Une nouvelle tuerie s'est produite à Winnenden, près de Stuttgart en Allemagne ce matin.
Un élève de 17 ans selon les autorités locales a fait irruption dans le collège Albertville et a abattu 10 collégiens et 3 enseignants.
Lors de sa fuite ce sont 3 nouvelles personnes qui furent tués par le forcené qui vola une voiture en chassant son conducteur et fut rattrapé après 40 kilomètres de poursuite puis abattu par la police lors d'un échange de coups de feu.
Cet élève aurait pris une arme dans l'arsenal de 18 armes que possédaient ses parents à domicile !
Ce drame va remettre à jour le débat sur l'accessibilité aux armes des enfants voire des parents et sur l'univers de violence dans lequel baigne la plupart des jeunes de collèges et lycées actuellement…
Rappelons que hier ce sont 9 personnes qui furent tués par un individu en Alabama aux Etats-Unis.
Bonsoir
[img]http://www1.bestgraph.com/gifs/animaux/abeilles/abeilles-02.gif[/img] Buzz,
Terrible drame, et un autre aux USA, ce n’est pas possible.
Comment des parents possédant un tel arsenal, 18 armes, n’ont-ils pas pensé qu’un simple accident pouvait arriver.
Là, c’est un terrible drame qui est arrivé et qui a fait périr de nombreux innocents.
Trop de violence dans les écoles. Trop de violence en fait, un peu partout.
Un vote Super.
Amicalement.
ANDREA.
Andréa, je crois bien que comme le disait Rousseau « l’homme naît heureux et bon, la société le déprave et le rend désirable »…
Il n’y a donc pas de fatalité, on change de mode de vie (moins productiviste, moins de pression), plus d’équité, une meilleure éducation, plus de prévention et beaucoup des maux de la société disparaîtront…
On récolte ce que l’on sème… Vendons des armes et on se fera peut-être tuer par l’une d’elle, enrichissons-nous au dépend des autres et on se ferra peut-être volé par eux…
oh oui moi je suis tout à fait d’accord avec Buzz, commençons par nous poser chacun les bonnes questions : qu’est-ce que je veux faire de ma vie, pour moi, pour les autres, pour mes enfants, pour la terre etc…
n’attendons pas tout d’en haut , du ciel, de la loi, de l’état…
vivons selon notre propre jugement …
quand on aura déjà bien avancé chacun, on pourra peut-être trouver le bon chemin pour éviter ces drames à répétition et cette violence affreuse du monde actuel !
Gandhi, où es-tu ???
Gandhi en effet qui disait :
« Soit le changement que tu veux voir dans le monde »
@buzz: vous citez Gandhi: « Soit le changement que tu veux voir dans le monde » effectivement, à première vue, la citation est intéressante, mais il me semble à nouveau pertinent de « contextualiser ».
Le concept de « changement » dans le monde d’où est issu Gandhi est parfaitement entendable: je m’explique.
Le « changement » dans la pensée hindoue est uen constante dans la religion la mythologie, la philosophie: cycles cosmiques, impermanence des choses,etc…
de fait, c’est sous cette perspective qu’il faudrait lire Gandhi: le changement est d’ordre « métaphysique », touchant plus à la « nature de l’homme » qu’à sa condition. (maya, samsara, nirvana…)
or nos sociétés n’ont pas pour socle le « changement », elles se fondent avant tout sur les notions de progrés » et de « salut » ou « espoir.
Et cela change tout, dirais-je.
Du fait, que nous sommes dans une perspective de progrés constant, nous ne posons pas la question du changement: on ne change pas, on améliore. De la même manière, le « changement » a une connotation généralement péjorative ou à forte charge émotionnelle: changement=révolution=violence.
La formule de Gandhi est donc inapplicable dans nos sociétés si le changement de celle-ci ne précède celle de l’individu.
Dans une société libérale, centré sur l’individu, le « changement individuel » est noyé par la multitude des individualités, ce changement individuel perd tout de sa force et de son potentiel. D’ailleurs la société bien qu’individualiste, bien que formé d’individus en quête de changement, n’en perçoit pas les effets. Tant la liberté individuelle se confond avec intérêts individuels.
Notre problème principal n’est pas dans le fait d’intégrer du point de vue collectif, le changement pensé à la manière hindou, impliquant l’impermanence, ce qui serait terrifiant pour nos contemporains obsédés par l’immédiat, de la même manière changer de lecture et se placer dans une lecture cyclique, se confronterait à notre vision « historique » linéaire..non notre problème est de revenir à un progrés qui ne soit pas uniquement « économique » car dés lors, on le constate il ne signifie plus progrés mais plutot profit, ce qui est différent, non nous devons revenir vers un progrés qui signifie progrés social voir moral…
autant dire, que ce changement individuel serait de faire que l’individu tout en pensant à lui, chercherait à faire coîncider son propre bonheur avec celui des autres et non à leur détriment.
Il nous manque un Gandhi qui nous dirait, en termes plus occidentaux: » « Soit le progrés que tu veux voir dans le monde »
cordialement,
Merci pour votre contextualisation de la citation…
Je ne connais pas grand chose à la culture hindou à part la réincarnation donc je vous lis sans répondre si ce n’est pas une autre citation :
« Le bonheur n’est réel que s’il est partagé »
(j’ignore l’auteur)
En effet qui pourrait se trouver heureux seul au milieu des malheureux ?
On a tout intérêt à ce que ceux qui nous entourent ne soient pas ennuyés par ce que l’on fait… Pas pour les satisfaire mais pour être bien soi-même.
@buzz: »En effet qui pourrait se trouver heureux seul au milieu des malheureux ? »
effectivement cela parait somme toute logique, cependant cela n’emp^che pas la minorité toute-puissante et toute-possédante dans notre monde actuel de se sentir pleinement heureuse quand bien même la majorité souffre…
quant au bonheur, du moment que dans nos sociétés matérialistes, il est associé au désir, il me semble difficilement atteignable…nous pouvons difficilement prétendre être libre et heureux en même temps…
la liberté absolue n’est possible que dans la solitude où dés lors elle perd son sens…
vivre en société implique de restreindre sa liberté afin de permettre celle des autres, avec le bonheur c’est un peu la même chose..
voilà donc pourquoi dans une société centrée sur l’intérêt immédiat des individus, le bonheur me semble difficilement atteignable, car pour cela, de la même manière que nous restreignons notre liberté pour permettre celle des autres, il faudrait limiter notre prétendu « bien-être » pour permettre celui d’autrui…on en est encore trés loin..la crise révélant bien à quel point tout un chacun cherche à répondre à ses intérêts particuliers avant de jouer collectif..
la question est quand déciderons-nous enfin de réfléchir autant, si ce n’est plus à la « nature » de l’Homme plutôt qu’uniquement à sa « condition »…
être heureux est plus un état d’être, que qu’un bien-être temporaire…toujours la même dialectique être-avoir (état/bien)…
Me revoili, me revoila
[img]http://www1.bestgraph.com/gifs/animaux/abeilles/abeilles-02.gif[/img] Buzz,
Malheureusement avec tous les interdits que nous rencontrons aujourd’hui, interdiction de fumer, interdiction de ci, de ça……
Ne plus dire un mot plus haut que l’autre et temps d’autres choses, les gens n’ont plus les moyens de se défouler sans trop de violence.
Et si 99% de la société le supporte, tout en bouillonnant au fond d’elle même, le 1% qui reste, ce sont des bombes humaines et la France d’ici peu n’y échappera pas.
Pourquoi ? Parce que l’on veut créer un monde, une société trop puritaine, trop parfaite, trop aseptisée de tous les maux et en créant cela malheureusement, on crée chez certaines personnes d’autres symptômes plus profonds et plus dangereux.
Merci de votre réponse.
Un vote Super.
Amicalement.
ANDREA.
Concernant le fait divers :
L’élève qui a tué aurait exprimé la veille du drame sa volonté de faire un carnage dans son collège car d’après ses propos tout le monde se moquait de lui…
C’était quelqu’un de dépressif qui a déjà fréquenté des établissements psychiatriques.
Son père est tireur et c’est pour cela qu’il possédait un arsenal (15 armes aux dernières nouvelles), tout cet arsenal était sous coffre scellé sauf une arme que le père gardait dans sa chambre et c’est celle-ci qu’a utilisé son fils…
Le reportage télévisé mentionne aussi que c’était un gros joueur de jeux vidéos violents mais je ne pense pas que cela soit en cause dans ce drame…
Je pense que c’est surtout dû à une souffrance psychologique due aux moqueries répétitives de ses caramades…
@ jackdaniels :
En effet on pense souvent qu’avec de belles possessions, beaucoup d’argent on sera plus heureux… Assurément cela facilite l’avis et enlève les quelques tracasseries quotidiennes qu’on pourrait avoir mais l’humain étant ce qu’il est ses dépenses s’adaptent à ses revenus et finalement même le riche est toujours en manque d’argent…
Le bonheur doit plus se trouver dans l’être intérieur : pouvoir se regarder en face le soir quand on fait le bilan de la journée, n’avoir rien à se reprocher ni à regretter, avoir un avenir pas trop flou (niveau santé, emploi, sécurité…), une famille, des amis fidèles… voilà ce qui doit pouvoir rendre un homme heureux…
@ Andréa :
Personnellement je ne suis pas contre certaines interdictions (fumer, s’enivrer, se droguer…tout ce qui peut faire du mal à soi et aux autres) mais il faut que cela soit compris par les populations avant d’être appliqué.
Ces produits là peuvent soulager sur le cours terme mais ils ne résoudront pas les problèmes de ces gens, au contraire ils contriburont à la persistance de ces problèmes…
Il y a des moyens de se défouler : le sport, les amis, la famille, les sorties… Il faut un peu de maturité pour se rendre compte de ce qui va nous aider de ce qui va nous enfoncer dans notre problème… Peut-être qu’au fond du trou on ne possède plus cette maturité pour faire le bon choix, je ne sais pas…
Je suis par contre opposé à certaines limites par exemple celles de l’expression qui doit être totalement libre tant qu’elle est respectueuse…
Comme tout il doit falloir peser le pour et le contre, la vérité n’est surement pas à un extrême…
Cordialement
Me revoili, me revoila
Buzz,
Vous vous êtes focalisé sur le cigarette et les drogues. Mais ce n’était qu’un exemple.
Ce que je veux dire c’est que l’Etat maintenant rentre trop dans notre vie privée, pour nous interdire ceci, cela.
Bien sûr il y a le sport et c’est très sain pour l’esprit comme pour le corps.
Le problème est, qu’à force de tout vouloir régenter l’Etat met sous pression les français, tout comme les Etats d’autres pays le font avec leurs citoyens et cela même le sport ne peut l’enlever.
Peut être lorsque l’on fait son jogging, on y pense plus, mais après le stress, la pression reviennent.
Je ne suis sûrement pas assez concise, pour vous exprimer ce que je veux dire.
Mais à force de presser les gens comme des citrons, on ne peut qu’aggraver le stress, la dépression, surtout chez des personnes déjà fragilisées par les souffrances de la vie.
Je reprends en exemple la cigarette, mais ce n’est qu’un exemple pour vous montrer jusqu’où les dirigeants, peuvent aller.
En Amérique, dans certains quartiers, est-ce que vous vous rendez compte que la cigarette est interdite même à son domicile et pour être sûr que vous ne fumez pas chez vous. Des caméras sont installées partout dans votre appartement et vous surveillent constamment, seul les WC n’en possède pas.
Alors les personnes qui fument sont obligées de le faire en cachette, au WC.
Trouvez-vous cela normal ??
Ne trouvez-vous pas, que c’est une grave atteinte à la liberté individuelle, sous le couvert de la cigarette ??
Ne trouvez-vous pas, que cela mets les personnes sous pression, puisqu’elles sont obligées de se cacher même chez elle, pour fumer ??
Trop de perfection, tue la perfection !!
Et à trop vouloir, on va créer des faits que l’on imagine même pas.
On veut maintenant que tous les gens soient parfait, on se mêle de leur santé, sous couvert du trou de la Sécu, et le trou de la sécu il n’est pas créé par les fumeurs loin de là.
On aseptise tout, les fromages ne peuvent plus être fait à la ferme si le local n’est pas aux normes Européennes.
Le problème, c’est qu’à force de se mêler de notre santé à ce point, notre corps n’est plus habitué aux microbes, aux bactéries et ne sait donc plus se défendre contre ceux-ci.
Si nous continuons sur cette lancée, les gens dans les 20 ans qui arrivent seront de plus en plus malades.
Nous n’avons plus le droit pour ainsi dire, de manger de bons fromages avec du gout comme ils étaient fabriqués dans le temps.
Maintenant, ils doivent être thermisés, pour tuer les microbes, la flore bactérienne. Et ainsi, ils n’ont plus du tout, la saveur d’antan.
Un vote Super, pour votre très bon article.
Amicalement.
ANDREA.
@ Andréa :
Je comprend ce que vous voulez dire.
Effectivement aller jusqu’à contrôler les gens à leur domicile est très poussé pour la clope car celui qui fume chez lui n’enfume personne, on est pas obligé d’aller chez lui si on ne veut pas de fumée de cigarette…
Justement en parlant de cela il se trouve que quand mon voisin du bas fume, l’odeur de la clope passe par les conduits d’aération et en fait ça pue la clope chez moi (c’est d’ailleurs le cas ce soir), alors îl se trouve que même en fumant chez lui cet individu m’empoisonne…
Il se trouve que si les services de santé ont décidé de mener des politiques de prévention contre les addictions ou sur la façon de préparer un fromage c’est parce-qu’ils ont mené une étude qui a mis en évidence que les risques étaient supérieurs au bénéfices (c’est ainsi qu’ils raisonnent)… Des gens sont morts de listériose ou de cancers pour qu’ils décident de légiférer en ce sens…
Est-ce que ça regarde la société ? Oui car le trou de la sécu vient bien de l’obligation de soigner les gens malades, si plus personne ne fumait on verrait les taux de cancers diminuer de plus de 50 %, les artériopathies oblitérantes des membres inférieurs (les gens aux pieds pourris qu’on doit amputer) n’existeraient quasiment plus, les effets sur les maladies cardio-vasculaires seraient aussi impressionnant…
Une politique de prévention efficace plutôt que de guérison pourraient largement diminuer les frais de santé par deux.
Alors interdire c’est excessif du point de vue individuel mais inciter fortement à arrêter par des mesures préventives et coercitives peut sembler légitime du point de vue sociétal.
Cela ne me dérange qu’on perquisitionne des domiciles si on a de fortes suspicions que quelqu’un cache des armes de guerres, de la drogue ou autre chose de répréhensible mais par contre il faut vraiment qu’il y ait des limites (une forte présomption et non juste pour regarder si il y a quelque chose)…
Après ce n’est pas que l’Etat qui nous met la pression, c’est la société dans son ensemble, il faut être compétitif, efficace, rentable…
Je pense qu’on ne sera pas d’accord sur le seuil de liberté et les deux points de vue ont des arguments en leur faveur…
Le mieux serait qu’il n’y ait pas de lois et chacun sache s’arrêter là où sa liberté empiéte sur celle des autres… Mais les humains n’en étant pas capables il faut donc des lois.
Merci pour cette discussion.
Amicalement
@buzz: j’ai lu avec intérêt votre commentaire, si vous le permettez je souhaite revenir sur votre vision des choses.
Vous écrivez ceci: « Justement en parlant de cela il se trouve que quand mon voisin du bas fume, l’odeur de la clope passe par les conduits d’aération et en fait ça pue la clope chez moi (c’est d’ailleurs le cas ce soir), alors îl se trouve que même en fumant chez lui cet individu m’empoisonne… »
je conçois que cela vous pose problème, mais il me semble que là il est plus question de l’efficacité de l’isolation de votre appartement et celle des cloisons qu’un problème de voisin « empoisonneur »…
acr suivant votre logique, il me semble soit par des mesures pratiques (installation, cloisons, isolation), soit par un dialogue avec votre voisin de trouver une solution à votre problème.
Il en sera tout autrement lorsque par exemple il sera pris en compte par exemple de: la pollution provoquée par nos voitures, nos industries…qui sont tout autant dommageables à notre santé que la fumée de votre voisin…
comment s’y opposer dés lors que cette « atteinte à la santé » est collective et partagée, et faisant partie de nos sociétés, de notre mode de vie…
de la même manière, on pourrait s’intéresser à l’industrie agro-alimentaire qui fournit le gros de ce qui se retrouve sur nos tables et décide de l’orientation des stratégies agricoles et de production…imposant des produits dont on connait les effets néfastes sur la santé à court et moyen terme, sans que l’on puisse encore savoir quel impact ce changement drastique de « régime alimentaire » aura sur l’espèce humaine..
de la même manière, la propagation d’objets fonctionnels, générateurs d’ondes électro-magnétiques, et les conséquences possibles ou avérées sur notre santé alors que la médecine actuelle avance encore à tatons dans ce domaine…
pour résumer: les facteurs de risque sont multiples, les atteintes à notre santé constantes..les conséquences de plus en plus pesantes sur notre système de santé et nore qualité de vie..
partant de là, la lutte contre le tabac ou l’alcool sont certes louables, mais permettent avant d’occulter l’essentiel, à savoir: notre société, notre mode de vie sont générateurs d’autant si ce n’est d’encore plus de problèmes de santé, autant à l’échelle individuelle qu’en matière de santé publique…
La vie est par définition prise de risque, la maladie et la mort sont parts de notre condition humaine: sans elles, la philosophie, la tragédie, laa littérature, l’art, les religions, etc…auraient sans doute perdu l’essentiel de leur contenu, ou même n’auraient jamais vu le jour…
Nous observons dans nos sociétés développées, une volonté manifeste d’échapper au risque, à la maladie, voir à la mort..d’où cette obssession de la « éscurité » qui dépasse largement les limites de la médecine pour arriver à devenir la norme en matière d’actions ou discours politiques…
je m’interroge sur ce que pourrait être une société délivrée du risque, de la maladie, de la mort..où tout ce qui donne à la vie son caractère « sacrée », à savoir sa brièveté, sa fragilité, sa rareté,etc..auraient disparu…serait-ce encore une société humaine dés lors?
Café sans caféine, sexe sous protection, boisson sans alcool, caméras omniprésentes, dictature du « psy », peur constante,etc…quelle est donc cette société que nous préparons?
et à titre personnel, quelle pourrait être le rôle d’un disciple d’Hippocrate dans une société sans malade? 😉
@ jackdaniels :
Effectivement c’est un problème du logement d’avoir sa fumée chez moi mais j’ai pas les moyens de changer donc je subis ne pouvant déménager ou l’interdire de fumer chez lui…
En attendant je suis un fumeur passif.
Par contre il n’en est pas de même pour le bruit le soir… lol
Concernant les OGM, les ondes magnétiques c’est la même chose, on utilise des nouvelles technologies sans connaître les risques… Le principe de précaution ne marche pas quand des milliards de dollars sont en jeu (comme la cigarette)…
Donc je ne sais pas si le souci de sécurité est si développé que cela, cela doit dépendre des domaines…
La vie est risquée bien sûr mais par son comportement on a les moyens de minimiser tous ces risques… Peut-être que quand les consciences auront évolués on se rendra compte qu’il est important de prévenir les risques, de les connaître pour les maîtriser…
« et à titre personnel, quelle pourrait être le rôle d’un disciple d’Hippocrate dans une société sans malade? »
Les risques existant toujours les médecins feront moins de curatifs et plus de préventifs et seront payés quand les gens ne sont pas malades comme dans la chine ancestrale…
S’il n’y a vraiment plus de boulot, ben je ferrai pompier ou avocat, ils vont bien nous dispenser de quelques années d’études… lol
Drame
Il faudra encore combien de drame de ce type pour qu’une règlementation interdise les armes en dehors du militaire, tout simplement ?
Tout à fait d’accord avec Nauthomm, dans une société civilisé qui a besoin d’une arme en dehors des forces de l’ordre et de sécurité ?