La pollution automobile reste un fléau mais pas une fatalité, voici les bonnes résolutions à prendre :
– Soyez bien gonflés, surveillez la pression de vos pneus :
Des pneumatiques sous gonflés entraînent une surconsommation d’environ 3 % pour un déficit de 0,3 bar. La pression indiquée par le constructeur peut être augmentée de 15 % sans aucun danger avec une économie non négligeable sur votre consommation si vous roulez à vélo, vous aurez moins d’efforts à faire avec des pneus bien gonflés.
– Choisir des véhicules qui consomment moins :
La pollution atmosphérique est en grade partie causée par les véhicules que nous utilisons.
Certains de ces véhicules ont des polluants  très dangereux pour la santé et pour la planète par l’augmentation de l’effet de serre.
Sur ce plan, il faut dire que les engins à deux roues comme certains scooters et les petites voitures urbaines affichent les meilleurs résultats en matière de pollution de l’air : leur consommation ainsi leur rejets sont faibles. Les véhicules tout-terrain sont les plus polluants avec un surplus de consommation de 4 litres/100 km par rapport aux autres véhicules. Les 4×4 émettent jusqu’à trois fois plus de CO2 qu’une voiture de ville ; et à 50 km/h en ville ces engins  à 4 roues motrices consomment deux fois plus de carburant que des modèles classiques.
Pour autant, le marché des 4X4 continue de croître malgré des prix assez élevés. Difficile de comprendre cet effet de mode signe d’un snobisme irraisonné et puéril en zone urbaine.
– Opter pour le transport en commun c’est moins de voitures, donc moins de bouchons sur la route, car 95 % des voitures sont occupées uniquement par leur conducteur.
– Autant que possible, trouver d’autres moyens que sur le toit de votre voiture pour transporter les bagages d’une certaine quantité. Car trop de bagage entraîne une surconsommation de 10% à 120 km/h et cela peut entraîner des accidents si jamais les attaches venaient à céder.