MERCI Ô FRÈRES THAÏLANDAIS.

SALUT Ô FRÈRES THAÏLANDAIS.

Être pour quelques jours en TUNISIE, profiter de la nuit dense du sud éternel, écouter à quelques mètres de ma couche,de ma bouche, de mon râle, de mon souffle, au sommet de ma larme, où mes amours, perdus ou retrouvés respirent mes angoisses, mes fureurs, mes douleurs, mes joies et la fièvre du baiser et de la caresse, appeler les choses par leurs noms, et dire aux étoiles filantes, ici je suis, ici je serais, ici je vis et ici je meurs, j'aime tes fièvres et ta folie mon beau pays de la démesure, tu aurais été un homme tu serais mon amant, j'aurais été ta courtisane, la dérive de ta semence et le fruit de ton pêcher, je t'aime, et c'est si peu te dire ma folie.
Je t'aime dans cette nuit belle qui déride mon cœur, qui floue mes souvenirs et mon sommeil, qui déchire mes flancs et me pousse à aimer mes semblables.
mon doux pays, quand je suis entre tes bras, la charogne je sais est toujours aux portes de nos lieux communs , et même là, tu me manques. quand tu es en moi, ma terre, mon pays, je suis toujours en transit, sur AIR PARABOLE, le monde dans un clin d'œil, parce que la vie, parce que la mort, parce que je veux t'arracher aux griffes des assassins, AIR PARABOLE, le monde dans un clin d'œil, la cinq française, MBC, CNN, BBC, et surtout ALJAZZIRA, C'est beau Bangkok .

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