Il est établi depuis longtemps que le mercure s'échappe des obturations métalliques appelées amalgames dentaires ou plombages. On pensait cependant jusqu'ici que les quantités de mercure libérées étaient trop faibles pour induire des problèmes de santé.
"Les doses de mercure libérées dans l'organisme par les amalgames dentaires sont […] très en deçà des seuils auxquels des effets toxiques pourraient être observés" affirmait récemment Roselyne Bachelot, ministre de la santé, en réponse à la question d'un sénateur.
Cette croyance est cependant remise en question par les travaux de chercheurs canadiens qui, vidéo à l'appui, démontrent la nocivité du mercure, même à faibles concentrations.
Les travaux menés par des chercheurs de l'université de Calgary montrent que le mercure est capable de détruire la cellule nerveuse et ce, même à faibles concentrations. Une vidéo mise en ligne sur le site de l'université le montre d'une manière indiscutable. La vidéo est accompagnée d'une voix off en anglais. Mais pour ceux qui ne parlent pas l'anglais, les images, suffisamment éloquentes, se passent de commentaire.
Ces travaux et leurs implications en terme de santé publique devraient inciter les autorités sanitaires à revoir leur politique concernant l'emploi du mercure en dentisterie. C'est déjà ce qui passe aux États-Unis où la FDA (Food and Drug Administration) vient de reconnaître la neurotoxicité du mercure .
De son côté, l'État français, dans le droit fil de la position adoptée par l'Union européenne (Danemark et Suède exceptés), persiste à nier tout risque.
En savoir plus et voir la vidéo : site Holodent.
mercure
Bonsoir, Madame,
De lire votre article me remet en mémoire qu’il y a 20 ans j’ai failli mourir. On m’avait fait 6 couronnes. Après ce travail le dentiste et les médecins m’envoyaient promener me disant que c’était dans ma tête . 5 mois après épuisée, amaigrie, sans force je me suis rendu chez le dentiste le plus proche en lui expliquant. Ce dentiste assez âgé, m’a dit que dans sa carrière c’était la 2ème personne qu’il diagnostiquait un tel cas. Sans hésiter il m’envoyait
dans un hopital « Ste marguerite à Marseille » pour faire des tests d’allergie. J’étais allergique au cobalt. L’on a voulu me faire suivre un traitement. Après la prise des médicaments 8 h après j’étais prise de tremblement. Je les ai pris seulement 2 j. Plus de force du tout, j’ai écrit sur 2 pages tout le ressenti depuis la mise en place de ces 6 couronnes. Avec ce papier je me suis rendue chez un acupuncteur et lui ai donné à lire mon exposé ne pouvant plus parler. Ce médecin m’a pris en mains . On m’a enlevé d’abord les 6 couronnes. Un peu de soulagement. Un mois de repos dans une maison. J’ai trouvé un autre
dentiste qui m’a suivi j’étais un cas intéressant pour lui. On a commencé par enlevé tous les plombages à base de mercure; il y a 50 ans les dentistes travaillaient qu’avec ce produit.
Avant de replomber il a fallu que l’acupucteur voit si je n’étais pas allergique aux produits
qu’on me mettre en remplacement.
Cela à durer 2 ans .
Donc attention aux personnes allergiques aux métaux de faire le nécessaire pour ne pas passer par des moments douloureux. Même maintenant je dois me faire mettre une couronne
et mon dentiste actuel au courant de ma situation prendra toutes les précautions possibles.
Je vous félicite d’avoir fait passer cet article…….
Bien cordialement
Quelques-uns des plus grands cigarettiers au monde savent depuis des dizaines d’années déjà, notamment sur base de leurs propres enquêtes, que leur produit contient du polonium radioactif, une substance mortelle. Mais ils ont toujours tenu ce fait secret, rapporte le quotidien The Independent on Sunday.
On sait depuis des années que le goudron et la nicotine sont des produits très nocifs pour la santé. C’est d’ailleurs souvent sur ce terrain que les campagnes antitabac attaquent. Le numéro de septembre du périodique American Journal of Public Health révèle la présence d’une autre matière hautement toxique dans les cigarettes: le polonium-210. Cette substance peut provoquer le cancer du poumon.
Selon des chercheurs d’un hôpital du Minnesota (centre-nord des Etats-Unis), plus de 1.500 documents internes à de grosses multinationales du tabac laissent apparaître que ces firmes savent depuis plusieurs années déjà, au moyen de leurs propres enquêtes, que du polonium est présent et elles n’ignorent pas les dangers qui en découlent.
« Là où les lobbies du tabac essayent de continuellement mettre en doute les dangers du tabac, la présence du polonium 210 et les risques inhérents ont tout simplement été tus », selon la chercheuse Monique Mugli. De crainte que la révélation de tels faits ne mène à toute une série de procès. Ou, pour reprendre une des notes en question, pour « ne pas réveiller un ogre qui dort ». (belga/7sur7)
Cet article est probablement encore plus intéressant qu’on l’imagine
Et il est déjà renforcé par celui d’Eleina
Bonjour,
De plus en plus les allergies se manifestent.
1)Les nouveaux additifs alimentaires (ou autres) n’ont pu être testés sur la durée (20. 30. 40 ans …)
2)Les effets des cumulations à long terme sont encore moins étudiés.
3)On continue toujours plus à inventer et à mettre sur le marché …
Les rationalistes aiment sourire en proclamant « Vivre, c’est prendre des risques » !
Ils ne croient pas si bien dire.
Pour eux, tout n’est qu’un problème d’humour.
Cordialement.
et puis , comme dit Monkeyman , il y a aussi l’ASPARTAME qui se transforme en methanol , poison des cellules nerveuses , il y a les telephones portables et leur action destructrice sur le cerveau …
Il y a aussi les fumées des volcans qui rejettent des milliers de tonnes de mercure dans l’atmosphère .
donc il va bien falloir mourir un jour !
restez Zen , E Vereck !!!
et puis , comme dit Monkeyman , il y a aussi l’ASPARTAME qui se transforme en methanol , poison des cellules nerveuses , il y a les telephones portables et leur action destructrice sur le cerveau …
Il y a aussi les fumées des volcans qui rejettent des milliers de tonnes de mercure dans l’atmosphère .
donc il va bien falloir mourir un jour !
restez Zen , E Vereck !!!
allergie dentaire
Bonjour à tous,
Les allergies par le mercure, le cobalt, et autres composits dentaires ne sont pas à prendre à la lègère, je suis passée par là et même encore j’angoisse lorsque il faut me mettre quelque chose dans une dent, même un pansement. Bien sûr n’importe quel médicament et l’ASPARTAM sont dangereux. Il faut continuer à vivre si l’on avait peur de tout , même de la bouffe comme dirait J.P. coffe on n’aurait plus qu’à se laisser mourir. La guerre, les informations et tout ce qui se passe dans les autres pays. VIVONS et RIONS …….
Estelle Vereek
aucune réaction à mon commentaire. Vous vous faites peut-être de la publicité pour vendre vos livres. Je n’en ai pas besoin, j’attendais plutôt des nouvelles. J’ai vécu des années
pénibles après mes allergies aux métaux. Personne ne voulait me croire, on me prenait pour
une folle. Même le corps médical avait peine à me croire. Mme Bachelot prend le plombage
des dents à la légère. Je vais lui écrire. Je veux l’aborder sur un autre sujet.
[i]Un complément sur l’alimentation moderne ! (De Univers Nature)[/i]
Bonjour,
[b]1)Les nanotechnologies [/b]
Si la recherche sur les nanotechnologies a réellement démarré il y a une vingtaine d’années, les produits incluant ces technologies sont vraiment présents depuis peu dans notre quotidien. Par contre, leur développement semble très rapide (voir le dossier « Nanotechnologies : un très petit monde pour de gros enjeux », du magazine Echo Nature de sept./octobre 2008). D’après le Centre international américain Woodrow Wilson (1) qui a mis en place depuis 2005 un catalogue recensant, de la façon la plus exhaustive possible, l’ensemble des produits de grande consommation concernés : 600 articles sont actuellement disponibles sur les étals des circuits de distribution, soit environ trois fois plus qu’il y a deux ans. Ainsi, les nanomatériaux ne sont plus seulement présents dans le confinement des laboratoires de recherche.
L’intégration de nanoparticules aux emballages alimentaires a vocation à prolonger les durées de conservation, voire à détecter si l’aliment est encore consommable.
Face à l’évolution de cette situation, l’Afsset (2) a été mandatée par ses trois ministères de tutelle pour : « évaluer les risques concernant les nanomatériaux pour la population générale ». Cette évaluation concernera les nanomatériaux les plus utilisés et prendra en compte différentes voies d’expositions (inhalation, percutanée …), ainsi que des niveaux de risques plus généraux.
Dans un projet d’avis, rendu public en juin 2008, le Conseil économique et social (3) a attiré l’attention « sur le fait que la recherche en toxicité, écotoxicité et métrologie a bénéficié de trop peu de moyens au sein du système français de recherche publique et privée ». Le Conseil a insisté sur l’urgence de développer des « équipes compétentes pour entamer des évaluations solides et rapides ».
Concernant ses travaux, l’Afsset devrait présenter ses recommandations à la fin du deuxième trimestre 2009, toutefois un point sur les activités d’évaluation devrait être organisé au mois d’octobre de cette année.
Michel Sage
[b]2)Aujourd’hui suspecté d’être nocif pour l’homme, le bisphénol A (BPA) est omniprésent au sein de la filière dédiée au conditionnement alimentaire. [/b]
Ce composé chimique participe entre autres à la fabrication de résines dites « époxy-phénoliques », lesquelles constituent le revêtement intérieur des cannettes et des boîtes de conserve ainsi que les couvercles métalliques des pots et bouteilles en verre. Le BPA entre également dans la composition du plastique polycarbonate, apprécié pour sa légèreté et sa transparence, ainsi que pour sa bonne résistance aux chocs. Des vertus qui ont contribué à généraliser son maniement. Aujourd’hui, ce type de plastique est utilisé dans la fabrication de vaisselle, de récipients destinés au four à micro-ondes, de boîtes de conservation, de bouteilles d’eau et de lait recyclables et de conteneurs d’eau réutilisables. Enfin, justifiant les inquiétudes quant à sa possible toxicité, le BPA se retrouve par ailleurs dans la composition de certains biberons.
Présent dans de multiples contenants, le BPA peut migrer en petites quantités dans les boissons et les aliments sous l’effet de la chaleur (eau bouillante), de l’acidité ou du contact avec des graisses, et ainsi être assimilé par l’organisme humain. Or, imitant l’hormone sexuelle féminine, l’œstrogène, le BPA est un perturbateur endocrinien potentiel. Ces possibles effets sur la fertilité et le système hormonal alimentent aujourd’hui de nombreux débats scientifiques. Et si la santé des consommateurs en est l’enjeu déterminant, ceux-ci connaissent un nouvel élan suscité par le degré de dangerosité de l’exposition des nourrissons exposés à cette substance.
En effet, en janvier 2007, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) fixait la dose journalière admissible (DJA) (1) au-dessous de laquelle l’exposition au BPA n’était pas problématique à 0,05 milligramme/kg de poids corporel. Mais nombreux sont ceux qui aujourd’hui remettent en cause la validité de cet avis, tout particulièrement dans le cas des nouveaux nés plus vulnérables de par leur masse corporelle réduite.
En réponse à ces incertitudes persistantes, l’EFSA a publié en juillet dernier un nouveau communiqué dans lequel elle confirme la faible nocuité de l’exposition au bisphénol des consommateurs. Entérinant les données précédemment divulguées, elle met l’accent sur la capacité de l’organisme humain à métaboliser et à évacuer rapidement le bisphénol A. S’inscrivant dans la même optique, les conclusions rendues sur la polémique relative aux nourrissons s’avèrent tout aussi rassurantes car, selon l’organisme européen, « les nouveaux nés ont la capacité d’éliminer une quantité de BPA bien supérieure à la dose journalière tolérée ».
Pourtant, tout le monde ne partage pas ce point de vue. En avril dernier, le Programme de toxicologie national des Etats-Unis (US National Toxicology Program) appelait ainsi à faire preuve de vigilance quant aux conséquences des taux d’exposition actuels au BPA sur le système nerveux et le comportement tant des fœtus que des nourrissons et des enfants. Une prudence partagée par le gouvernement canadien dont une évaluation préliminaire a reconnu le bisphénol A comme étant une substance toxique au regard des critères définis par la Loi canadienne sur la protection de l’environnement de 1999. A la lumière des réserves émises par le ministère de la Santé (Santé Canada), notamment concernant les tout-petits, les instances gouvernementales ont fait part de leur souhait d’interdire l’importation, la vente et la promotion de biberons contenant du bisphénol A dans le cas où aucune nouvelle information ne serait apportée par les consultations publiques qui se déroulent actuellement sur cette thématique.
Lui reprochant pour sa part d’ignorer les études scientifiques réalisées sur des cellules en culture dont elle est l’auteur, l’association Antidote Europe accuse l’EFSA de minimiser les risques réels. En effet, selon l’association, les recherches entreprises par ses équipes de chercheurs auraient révélé « des activités cancérigènes et de perturbateur endocrinien ». Démentant l’argument avancé par l’EFSA selon lequel la capacité de l’organisme à éliminer le bisphénol A le protégerait de ses propriétés toxiques, Antidote Europe insiste sur le fait que la plupart des médicaments sont métabolisés et éliminés dans les heures suivant l’ingestion, sans que le patient ne soit pour autant à l’abri d’effets secondaires.
Si le débat autour du bisphénol A est donc loin d’être clos, la législation européenne REACH pourrait apporter un regard neuf sur la polémique, ayant entamé le 1er juin dernier une nouvelle phase au cours de laquelle les industriels seront amenés à démontrer l’innocuité de toute substance jugée suspecte.
Cécile Cassier
1- La dose journalière admissible correspond à la quantité d’une substance pouvant être ingérée par jour sans risque affirmé. Elle est exprimée en fonction du poids corpor
Amusez-vous bien.
On s’amuse bien , Monkeyman !!! La vie est vraiment un miracle.
La place du mort…
Il n’y a pas que le mercure qui est dangereux… Magnifique court métrage en 3D…
{dailymotion}k6D9fWbH5b8TB2NhCM{/dailymotion}
😉
Il faut aussi faire attention à l’or et à l’argent qui peuvent se réveler dangereux dès que les taux sont élevés !!!!!!!
Les systemes cariés sont dangereux par principe !
grossesse
comment imaginer qu’un produit en permanence dans la bouche d’une femme enceinte soit inoffensif pour le foetus en pleine construction nerveuse
Appuyé par erruer sur « avis+ » sous le commentaire de Bouledegomme. je nj’apprécie pas du tout ce commentaire, ce ton de dérision vis à vis de quelqu’un dont les recherches et les communications contribuent à sauver l’humanité d’un fléau, de la mauvaise foi, de l’ignorance, de la bêtise.
Il faut vraiment ne pas savoir ce que c’est que de voir ses compétences, ses talents, ses bonheurs,sa famille, sa vie plongées dans un gouffre en raison d’une intoxication au mercure. Moi je sais.
Merci Estelle Vereek !