Lors d'une entrevue pour la chaîne de télévision Australian Broadcasting Corporation (ABC), l'amiral Chris Barrie qui dirigeait les forces australiennes de défense en 2003, année où son pays s'est allié aux États-Unis lors de leur 'intervention en Irak, est revenu sur cette période très controversée de l'histoire récente.
À cette époque, les démocrates australiens étaient très liés à la politique belliqueuse du président des États-Unis, George Bush, et l'ont suivi presque aveuglément dans sa guerre contre le terrorisme.
Ainsi, l'amiral à la retraite Chris Barrie a reconnu que rien ne justifiait l'intervention des Australiens en Irak en 2003 et l'envoi d'environ 2 000 hommes, trois navires de guerre et une quinzaine d'avions de chasse dans ce pays du Golfe. Actuellement, cette force ne compterait plus qu'environ 850 Australiens déployés sur place.
C'est le ton ferme que Chris Barrie a affirmé : « Je dois reconnaître que, jusqu'au jour de ma retraite, je n'ai jamais découvert aucune preuve justifiant cette soudaine intervention en Irak ».
Pareils propos devraient relancer la polémique concernant Richard Butler, diplomate australien et chef de la United Nations Special Commission (UNSCOM), qui avait été suspecté, non seulement de modifier les rapports à destination des Nations unies, mais également d'avoir transmis au Pentagone les plans détaillés de l'intérieur des installations industrielles inspectées en Irak par les inspecteurs en désarmement de l'UNSCOM – plans qui n'auraient dû être transmis qu'à l'ONU – ce qui aurait permis la programmation des bombes aériennes GPS utilisées pour la destruction de ces installations lors des deux guerres du Golfe.
Petit à petit, le voile se lève sur cette étrange guerre qui nous a été imposée par l'Administration Bush, espérons que le nouveau gouvernement américain aura les coudées franches pour nous en révéler tous les dessous.
Bush – Saddam Hussein :Une histoire d’ OVNI.(!?)
Article paru dans Courrier International N°640 du 6 au 12 février 2003 dans son intégralité : Source : http://english.pravda.ru/main/2003/01/31/42821.html
{Magazine, Courrier International, No 640, 06/02/2003, Le pétrole ? Allons donc ! Bush veut l’OVNI de Saddam, pravda.ru (Moscou)}
« A la lueur d’un incident lié aux OVNIS, incident qui se serait produit il y a quatre ans, se pose la question troublante de savoir si le dictateur irakien Saddam Hussein peut compter sur la coopération des extraterrestres. « C’est ce que déclarait l’ufologue Joseph Trainor dans son bulletin d’information UFO Roundup (n° 51 du 17 décembre 2002). « Le 16 décembre 1998, au cours de l’opération Renard du désert contre l’Irak, une vidéo diffusée sur CNN a montré un ovni en vol stationnaire au dessus de Bagdad qui s’est éloigné pour échapper aux tirs de la défense antiaérienne. A l’époque, tout le monde a cru qu’il s’agissait d’une simple observation d’OVNI, pour une fois enregistrée en vidéo.
Mais aujourd’hui, les ufologues pensent qu’il s’est agit de bien plus que d’un simple incident. » Un autre ufologue, Jack Saffarti, rapporte que, le soir du 6 décembre 2002, « quelqu’un se présentant comme une source proche de l’armée a appelé lors de l’émission de radio d’Art Bell [animateur d’une émission de radio très populaire aux Etats Unis, Coast to Coast, essentiellement axée sur les théories du complot et autres enlèvements extraterrestres.] et a annoncé qu’un OVNI s’était écrasé en Irak plusieurs années auparavant.
Les Etats Unis cherchent actuellement n’importe quel prétexte pour envahir l’Irak. En fait, les Etats Unis sont mus par la peur terrible que Saddam parvienne à copier la technologie de l’engin extraterrestre. » D’aucuns prétendent que le crash aurait eu lieu pendant la guerre du Golfe (1991) ou plus récemment (probablement en décembre 1998). Ce serait l’équivalent irakien de Roswell. Aujourd’hui les Etats Unis analysent et cherchent à copier la technologie du vaisseau de Roswell, et l’on craint que les scientifiques de Saddam n’enregistrent un succès encore plus marquant que les Américains dans cette activité. Selon certaines sources, ces recherches confèreraient une avance considérable à Bagdad et pourraient même faire de l’Irak une véritable superpuissance.
Les journalistes de UFO Roundup ne sont parvenus ni à confirmer, ni à infirmer ces rumeurs. Aiasha al-Atabi a répondu à Joseph Trainor « qu’il n’avait jamais entendu parler d’un crash d’OVNI en Irak ». Pour reprendre les termes de Mohammed Daoud al-Hayyat, « on parle d’extraterrestres en Irak, mais on ne dit rien d’un quelconque crash. La rumeur, sur le marché de Souleimanieh, au sud de Zarzi, veut que les extraterrestres soient les hôtes de Saddam. Mais où se cachent-ils, dans ce cas ? Les gens citent une base souterraine. Mais Saddam a un palais dans cette vallée, une ancienne place forte, Qalaat-e-Julundi. Autrefois, elle appartenait à la famille royale. Après la révolution, le gouvernement a récupéré la forteresse. Aujourd’hui, comme tous les palais du pays, elle sert de résidence d’été à Saddam Hussein. Il est pratiquement impossible d’y pénétrer. La citadelle se dresse sur une colline bordée sur trois côtés de précipices vertigineux. Ils plongent directement dans la Petite-Zab. On prétend que Saddam y logerait les extraterrestres. »
Sur la base de racontars étranges au sujet de cette vallée, Mohammed Hadj al-Amdar précise : « Saddam a donné asile aux extraterrestres pour qu’ils ne soient pas capturés par les Américains. La nuit, personne ne peut approcher de la citadelle de Qalaat-e-Julundi. On dit que les extraterrestres ont créé des ‘chiens de garde’ pour Saddam. Ils ont pris des scorpions du désert ordinaires et grâce à leur science du génie génétique, en ont fait des scorpions géants. De la taille d’une vache ! Des gardiens formidables : ils se fondent dans le désert et foncent silencieusement sur leur proie. Tout ce qu’entendent les malheureux intrus, c’est un bruit étrange derrière les rochers, puis une pince leur broie la nuque, une autre les jambes. La victime est plaquée au sol et frappée six ou sept fois par le dard de la queue. La mort est presque instantanée. »
James Trainor en est arrivé à la conclusion qu’il se passe bel et bien des choses bizarres dans la vallée de la Petite-Zab. Mais quoi exactement, nul ne le sait. Il ne faut pas écarter la possibilité que Saddam fasse intentionnellement courir ces rumeurs pour dissuader les gens de s’approcher d’un objectif militaire important situé dans l’ancienne forteresse de Qalaat-e-Julundi. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas la seule information sur un crash d’OVNI dans la région. Il y a plusieurs années, le 20 juin 1993, le MUFONET BBS Network publiait la lettre d’un certain Steve, de Grande Bretagne, qui lançait cet avertissement : « L’information suivante a été rendu publique par Amateur Radio Packet BBS le 13 juin dernier par un émetteur à ondes courtes avec pour consigne de la communiquer au monde entier. Je ne sais rien de l’homme qui a rendu publique cette information, je ne peux pas dire si elle est véridique.
L’homme rapporte qu’un aéronef a été retrouvé après avoir été abattu par des F-16 au dessus de l’Arabie Saoudite pendant des raids sur Bagdad. » L’information elle-même était rédigée comme suit : « Une source de haut rang a reconnu que des F-16 de l’armée de l’air américaine avaient abattu un OVNI au-dessus de l’Arabie Saoudite pendant l’opération Tempête du désert, et cinq pays s’efforcent de dissimuler ce fait. J’ignore les détails, mais l’appareil était d’un type qui m’était inconnu. Les Saoudiens qui étaient avec moi à ce moment là ont eu si peur qu’ils ont demandé à des enquêteurs américains, britanniques et français de venir immédiatement sur le site du crash. »
Un certain colonel Petrokov a déclaré que, à l’époque, il se trouvait en visite à Riyad et qu’avec un groupe russe il a réussi à examiner l’appareil avant l’arrivée des troupes américaines participant à Tempête du désert. Selon ses dires, « l’appareil était rond et fait d’un matériau que je n’avais jamais vu. Près d’un tiers de l’engin avait été détruit par les impacts des missiles américains. Les Saoudiens ne nous ont laissé toucher à rien, mais nous avons pu entrapercevoir des équipements, des mécanismes et d’autres choses qui nous ont tout à fait éberlués. » Sur le panneau de commande et sur les écoutilles, des inscriptions étaient rédigées dans une langue inconnue. « Le vaisseau était réellement petit, de 5 mètres de diamètre environ. Il y avait trois fauteuils, probablement pour l’équipage, mais ils étaient si petits qu’on aurait dit qu’ils avaient été faits pour des enfants.
Cependant, il semble impensable qu’il n’y ait pas eu de cadavres sur le site. Qui plus est, rien n’a été trouvé qui eut pu ressembler à un moteur. Les missiles américains ont probablement touché le moteur immédiatement et l’ont détruit. Plus tard, des opérations de stations radars saoudiennes m’ont dit qu’aucune éjection ni aucune chute d’objet depuis l’engin n’avaient été observées. Des hélicoptères ont patrouillé dans le désert mais n’ont retrouvé aucun membre d’équipage près du site. »
Les radaristes saoudiens auraient précisé à Petrokov que la cible présentée comme un objet volant non identifié avait surgi « de nulle part » alors que quatre F-16 volaient vers Bagdad. L’un des avions américains a rompu la formation et s’est dirigé vers l’OVNI. Le vaisseau étranger a commencé à suivre un cap au sud-ouest pour fuir le chasseur américain, qui l’a poursuivi. Quand le F-16 s’est trouvé à 5 kilomètres de l’objet, ce dernier lui a tiré dessus, mais l’a manqué. Alors l’appareil américain a lancé un missile sur l’OVNI. Un bruit terrible a retenti et le vaisseau spatial s’est écrasé. D’après Petrokov, qunad les enquêteurs américains sont arrivés sur le site, son équipe et lui ont été priés de quitter les lieux et de rentrer au Riyad.
Le colonel affirme qu’il est fort probable que les Américains ne tenaient pas à ce que d’autres qu’eux voient ce qui se trouvait sur le site, en dehors de la forme circulaire de l’engin, fait d’un matériau inconnu, et en dehors du fait qu’aucun extraterrestre n’avait survécu au crash. Petrokov affirme que des membres de son équipe auraient réussi à prendre des photos du site, sans que ni les Saoudiens ni les Américains ne s’en aperçoivent. Mais le lendemain, ils ont reçu l’ordre de transmettre les photographies aux autorités russes. « Des ingénieurs militaires américains ont récupéré l’épave et l’ont emporté aux Etats Unis pour l’étudier. » Cette histoire semble abracadabrante. Comme on le voit, la source de l’information n’est qu’un colonel russe, un certain Petrokov. A défaut de toute confirmation de l’affaire, il ne faudra y voir qu’une rumeur anonyme et douteuse de plus. »