Francis Evrard avait refusé un traitement médical

Francis Evrard, le pédophile arrété pour l'enlèvement du petit Enis, aurait refusé un traitement médical, alors qu'il était encore en prison en 2000. Il disait en effet vouloir se marier et fonder une famille.

Le traitement anti-hormonal n'a donc pas été effectué.

De 1969 à 1973, l'individu aurait déjà été interné en Belgique, toujours pour pédophilie.

Rachida Dati a affirmé vouloir interdire les remises de peine à tous les pédophiles refusant les traitements médicaux, à partir de maintenant.

Nicolas Sarkozy, quant à lui, se disait partisan de la castration chimique, c'est à dire un traitement médicamenteux anti-hormonal, annihilant les pulsions sexuelles des individus à risques.

Un pédophile privé de réduction de peine

Après les frasques de Francis Evrard, à peine sorti de prison, c'est au tour d'un autre pédophile de se vanter, encore derrière les barreaux, de ses futurs actes pédophiles. Pourtant, cette fois, la pilule n'est pas passée…

Le personnel pénitentiaire, affecté par les actes de Francis Evrard, n'a pas pris à la légère les menaces de cet autre prisonnier de 42 ans. Une perquisition dans sa cellule a révélé des photos d'enfants, découpées dans un catalogue. Suffisant, selon le Parquet, pour demander à ce qu'il ne sorte pas plus tôt que prévu.

Emprisonné pour viol sur une fillette de 11 ans, le profil rappelle celui de Francis Evrard. Il inquiète beaucoup ses gardiens.

Rachida Dati a répliqué en demandant que l'on interdise toute réduction de peine à un pédophile refusant un traitement médical en prison. 

Pédophilie et affaire Evrard

Un fois de plus suite à la libération d’un pédophile, on a pu voir quelles en sont les conséquences. Alors que la bonne morale nous dit qu’il faut donner une seconde chance aux pédophiles, car ils peuvent être soignés ou se repentir, on a encore vu récemment que ces gens une fois libérés recommencent leurs atrocités, volant ainsi la naïveté et la vie de leur jeunes victimes.

Cerise sur le gâteau on a récemment appris avec l’affaire Evrard que les pédophiles une fois libérés peuvent même se procurer du Viagra. Alors au lieu de passer son temps à défendre ces gens là, et de dire qu’ils n’ont rien à faire en prison, il serait peut être temps de prendre des mesures contre ces criminels qui volent l’insouciance de nos enfants.

 

L’affaire Evrard refléte un grand vide juridique.

L'affaire Francis Evrard est le révélateur qui étale toutes les carences de l'appareil judiciaire.

Le vide juridique face à la pédophilie est consternant. Les prédateurs agissent à leur guise et le suivi médico-social n'est qu'un leurre. La réunion de ce lundi matin doit clarifier la situation et redéfinir un dispositif efficace de lutte….

 

Continuer la lecture de « L’affaire Evrard refléte un grand vide juridique. »