Pascal Virot mort, le journalisme perd l’un de ses Sphinx…

C’est rare ; donc vaut d’être relevé. Pour qu’une ou un second, surtout appartenant à l’armée mexicaine de redchefs d’un grand quotidien « hexagonal », ait droit à autre chose qu’à la nécro usuelle d’un petit feuillet, il ne suffit pas que le train de sa dépouille arrive en retard. Pascal Virot, de Libération, parti prématurément (56 ans), s’est vu décerner la double page, avec portrait sur trois cols et demi ; une fausse justif’ de mise en valeur en cette édition « dominicale » (sam. & dim.).
Obituary que pourraient, le plus tard possible, lui envier nombre de consœurs ou confrères britanniques… c’est dire !

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