Le Grand Prix du Japon au Fuji est un évènement particulier pour Honda qui vient courir sur ses terres puisque l'équipe a été créée en 1906 à environ 60 kilomètres.
Fuji n'est pas un nouveau en F1 puisque le circuit a déjà acceuillit deux GP en 1976 et 1977. La catégorie reine est revenu l'année dernière à ses premiers amours suite à un lifting par Hermann Tilke. C'est un circuit où de petites erreurs pourraient coûter d'énormes secondes mais les dégagements en bitume gâchent tout le plaisir.
"C'est un circuit très dur pour le pilote car pour faire un bon tour il faut d'abord trouver le bon setup et ensuite ne pas faire d'erreur dans le tour. C'est plus dur qu'à Suzuka, car là-bas, ce sont de très grandes courbes où la vitesse est privilégier. Alors qu'au Fuji il y a une partie très rapide et une autre très sinueuse. Le défi pour le pilote est de trouver le compromis gagnant." Nous déclare Alex Wurz.
"Vous rajoutez à cela le bitume neuf qui n'est pas très accrocheur et les forts risques de pluie et vous obtenez un circuit vraiment plus dur qu'il n'y parait!!" continue t-il.
"L'année dernière, on a pas vu le Mont Fuji du Week-End à cause des nuages de la pluie. J'espère qu'il ne fera pas trop mauvais pour cette course pour justement qu'on puisse voir cette magnifique montagne." conclue t-il.