Une vingtaine de Ksours viennent d’être restaurés à des fins touristiques par des experts en rénovation des vestiges historiques. Le département de la culture a alloué, pour ce faire, des fonds estimés, entre 100 et 400 mille dinars par Ksar (singulier de Ksour). La préservation et la valorisation du patrimoine écologique, culturel en Tunisie sont parmi les principaux facteurs qui ont contribué à promouvoir le tourisme saharien dans plusieurs gouvernorats du sud tunisien.

Les ksours, qui sont des greniers constitués de cellules d’engrangement, appelés ghorfas, sont concentrés dans le sud est du pays. Avec ses ksours, Tataouine, située 600 km au sud de Tunis, est, aujourd’hui, l’une des cités les plus pittoresques du sud tunisien. Elle compte, à elle seule, 64 Ksour sur un total de 150. Empruntés du latin Castrum (fort ou place forte), les Ksour, forteresses utilisées autrefois pour mettre à l’abri les denrées essentielles (céréales, huile d’olive, légumes secs,à) des envahisseurs, combine généralement greniers et habitations.

On les trouve communément sur des contreforts proches d’oasis afin de se protéger d’attaques venant de tribus nomades. Ils sont composés de cellules, appelées ghorfas, qui servent à stocker les denrées en prévision des années de sécheresse et des temps difficiles. Ces sites constituent une destination privilégiée des touristes.

Parmi les ksour les plus célèbres de Tataouine, figure Ksar Cheneni (20 Km de Tataouine), considéré comme le plus ancien et le plus grand des Ksour berbères et le plus visité notamment après les travaux de réfaction et l’amélioration de sa desserte.

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Vient ensuite, « Ksar Haddada », situé à environ 6 km au nord de Ghomrassen. Cette forteresse a, pour sa part, servi, en 2000, de cadre et de décor, au tournage du célèbre film américain « La guerre des étoiles », réalisé par Georges Lucas. Ce Ksar, un véritable labyrinthe composé de 567 ghorfas, couvre une superficie de 6400 mètres carrés. Il sera prochainement converti en une unité touristique de toute beauté après la rénovation et restauration de ses ghorfas.

Quant au « Ksar Ouled Debbab » (zone de Tataouine Nord), il a été valorisé par un promoteur tunisien dans le cadre de la participation des privés à l’exploitation des sites archéologiques. Ce site touristique comprend actuellement un café maure et un musée d’habits et de bijoux traditionnels.

Les travaux de restauration de plusieurs de ses ghorfas ont démarré afin d’offrir le confort nécessaire aux touristes pour un long séjour. D’autres travaux de restauration sont réalisés au niveau du « Ksar Rekhayssa Dagrara 2 », « Ksar Daghrara 1 Djbel Sad », « Ksar Ouled Boujlida » et « Ksar El morra ». Les Ksour ont joué un rôle central dans la vie des habitants de la zone en leur assurant équilibre et stabilité tant ils faisaient fonction à la fois de lieux servant à la conservation de la nourriture, aux activités éducatives, religieuses et commerciales.

Ces édifices font partie indéniablement du patrimoine culturel de la région de Tataouine et témoignent de son évolution historique et sociologique et suscitent un grand engouement de la part des touristes.

Le Ksar est constitué de plusieurs parties d’une dimension différentes selon sa position géographique et le nombre de personnes composant la tribu. Il se compose d’un vestibule, d’un patio et de chambres. Les Ksour peuvent être de forme rectangulaire ou circulaire. Les ghorfas ou chambres sont d’une architecture particulière qui prend en considération les conditions de conservation des récoltes, et du bétail. Chaque ghorfa donne accès à une autre à travers des escaliers acrobatiques extérieurs qui courent sur la façade fait de plâtre.

Une vingtaine de Ksours viennent d’être restaurés à des fins touristiques par des experts en rénovation des vestiges historiques. Le département de la culture a alloué, pour ce faire, des fonds estimés, entre 100 et 400 mille dinars par Ksar (singulier de Ksour). La préservation et la valorisation du patrimoine écologique, culturel en Tunisie sont parmi les principaux facteurs qui ont contribué à promouvoir le tourisme saharien dans plusieurs gouvernorats du sud tunisien.

Les ksours, qui sont des greniers constitués de cellules d’engrangement, appelés ghorfas, sont concentrés dans le sud est du pays. Avec ses ksours, Tataouine, située 600 km au sud de Tunis, est, aujourd’hui, l’une des cités les plus pittoresques du sud tunisien. Elle compte, à elle seule, 64 Ksour sur un total de 150. Empruntés du latin Castrum (fort ou place forte), les Ksour, forteresses utilisées autrefois pour mettre à l’abri les denrées essentielles (céréales, huile d’olive, légumes secs,à) des envahisseurs, combine généralement greniers et habitations.

On les trouve communément sur des contreforts proches d’oasis afin de se protéger d’attaques venant de tribus nomades. Ils sont composés de cellules, appelées ghorfas, qui servent à stocker les denrées en prévision des années de sécheresse et des temps difficiles. Ces sites constituent une destination privilégiée des touristes.

Parmi les ksour les plus célèbres de Tataouine, figure Ksar Cheneni (20 Km de Tataouine), considéré comme le plus ancien et le plus grand des Ksour berbères et le plus visité notamment après les travaux de réfaction et l’amélioration de sa desserte.

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Vient ensuite, « Ksar Haddada », situé à environ 6 km au nord de Ghomrassen. Cette forteresse a, pour sa part, servi, en 2000, de cadre et de décor, au tournage du célèbre film américain « La guerre des étoiles », réalisé par Georges Lucas. Ce Ksar, un véritable labyrinthe composé de 567 ghorfas, couvre une superficie de 6400 mètres carrés. Il sera prochainement converti en une unité touristique de toute beauté après la rénovation et restauration de ses ghorfas.

Quant au « Ksar Ouled Debbab » (zone de Tataouine Nord), il a été valorisé par un promoteur tunisien dans le cadre de la participation des privés à l’exploitation des sites archéologiques. Ce site touristique comprend actuellement un café maure et un musée d’habits et de bijoux traditionnels.

Les travaux de restauration de plusieurs de ses ghorfas ont démarré afin d’offrir le confort nécessaire aux touristes pour un long séjour. D’autres travaux de restauration sont réalisés au niveau du « Ksar Rekhayssa Dagrara 2 », « Ksar Daghrara 1 Djbel Sad », « Ksar Ouled Boujlida » et « Ksar El morra ». Les Ksour ont joué un rôle central dans la vie des habitants de la zone en leur assurant équilibre et stabilité tant ils faisaient fonction à la fois de lieux servant à la conservation de la nourriture, aux activités éducatives, religieuses et commerciales.

Ces édifices font partie indéniablement du patrimoine culturel de la région de Tataouine et témoignent de son évolution historique et sociologique et suscitent un grand engouement de la part des touristes.

Le Ksar est constitué de plusieurs parties d’une dimension différentes selon sa position géographique et le nombre de personnes composant la tribu. Il se compose d’un vestibule, d’un patio et de chambres. Les Ksour peuvent être de forme rectangulaire ou circulaire. Les ghorfas ou chambres sont d’une architecture particulière qui prend en considération les conditions de conservation des récoltes, et du bétail. Chaque ghorfa donne accès à une autre à travers des escaliers acrobatiques extérieurs qui courent sur la façade fait de plâtre.

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