Le dispositif antiterroriste décapite une cellule active de l’ETA

Le dispositif antiterroriste vient de faire, une nouvelle fois, la preuve de son efficacité. L’interpellation de quatre individus, à Cahors, la découverte d’un arsenal, qui met à jour l’imminence d’un attentat.

Des policiers français, des membres de la garde civile Espagnol ont réussi un joli coup de filet. L’un des suspects appréhendés n’est autre que l’artificier historique de la fraction armée du groupe indépandantiste basque. 

Le terrorisme est l’arme des laches…

Luis Ignacio Iruretagoyena Lanz, le spécialiste des bombes et des explosifs de l’ETA, figure parmi les suspects. L’artificier historique, sous les verrous. Depuis la sinistre annonce du cessez-le-feu, du groupe basque, le dispositif antiterroriste français a fait étalage de son efficacité. 22 personnes arrétées, la majorité sur le territoire français, portant un rude coup à la nébuleuse basque.

Les spécialistes du terrorisme sont formels. La cellule était opérationnelle et s’apprétait a commettre un attentat. Un véritable arsenal a été découvert. Le salon de la maison, transformé en laboratoire, démontrait l’importance de cette arrestation. Explosifs, détonnateurs, bombe ventouse, l’attirail ne laisse place au doute. Un attentat à la voiture piégée se préparait.

Une base opérationnelle mis hors d’état de nuire. La nébuleuse basque se voit à nouveau désorganisée. Les autorités Espagnoles affirment qu’il ne faudra pas longtemps à l’organisation pour mettre en place, une nouvelle équipe. Des représailles sont à craindre et le dispositif antiterroriste est placé sous des charbons ardents. La coalition franco-espagnole a démontré son efficacité, et tisse déja les mailles du filet…