesses envolées. Ensuite le peuple s’exclame et dit : "démission du président" alors que la majorité du peuple a voté pour le président tout de même. Ils mentent pendant les élections certes, mais ne serait-ce pas de notre faute encore ici ?
Chaque candidat veut se faire élire et le peuple veut que le futur président règle les problèmes du pays. Les candidats devraient donc proposer des solutions aux problèmes auxquels les Français sont confrontés. Penons deux exemples concrets et existants en ce moment, la dette de l’état et le régime des retraites.
– La dette de l’état : Comment la réduire ? Deux solutions : augmenter les revenus de l’état ou diminuer les dépenses. Alors, oui des efforts peuvent être faits sur les dépenses abusives de l’état, mais ceci ne suffira pas donc soit l’état augmente les impôts (quelqu’ils soient) ou diminue les effectifs des fonctionnaires. C’est assez réducteur, mais ce n’est pas la question dans le sujet
– Le régime des retraites : il apparaît clairement que si on ne repousse pas l’âge de la retraite on courre à la catastrophe car le financement de celles-ci ne pourront continuer donc si on veut garder le même système il n’y a guère d’autres choix.
Après avoir expliqué succinctement deux problèmes actuels, aux prochaines présidentielles, imaginez un candidat qui dit dans son programme électoral qu’il va réduire la dette de l’état en augmentant les impôts car il n’y a pas d’autre choix, qu’il va repousser l’âge de la retraite pour "sauver" le système. Allez-vous voter pour lui ou pour un autre candidat plein de belles promesses qu’il ne tiendra pas ? Soyez honnête avec vous-même, si 5% votent pour lui cela sera le maximum qu’il pourra attendre. Le peuple n’est pas prêt à entendre ceci même s’il veut que les problèmes soient résolut apparemment préfèrent-il attendre de se retrouver dans une crise comme en Grèçe…
De plus, Sarkozy tente des réformes, comme celui entamés sur les retraites qui est plus que nécessaire, ce que la majorité des Français ne comprennent pas ou font semblant de ne pas comprendre, que s’en suit-il ? Des grèves pour ne pas changer dès que l’on tente de changer les choses en fait, parce que le peuple veut que les problèmes soient résolus sans qu’on touche à leur privilège, mais maintenant ce n’est plus possible. Le président a donc les mains liées, il ne peut rien faire, le peuple veut, mais ne veut pas, c’est absurde mais c’est pourtant ce qui arrive en France.
Pour conclure je dirais donc que c’est de la faute du peuple si rien n’est fait et non celle du président actuel ou futur. Alors, remettez-vous en question et arrêter de critiquer le travail du gouvernement. Le peuple français est le premier responsable de l’échec de notre pays. De plus, la critique n’a d’intérêt que si des idées pour faire changer les choses sont proposées sinon c’est de la critique pour critiquer et ça n’amène à rien et c’est pourtant ce que 90% des articles, commentaires font.
Méditez, réfléchissez, posez-vous les bonnes questions Français et Françaises!
Et si c’était la faute des deux, le peuple et le Président, car il a tout de même une grande part de responsabilités dans l’application de sa politique destructrice et ne se remet jamais en question non-plus.
En tout cas ce n’est pas moi qui vais le plaindre!
Oui mais c’est bien ce que je dis en ce qui concerne le président dans cette phrase:
[i] »le président de la République ne fait peut-être pas ce qu’il faut ou pas tout ce qu’il faudrait qu’il fasse. Quoiqu’il arrive il manque à sa tâche »[/i]
Les deux sont peut-être responsables, mais qui vote? qui fait qu’un candidat devient président? … Alors la responsabilité nous revient beaucoup me semble-t-il.
[b]La loi 1905[/b] (France) La première grande imposture du 20ième siècle.
http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2008/05/06/moralistes-par-devant-sans-scrupule-par-derriere.html
Contrairement au discours des journalistes et, à ce que racontent les crétins d’enseignants, la France n’est pas une République laïque ! Quant à l’Europe ?
[b]Depuis longtemps, les curés se sont donné les moyens.[/b]
La loi 1905 (La loi des curés) exonère fiscalement les immenses ressources des curés. Pourquoi se priveraient-ils ? Les curés ne s’imposent-ils pas comme les garants de la moralité ?
Derrière cette image d’Épinal, on découvre une toute autre réalité !
On peut en faire, des choses ! Avec cette énorme masse monétaire qui résulte de la misère et des malades. Cette énorme masse monétaire issue des caisses sociales et publiques qui, après avoir transité par le nombre des malades, les hôpitaux et l’industrie du médicament, grâce à la douce loi 1905, disparaît en grande partie sans laisser de traces dans les grandes poches loi 1905 des curés.
Financer les Partis, arroser les Hommes politiques, contrôler les réseaux associatifs, les syndicats, imposer un discours aux médias, faire pression sur les fonctionnaires, imposer les lois, acheter les juges, couvrir les crimes. Faire ici, le profit des tortures que l’on pratique ailleurs, etc. C’est sans fin ! On ne dit pas tout !
Grâce à la loi 1905 qui défiscalise leur immense ressource, les curés contrôlent le capital de la Dette publique. (Pour la France, le capital de la Dette publique, c’est cinq fois le budget net de l’État.)
La loi 1905 a donné aux curés un pouvoir absolu. On peut préciser : « Un pouvoir fascisant ». (Un pouvoir qui se régale des misères qu’il produit, qui impose des croyances dogmatiques et qui s’habille volontiers de toute étiquette politique de droite comme de gauche.)
Les curés ont mainmise sur l’administration, l’État, la justice, le Médical et, bien entendu, les médias. Les médias dont le premier travail est de se taire, le deuxième est de mentir.
[b]Moralistes par devant[/b], sans scrupule par derrière,
les curés vivent de la misère qu’ils produisent.
[b]La laïcité positive[/b]
Est-ce la personnalité de l’actuel président de la République ?
Les curés voient de la laïcité dans toutes leurs saloperies.