La femme, un homme comme les autres…

Nadine, 43 ans, 3 enfants, tourneuse-fraiseuse, Nicole 44 ans, soudeuse à l’arc…Djamila, 16 ans, qui parle et te tape sur l’épaule comme un garçon, Muriel, 20 ans, mère de deux enfants, seule…Voici que peu à peu, la femme devient ce que l’on a toujours voulu qu’elle soit: un homme comme les autres. Des religions qui bafoue leur liberté à la prostitution, qui peut prétendre reconnaître la femme d’aujourd’hui ?

Femme-esclave, esclave sexuelle, femme au foyer, femme seule. Certes je ne réduirais pas toutes les femmes à ces quelques mots bien sur, mais il faut reconnaître qu’ à force d’ égalité et de parité, la femme n’en fini pas de ne pas être ce qu’elle est vraiment: le pilier de notre civilisation.

Vous ne pouvez plus vivre ensemble ? C’est pas grave… EN 1914, le nombre des divorces français était d’environ 40 000. En 2002, se chiffre a triplé. En 2007, était concerné par le divorce un couple sur trois en province, 1 sur 2 en région parisienne. Vive la campagne. La cause ? L’ amour peut-être, la passion aussi, le n’ importe quoi surement…tout le monde veut vivre sont couple dans la passion mais personne ne voit le danger d’ avoir un enfant quand on n’ est pas sûr de son conjoint. Ou de soi-même.

Pourtant dans l’histoire… "la femme a toujours eu un rôle important. Pendant que l’homme travaillait, la femme s’occupait de la raison et de l’éducation des enfants…la femme a toujours eu un rôle important. Pendant que l’homme travaillait, la femme s’occupait de la maison et de l’éducation des enfants.Les femmes qui ne se mariaient pas devenaient religieuses : seulement ces femmes-là avaient accès à l’éducation et à la valorisation lié à un travail reconnu . Les religieuses géraient des écoles et des hôpitaux, elle enseignaient, soignaient les malades. Par la suite, il fut difficile pour la femme de faire reconnaître le travail qu’avaient exécuté " avec dévouement " les religieuses." La femme, l’homme fort qui travaille dans l’ombre ?!

Très jeune, jolie, maman, célibataire et aux minima sociaux…de leurs parents chômeurs. "…si j’ ai pas mon Bep je ferais un gosse, et pis voilà". Cette phrase effrayante, je l’ ai pourtant entendu plusieurs fois au cours de ma "carrière" dans les établissements scolaires.

J’ habite une petite bourgade ardennaise qui se meurent avec quelques 7 ou 8 milles habitants restant. Et le nombre de jeunes mamans célibataires qui sillonnent les rues avec leur poussette grandit. Quelle avenir pour ces "bouts" de famille ?! Avoir un enfant n’ est qu’ un moyen de plus de s’ extirper de l’ adolescence devenu "inutile et ringarde" pour passer directement à l’ adulte en devenant une "maman respectée" de 17 ans.

L’image de la femme. Bientôt une majorité d’enfants issue de famille mono parental, (souvent élevé par le mère ou leur grand-mère) qui seront en majorité dans la tranche des 18-35 ans, et n’auront connu qu’un ou plusieurs pères "temporaires", quand ils auront eu la chance de voir leur géniteur tout les quinze jours ou pour les vacances. Et peu à peu va disparaître le concept de la "famille" remplacé par celui de la pension alimentaire, bien sur nécessaire, mais qui n’est qu’un moyen de plus pour "fuir" ses responsabilité et souvent même, monter une "franchise". Rajoutez à cela ceux qui vivent dans les banlieues, à coup de célibat forcé et de vidéos pornos bon marché, le Rap et ses gros seins siliconées. L’image de la femme change, en pire…

Respect à toutes les femmes de la planète, de Yaoundé à New Delhi en passant par Paris.Une chose est sûr: nous sommes plusieurs à attendre le moment où l’ on pourra voter "Femme". A part bien sur, Madame Tatcher, ta tala ta… pa la pa…