Le vieux beau Jacques Chirac, ancien roi fainéant de la patrie, tire à gogo dans son autobio !

"Chaque pas doit être un but", adage du vieil âge de son premier tome de ses mémoires où il raconte ainsi, âgé de 17 ans la gaule endurcie, qu’il a perdu son altesse virginité avec une gourgandine d’Alger !

Puis, une page chassant l’autre, à coups de conquêtes et de souvenances, il rechargea aussitôt ses munitions, pour tirer tout de go à foison, sa rancoeur envers les valeurs de Valérie et de son destin d’homme hautain, vaniteux et aigri :
"J’ai très vite compris que dans son échelle des valeurs, il y avait lui tout en haut, puis plus rien, et enfin moi, très en dessous.".

Sans oublier son ami de 30 berges, le traître mou Balladur à la gueule d’asperge, qui l’emmena en ballade longuement, pour le larguer finalement, à la première érection de son ego en 1995, alors qu’il faisait partie du même rafiot :
"J’avais confiance en Edouard Balladur (…) Je n’aurai jamais d’explication d’homme à homme avec Edouard Balladur (…) Je ne l’ai jamais d’ailleurs cherchée.".

Chaque pas doit être un but… mais durant 12 années de pouvoir, cet homme de conquête, de gloire, ce tonton flingueur à la grande Gaule, au bilan frisant le néant, a du se fixer sur son séant un long moment, avant de pouvoir un jour… remarcher !