Seuls nous, les jeunes, pouvons nous rendre compte à quel point ça fait bien qu’un autre jeune sorte une clope, la grille puis la balance.
C’est avant tout une mode, plus qu’un besoin pour se déstresser.
Et pourquoi un jeune n’aurait il pas envie de commencer lorsque tout est fait pour?
Avec l’esprit de contradiction qu’on nous connait, il est évident qu’il ne faut pas dire "ne fume pas c’est mal". L’interdit est bien trop attractif.
Et puis il y a toujours ce héros dans les films qui crache de la fumée sans arrêt (Californication, Constantine, Shutter Island,…), ou même dans la vie (Lolita Pille, Gainsbourg,…).
Mais ce n’est pas toujours le cas, il y a bien des ringards qui fument pour eux, dans leur chambre, sans personne.
Je ne vous mentirai pas, je suis les deux. Il y a cette partie de moi qui consume le tabac devant les autres, et l’autre partie qui aime fumer sans personne, le soir dans la rue à la lueur des spots oranges qui tapissent les villes urbaines.
Mais je pense que la dépendance est totalement psychologique, pour se prouver à soi même qu’on est un homme (minable, je sais), que ça nous fait un point commun avec un tel ou un tel. Le geste nous manque, après. Et on y pense constemment.
Je ne pensais pas le dire un jour, mais arrêter, c’est difficile. Je ne suis cependant pas encore prêt à avouer regretter d’avoir commencé. Ce n’est pas pour autant que je ne vous conseillerais pas de ne pas démarrer.
Cet article, je ne le relirai pas. Mais je sens pourtant que mes écrits sont forts critiquables. Alors pour conclure, je dirais que fumer, c’est bon. Mais qu’une fois pris dedans, c’est très rude de se stopper. Il faut penser au long terme, au lieu de ressentir les effets du moment.
Plein de courage à ceux qui se battent contre eux même chaque jour pour ne pas recommencer.
Bonjour Gabriel
personne n’a osé vous commenter, je m’y risque…
Vous avez raison la dépendance est psychologique par apport aux autres (faire comme eux)
et par rapport à soi même ( sans cigarette on se sent moins performant intellectuellement.. ou autre alibi).
Pourtant une petite clope de temps en temps c’est pas de refus.
Mais je ne vous y encourage pas!