s’auto employer en qualité de conseiller en nutrition en travaillant chez vous?

La majorité des gens se nourrit mal. Cela se fait parfois inconsciemment. En effet, il n’est pas toujours aisé de savoir quoi consommer et comment le faire pour rester toujours en parfait état de santé. D’ailleurs, d’une étude scientifique, il ressort que, savoir se nourrir, fait partie des conditions pour augmenter son espérance de vie. Au regard de cette analyse, nous pouvons affirmer sans conteste, qu’il existe bien un marché pour un conseiller en nutrition indépendant. Les clients potentiels ne manquent pas. Il est d’ailleurs possible de travailler chez vous.

Continuer la lecture de « s’auto employer en qualité de conseiller en nutrition en travaillant chez vous? »

OGM, Touche pas à mon riz !

D’après un sondage commandé par Greenpeace Chine, le peuple chinois s’est majoritairement exprimé contre à 69% pour les consommateurs de la Chine continentale et 79% pour les habitants de Hong-Kong.

Les bureaux de Greenpeace de Pékin sont assaillis d’appels et de mails provenant de ménagères, collégiens, marchands de semences et d’agriculteurs inquiets de l’arrivée de ce riz transgénique avec cette même question "Comment faire pour éviter de consommer ce riz modifié ?".

Continuer la lecture de « OGM, Touche pas à mon riz ! »

Un système de santé à revoir au Québec

La situation du Québec fait partie des plus enviables dans le monde, puisque son économie est plutôt prospère et que tous les citoyens ont accès à l’éducation. Cependant, qu’en est-il du système de santé ? Ces dernières années, celui-ci souffre de nombreux problèmes auxquels il serait temps de remédier, notamment le manque d’attrait des régions pour les médecins de famille, la pénurie de professionnels et l’inaccessibilité de certains médicaments essentiels.

Continuer la lecture de « Un système de santé à revoir au Québec »

Sida au Cameroun : Les choses évoluent…

 

Le Cameroun fait partie des pays d’Afrique les plus touchés par le Sida. Dans le pays, le Sida fait partie des premières causes de mortalité, notamment en milieu jeunes. La tranche d’âge de 18 à 24 ans constitue la couche la plus touchée. Aussi, les femmes sont les plus vulnérables.

Actuellement, près d’un demi-million de Camerounais  vivent avec le Sida ; ainsi, le taux de prévalence oscille autour de 5%, même s’il faut relever d’énormes  disparités. Depuis quelques années, avec les différents efforts qu’ont engagés les autorités camerounaises avec le soutien des partenaires internationaux,  on note une légère baisse de l’évolution de la pandémie au sein de la société camerounaise. Au Cameroun, les autorités ont rendu presque gratuit  le test du Sida ; aussi, de nombreuses campagnes de sensibilisation sont régulièrement organisées, pour inviter les jeunes à faire leur test, à éviter les comportements à risque, et surtout à s’habituer au préservatif masculin comme féminin. Plus loin, l’accès aux antirétroviraux s’est démocratisé, donnant ainsi la possibilité aux malades issus des familles pauvres de  suivre tout aussi sereinement leur traitement.

Dans le pays, la moitié des patients éligibles au traitement du VIH/sida suivent désormais un traitement contre seulement 1 % d’entre eux en l’an 2000. Ce progrès est le fruit d’une politique sanitaire efficace mise sur pied par les autorités depuis quelques années. Ainsi, ce sont près de 80 000 patients qui bénéficient de traitements efficaces. De concert avec la communauté internationale, le Cameroun va célébrer ce 01er décembre la journée internationale du Sida,  avec un bilan plutôt encourageant. Cette fois, les autorités camerounaises entendent poursuivre le combat, en axant surtout leur action sur la prévention de la transmission de la maladie de la mère à l’enfant.

 

Pas de vrai remède miracle contre les poux.

 

Alors qu’avec le réchauffement climatique on nous annonce dans les années à venir une forte augmentation d’espèces d’insectes en France qui risquent de poser de sérieux problèmes de santé, on se préoccupe actuellement de la prolifération des poux qui deviennent de plus en plus résistants aux traitements utilisés pour les combattre.

Continuer la lecture de « Pas de vrai remède miracle contre les poux. »

Les 10 lieux les plus insolites pour donner naissance

 

Tu as lu bien des livres, tu as suivi des cours, tu as ton sac tout prêt pour partir à l’hôpital et tu es bien préparée à donner naissance à un enfant. Mais quelque fois rien ne se passe comme prévu. Des incidents inattendus ont obligé certaines mères à donner naissance dans des lieux insolites et non à la maternité.

Voici ci-dessous les 10 lieux les plus insolites où des femmes ont donné naissance :

1. Dans les arbres : en 2000, Sofia Pedro du Mozambic (Afrique) est montée dans les arbres pour se sauver des inondations. La mère héros se trouve au milieu des branches lorsqu’elle donne naissance à la petite Rosita. Quelques minutes plus tard, ces deux dernières ont été transportée en hélicoptère à l’hôpital alors qu’elles étaient encore liées par le cordon ombilical.

2. Au McDonald’s : en 2007, Danille Miller travaillait au McDonald’s quand elle a subitement senti un fort besoin d’aller aux toilettes, elle ne savait alors pas qu’elle était enceinte. Quelques minutes plus tard elle a donné naissance à Austin.

3. Dans une bibliothèque : Dominique Trevino était dans le bus, en direction vers l’hôpital, quand elle a perdu les eaux. Son médecin gynécologue étant, par chance, dans le même bus, lui a suggéré de sortir au prochain arrêt. Ils sont arrivés tous les deux dans une bibliothèque, où Dominique a donné naissance à une petite fille.

4. Dans un bureau de poste : Sonia Marina Nascimento du Royaume-Unis s’est arrêtée à la poste pour recharger son téléphone. Pendant qu’elle faisait la queue elle a perdu les eaux, le personnel de la poste l’a aidée à mettre au monde une petite fille, qu’ils ont pesée sur la balance de la poste.

5. Sur un passage piéton : en 2009, Tiffany Kohls a donné naissance à Kellen, juste avant son entrée à l’hôpital. Son bébé trop pressé pour venir au monde, ce sont des agents de sécurité et des assistantes qui l’ont aidé à mettre au monde dans la rue.

6. Pendant qu’elle conduisait : en 2010, Amanda McBride a pris la voiture pour arriver au plus vite à la maternité pour accoucher. Elle prit son mari et ils se mirent en route pour l’hôpital. Lorsqu’elle a demandé à son mari de prendre le volant elle raconte qu’elle entendait déjà les pleurs du bébé.

7. Sur le bord de la route : un couple du New Jersey était en route pour l’hôpital, quand la femme a commencé à avoir des contractions. Ces deux derniers se sont garés sur le bord de la route. Le futur père avec le téléphone à l’oreille et sous les conseils du médecina aidé sa femme à accoucher.

8. A des milliers de mètres d’altitude : en septembre, Aida Alamillo se trouve dans l’avion de Manila à San Francisco, quand elle commence à avoir les signes annonciateurs. Trois assistantes médicales trouvées sur le même vol et l’équipage l’ont aidé à mettre au monde le petit Francis.

9. En direct sur internet : Nancy Salgueiro, canadienne, a voulu mettre sur internet en live la naissance de son deuxième enfant. Elle a été suivie de près de 2000 téléspectateurs, qui se sont enregistrés pour voir l’accouchement en direct. Le cordon ombilical a été coupé par son plus grand fils de deux ans.

10. Dans une galerie d’art : Marni Kotak a planifié la naissance d’Ajax dans une galerie d’art new-yorkaise, considérant la venue au monde d’un nouvel être ‘’le summum de l’art ‘’. Près de 20 personnes, venues à un vernissage, ont assisté à la naissance du petit garçon.

 

TOUS DIFFERENTS

Emission qui passe sur NT1, petite chaîne bien sympathique et qui a le mérite de mieux nous faire comprendre les différences ou l’originalité de certains.

Ces reportages sans tabou nous permettent une approche différente plus concrète des différences qui pourraient nous heurter.

Quelques sujets abordés :

Je suis naturiste et j’assume

Sorcière, exorciste, ghostbusters

Je suis la vraie belle au bois dormant

C’est de ce dernier reportage que je voudrais parler car il m’a ému.

 

Louisa, 16 ans, jeune anglaise est une adolescente sans histoire particulière jusqu’au jour où elle se met à raconter n’importe quoi à ses amies (nous allons déménager en Espagne) et à se sentir fatiguée.

 

Elle se plonge une première fois dans un sommeil qui durera plusieurs jours sans que personne ne puisse la réveiller y compris le baiser du Prince Charmant.

 

Ses parents, alertés par son nouveau comportement bizarre vont voir un premier médecin puis d’autres avec, à chaque fois, traitement à l’appui jusqu’au jours où un médecin leur annonce le diagnostic suivant : Louisa souffre d’une maladie génétique : syndrome de Kleine-Levin (maladie qui touche essentiellement les jeunes) due à une défaillance de son lobe temporal, ceci révélée lors d’une radiographie de pointe. A l’heure actuelle, peu de médecins connaissent et savent diagnostiquer cette maladie.

 

Des traitements bien sûr, mais les traitements de Louisa lui permettent simplement d’espacer ses crises qui peuvent survenir 8 jours ou 6 mois après la précédente.

 

De plus, le fait de dormir en cycle long (8-10 jours) peut affecter la mémoire.

 

Inutile de vous dire comment la vie de cette adolescente, pleine de vie, intelligente et belle est bouleversée : ses études, son entrée à la fac.

 

Malgré tout, fan de sport, elle réussira à rentrer dans une école de sport. Belle fin mais Louisa n’est toujours pas débarrassée de sa maladie.

 

D’autres maladies du sommeil sont handicapantes : Maladie de Lyme (occasionnée par les tiques), la maladie du sommeil (mouche tsé-tsé), Narcolepsie.

 

Ceci dit, je souhaite à tous un bon et heureux sommeil, bien réparateur (n’est-ce pas Sophy ?)

La malbouffe ramollit le cerveau

Après la toxine botulique qui attaquerait les neurones des candidates à la jeunesse éternelle, ce serait maintenant la malbouffe qui ferait des ravages dans le cerveau de nos petits…

En effet, d’après une récente étude menée en Grande-Bretagne sur 14 000 enfants nés en 1991 et 1992 et publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health, un lien pourrait exister entre la malbouffe pendant la petite enfance et un plus faible quotient intellectuel.

Cette étude a pris en compte leur mode de vie, leur état de santé ainsi que le niveau d’éducation de la mère, la classe sociale à laquelle ils appartiennent, la fréquence d’utilisation de livres ou de la télévision entre 3 et 8 ans, âge auquel les enfants ont passé un test de QI .

Les résultats s’avèrent sans appel : les enfants ayant eu durant ce laps de temps une alimentation riche en sucres et en graisses ont un QI inférieur de 5 points à celui des enfants ayant bénéficié d’un régime alimentaire équilibré

Le cerveau, organe très sophistiqué, commande le corps et consomme tous les jours 20% de notre énergie. Et il en faut des nutriments pour produire tous les différents neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine…) qui participent à la construction de notre mémoire, régule nos humeurs et nos comportements. 

Il faut bien reconnaître que le fast-food est aujourd’hui plus qu’une alimentation, c’est aussi un style de vie. Bien évidemment, il serait simpliste et incorrect de n’accuser que la nourriture que nous mangeons… Mais rappelez-vous Morgan Spurlock, journaliste, qui avait expérimenté sur lui les effets de cet alimentation. Dans le documentaire "Super Size Me", il décrit comment en 30 jours (en ne mangeant que Mc Donald’s), il a pris 11 kg, détraqué son foie et commencer à sombrer dans la dépression. 

Vous reprendrez bien un peu d’hamburger ?

Le réfrigérateur peut être dangereux pour la santé

 

Un million de britanniques souffrent de maladies causées par une infection alimentaire, 20 000 d’entre eux sont hospitalisés et 500 personnes meurent à la suite de la consommation d’aliments infestés.

Une des principales causes d’empoisonnement est le mélange d’aliments contaminés. Un exemple serait du poulet cru, contaminé par des bactéries pouvant être mortelles comme le campylobacter, qui est situé à côté d’une salade. La bactérie présente dans le poulet, entrée en contact avec la salade contamine alors également cette dernière. Alors que la cuisson du poulet tue la bactérie et l’élimine de cette manière, la salade se mange crue.

Un réfrigérateur peut cacher 750 fois plus de bactéries que le niveau considéré comme sûr, y compris des salmonelles. Attention, cela ne veut pas dire qu’il ne faut plus utiliser le frigo, il faut juste respecter quelques petits conseils simples, qui nous évitent bien des complications.

Alors voici une série de conseils pour les consommateurs, dont le respect pourrait les protéger contre les maladies causées par les nombreuses bactéries du réfrigérateur.

• La viande ne doit pas être placée sur l’étagère haute du réfrigérateur, car les intoxications alimentaires proviennent du mélange des produits et ainsi de leurs bactéries.

• Les différentes sortes de fromages devraient rester séparées des autres aliments dans le réfrigérateur, comme les pâtés ou de maquereau fumé.

• Les légumes doivent être lavés avant d’être placés dans un compartiment séparé dans le réfrigérateur.

• Le frigo doit être nettoyé toutes les semaines.

• Le riz, les céréales et les épices contiennent une bactérie responsable de deux des cinq cas d’intoxication alimentaire, qui provoque des nausées, diarrhées et état comateux. Le riz déjà cuisiné doit être jetée s’il est là depuis plus de trois jours.

• Bien qu’il puisse paraitre et sentir bon, les aliments pré cuisinés peuvent être dangereux pour le corps, si consommé plus de trois jours après l’ouverture.

• Les aliments crus peuvent moisir, et cette moisissure n’est pas détruite par la cuisson. Jeter tous fruits, légumes ou produits laitiers qui montrent des signes de moisissure.

 

 

Et la santé, elle en dit quoi, la gauche ?

 La santé de nos concitoyens, voilà un bon sujet de campagne ! Depuis cinq ans, les Français ont de plus en plus de mal à se faire soigner. Quand on pense que de plus en plus de personnes renoncent aux soins : selon un sondage récent, pas moins de 29 % des personnes interrogées ont déclaré ne pas s’être fait soigné ou ont dû différer les soins.

La santé coûte de plus en plus cher et ce sont les plus fragiles qui vont une fois de plus faire les frais de cette situation. D’après l’UFC Que choisir, le coût de la santé pour chaque Français s’élève à 665 euros par an contre 571 en 2007. Plus de 16 % en cinq ans, les salaires n’ont pas progressé de la même façon ! La France est en train de devenir un des plus mauvais élèves de l’Europe en matière d’accès aux soins, puisque à part les Polonais, nous sommes bons derniers avec nos 29%. Les Anglais ou les Espagnols n’ont que 5 à 6% de malades qui ne se font pas soigner. Même les médecins s’alarment de plus en plus et plusieurs d’entre eux essaient de faire de la résistance face aux « consignes de restriction de l’accessibilité aux soins ». Certains vont même jusqu’à affirmer que « des décès consécutifs à des retards de soins auraient pu être évités. » Un bilan bien alarmant donc que l’on ne peut qu’attribuer à la politique du gouvernement actuel qui sous prétexte d’économie est prêt à brader notre système social. Plutôt que de se demander si on va arrêter l’énergie nucléaire dans 25 ans, j’aurais préféré que le PS et en particulier François Hollande nous explique comment il compte remédier à cette situation l’année prochaine, pas dans dix ans. Je pense que ça intéresse autant nos compatriotes que la perte ou non du triple A qu’on nous annonce comme une catastrophe. Quatre millions de Français qui n’ont pas de complémentaire santé, ça peut aussi peser dans la balance. Des maladies que l’on croyait disparues qui réapparaissent comme la tuberculose ou la gale, ça intéresse tout le monde. Allez, François, dans ce domaine, au moins tu aurais l’avantage. J’attends de ta part que tu fasses baisser la taxe sur les mutuelles, réexamines le déremboursement de nombreux médicaments, t’intéresses aux dépassements d’honoraires et aux franchises médicales …  Il y a de quoi faire ! Source de cet article : Valeurs mutualistes n°275