Qui n'a pas entendu cette analogie Napoléon – Sarkozy et de fait le rapprochement d'un texte que Hugo a intitulé Napoléon le petit?

Un article sur "Humanitaire" m'a fait parodié en fait l'oeuvre de Hugo avec l'Homoléon.

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L'Homoléon le Petit.

 

L’Homme est un être vivant de moyenne taille,  c’est un personnage cupide, avare, désinvolte, pervers, hypocrite et incapable. 

"Que peut-il ?" Tout. "Que réussit-il réellement ?" Rien si ce n'est détruire.

Avec cette pleine puissance de « l’intelligence », en quelques années cet animal de génie eut changé la face du Monde, de l’Univers peut être. Seulement voilà, il a hérité de la Terre et ne fait qu’empirer les choses.

Dieu sait pourtant que l’Homme se déchaine : il touche à tout, fait des Grenelles, des campagnes contre la pollution, pour les énergies renouvelables, il court en tout sens sans se soucier des individus, il cherche des idées miracles mais n’en trouve pas. Ne pouvant respecter la nature, il s’impose. (du sens s’imposer et s’impôt « ser »).

Il cherche sans cesse à donner le change sur sa nullité, c’est le mouvement perpétuel, mais hélas cette roue tourne à vide. 

L’Homme qui après son positionnement dans la classe des mammifères supérieurs a inventé l’économie, est un capitaliste avantageux. 

Il aime la fête, les peoples, les grands discours politiques, les scandales, les projets à long terme inutiles et le pouvoir sous toutes ses formes.

 Il a pour lui, l’or, les taxes, la Bourse, la Terre. Il a des caprices, il faut qu’il les satisfasse.

Quand on mesure l’Homme, qu’on le compare à la Terre, qu’on le trouve si petit et qu'ensuite on mesure les dégâts et qu'on les trouve désastreux, il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise sous les mots de leurs puissants qui disent n’y être pour rien. 

On y ajoutera le cynisme car, la Terre, il la foule au pied, l’offense, la pollue, la détruit et l’ignore pour qu’ensuite il dise qu’il faut en prendre soin.

Triste destinée que l’espèce Hominidé, qui a voulu régner sur Terre, vouée à tout détruire.

 

 

 

 

 

Avouez, n'est ce pas vrai?