Hillary Clinton a commis un lapsus gravissime.

Est-ce la défaite qui rend l'ex-première dame amère ou a-t-elle été la victime d'un malheureux lapsus ?

Quoiqu'il en soit, en affirmant que la campagne présidentielle n'est pas jouée d'avance et que tout peut encore arriver comme en 1968 avec Robert Kennedy, Hillary Clinton a creusé sa propre tombe.

Il y a de cela quarante ans, lors de la course à la Maison-Blanche, Robert Kennedy, leader dans les sondages et candidat phare de son parti, était assassiné par un islamiste dans un grand hôtel de Californie.

Doit-on voir dans les paroles de Hillary des menaces de mort à l'encontre de Barack Obama ? Je ne pense pas. Mais pour une politicienne d'expérience, ce genre de dérapages peut sceller la fin d'une carrière.