Un citoyen qui ne comprend rien à la crise et Goldman-Sachs

"Il n’y a pas de crise !! Ou plutôt s’il y en a une, ce n’ est certainement pas aux états de payer l’addition. Les vrais coupables, c’est Goldman-Sachs !
"Quand on ne s’intéresse pas aux discours servis par les médias traditionnels, Goldman-Sachs sont deux noms que l’on entend souvent. Une sorte d’ association de malfaiteurs, une tarentule qui compte dans sa toile banquiers et spéculateurs, investisseurs et hommes politiques.

Dans un entretien radiophonique sur la radio Ici et Maintenant, Alexandre et A.J. Holbecq nous decriptent l’excellent article "La grande machine à bulle américaine" écrit par Matt Taibbi et paru dans le magazine Rolling Stones.

Donc quand on fouille un peu plus loin que sa télé, on sait déjà qu’à défaut de crise, on a assisté (et cela continu) à des transferts gigantesques de milliards de dollars (fonds de pensions, immobiliers, denrées alimentaires…) réinvestis pour devenir des trillions de dollars certifiés (Goldman&Sachs). Oui, quand on fouille plus loin, on sait déjà que le monde a un prix, et qu’il est actuellement près à être re-vendu au seul offrant du marché.

Le goût de la ruine et de l’endettement des autres pour une plus grande suprématie financière de Gol…, je vais les appeler Picsou, c’est moins chiant à écrire et cela leur va mieux…donc, les Picsou sont apparemment une véritable dynastie de la finance. On leur doit déjà en partie la crise de 1929, qui, selon les dires de l’auteur et du commentateur, n’était qu’un premier essai. Couronné par le succès que l’on sait.

Il n’y a pas de Picsou sans spéculateurs. Et c’est là toute la réussite de la banque d’investissement: des sociétés-écrans qui investissent pour faire monter les cours, puis revendent 90% de leurs acquis. Invitant au passage plusieurs banques à les suivre, comme cité plus haut, fonds de pensions, immobiliers, denrées alimentaires…et quand la chute intervient, quelle importance. Encore plus qu’en 1929, les dividendes valaient bien l’acharnement engagé. Et les sociétés ruinées.

Le monde a vraiment changé depuis que la banque des Picsou a choisi de spéculer, ou plutôt de ruiner les cours mondiaux des denrées alimentaires. Notre système financier n’ est pratiquement plus que virtuel. Et lorsqu’il s’agit de l’alimentaire, c’est directement avec la vie de millions de personnes que les investisseurs jouent. Harper Magazine a estimé à 250 Millions le nombres de personnes affamées à travers le monde.

Et alors que des pays entier brûle des feux d’une population révoltée contre le "rachat" du monde par les Picsou et ses partenaires, je trouve ici une excellente façon de montrer combien il est inutile de voter dans quelques mois: personne ne choisira de toute façon de s’opposer au monde de la finance. De Clinton à Bush, de Mitterrand à Sarkozy, il est bien évident que ni un vendeur de Karcher, ni un magicien-gogo ne sauvera nos âmes.

Quand je vois l’état du monde et la misère grandissante, je ne peux faire preuve de clémence face aux puissants de ce monde. Dans le cas de Goldman&Sachs qui sont, ce que l’on appelle communément en langage financier, des manipulateurs de « génie » et sans scrupules, j’avoue que mon pacifisme est tout à coup…mis à l’épreuve.

250 Millions de personnes affamées à travers le monde, pour une petites poignée de porcs qui continuent de se frotter les mains.
La troisième guerre mondiale a déjà débuté. Le monde entier contre ces quelques parasites qui doivent disparaître pour que l’humanité retrouve la lumière et la sagesse.
A nouveau.

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21 réflexions sur « Un citoyen qui ne comprend rien à la crise et Goldman-Sachs »

  1. Salut Jiminix,
    Bien évidemment je partage ton cri et ta colère.
    Nous avons deux papiers qui se complètent et portent la même révolte (1000 milliards de dollars).
    Je connais des salariés de grandes multinationales, qui achètent des actions de leur boite.
    Et pour faire monter le cours de ces actions, les dirigeants procèdent à des licenciements!!!!
    Ces salariés achètent la corde qui les pendra!

    {youtube}g6RTuWsaQO4{/youtube}

  2. Oui je l’ai vu cet article !) excellent ( et ecris par un cityoen qui lui comprend la crise 🙂
    Nos opinions ne divergent que sur une seule chose: le sionisme inévitable de nos dirigeants…;)

  3. CHUTE DANS L’HADES :
    Moody’s abaisse encore la note de la Grèce
    Sa concurrente Standard and Poor’s l’avait abaissé lundi

  4. Bah comme souvent c’est [b]Soral [/b]qui en parle le mieux… édifiant
    {dailymotion}Y0UGSc6CEE{/dailymotion}

    [url]http://www.youtube.com/watch?v=-Y0UGSc6CEE&feature=related[/url]

  5. Salut les Ardennais !

    Et oui Joaq ,le monde ouvrier tir a sa fin,y a pas plus grave quand ce petit monde,s’embourgeoise et suit allègrement le système ,sont contents ! La maison,la téloche qui tient tout un pan de mur,le dernier I phone comme ça se dit etc… Quelle honte d’être et d’avoir l’étiquette de larbin,je pense qu’en ce pays ils deviennent trop a l’aise,apparemment,la crise pour une très grande partie de la populace ,ce n’est que pour les crèves la faim dont ils détournent leurs regards nos chers compatriotes.Tous aveuglés par les médias a la con,le petit bonheur futile,le sauve qui peut quoi !!!

    Le fric,cet outil gangrène de trop l’humble citoyen qui s’y croit et se perd ! Pas étonnant que les syndicats sont inertes,inactifs comme les nouveaux larbins ,pardon,grand employés avec de nouvelles étiquettes leur donnant la sensation d’êtres considérés ,bande de nazes !!! Tout le monde s’embourgeoise et il ne nous reste plus de manifestations,de colères,de combat a livrer pour des lendemains meilleurs.Faut rester a sa place tant que tout se déroule tranquillement et surtout ne plus rien dire !! L’hypocrisie générale voilà le nouvel état de cette France de toujours !!!

    Font pitiés dans ce pays !! Changer les mentalités,y a un sacré boulot,INCONCEVABLE !!!
    Bye Joaq , Jiminix

  6. TOUT EST ARRANGE , MONSIEUR TZARKOZY !!!!!!!!!
    – L’Europe « ne doit pas perdre la Grèce »,
    met en garde le président de la BEI !!!!!
    – La Grèce pourrait avoir besoin d’une aide
    supplémentaire et on ne peut exclure un
    renforcement de la puissance de feu du
    Mécanisme européen !!!!!!!!!
    – Moody’s attribue à la Grèce sa pire note :
    [b]risque quasi certain de défaut de paiement[/b] !

  7. – À propos de « [b]The network of global corporate control[/b] »
    de S. Vitali, J. B. Glattfelder, S. Battiston


 »

    Personne, écrit notre confrère Pierre Couture du journal québécois Le Soleil, en pointe sur les toutes dernières recherches financières, ne se doutait que l’économie mondiale était tissée aussi serré.
    Mais voilà. Tout près de la moitié de l’économie de la planète serait «dirigée» par un petit groupe très sélect d’une centaine de sociétés financières et traditionnelles, tout au plus. »
    C’est en effet ce que semble bien démontrer l’étude réalisée, avec des méthodes d’investigation proches de celles des physiciens scrutant la structure de l’atome et surtout celle des réseaux de particules, trois chercheurs de l’École polytechnique de Zurich (la souriante) Stefania Vitali, et ses collègues James B.Glattfelder et Stefano Battiston).

    Leur conclusion ?

    Un tout petit réseau d’à peine 147 sociétés financières (banques, assureurs, firmes de placements, fonds d’investissements, fonds de pension, etc.) contrôle 40 % de l’économie mondiale !
    
Au sein de ce cercle restreint, une vingtaine de grandes banques.
    Elles sont presque toutes anglo-saxonnes, et d’abord américaines, à l’image de Barclays(GB), JPMorgan(USA), Merrill Lynch (USA), Morgan Stanley(USA), Bank of America (USA) – et, bien entendu Goldman Sachs (GS) « La Firme », dirigée par le mystérieux Lloyd Blankfein, fils d’une famille de juifs américains traditionnalistes du quartier pauvre du Bronx devenu le maître d’œuvre de la crise des « suprimes », aux Etats-Unis, en 2007-2008, « crise » ne tombant nullement du ciel mais enfantée, puis nourrie pas à pas, par le cynisme et la voracité de « GS » et autres géants de l’usure mondiale qui ont poussé l’immoralité financière jusqu’à « vendre » des crédits immobiliers qu’ils savaient irremboursables à des familles à bas revenus contraintes ensuite à céder à bas prix leurs maisons tandis que leurs prêteurs, qui avaient conseillé à leurs clients de la sphère financière d’investir dans les-dits crédits « subprimes » se retiraient juste à temps pour toucher de nouvelles « royalties » en spéculant « à la baisse » sur l’effondrement de ces « prêts d’une grande fiabilité », le tout entraînant la chute, spectaculaire, d’un géant de la finance américaine, LEHMAN BROTHERS, concurrent de « GS » balayé d’un seul coup tandis que s’étendait à tout l’espace euro-atlantiste, rongé par l’explosion des véhicules de crédit sophistiqués de l’époque des « subprimes » un véritable cyclone financier, dont seuls bénéficiaient les artisans de ce chaos, assez sages pour garder pour eux leurs prévisions, on ne peut plus rationnelles, sur l’effondrement du château de cartes ainsi bâti…sur une faille sismique, pour se dégager à temps, puis pour racheter à bas prix les reliefs sanguinolents de ce repas de charognards…

  8. La française BNP Paribas, les Allemands de Deutsche Bank, l’Union des Banques Suisses (UBS) et le néerlandais ING figurent aussi dans la « short list » des géants mondiaux de la finance, pour la plupart liés aux autres dans un complexe écheveau de participation croisées, ou plus rarement épaulés par de puissantes dynasties familiales indépendantes, quand ce n’est pas, de façon plus ou moins dissimulée, par des Etats.

    L’étude des « 3 de ZURICH » dégage une perspective renouvelée, en faisant apparaître un écheveau complexe de participations croisées, de réseaux capitalistiques, en forme de «noeud papillon».
    .Comme le montre le graphique ci-dessous, dû à cette équipe de chercheurs, le pouvoir financier réel se concentre aujourd’hui dans un tout petit centre, bien plus restreint, beaucoup plus intégré, plus dense, et…moins concurrentiel que ne l’imaginaient jusqu’ici les idéologues les plus critiques, bien dépassés et franchement à côté de la plaque, d’un « néo-libéralisme » qui n’a guère d’autre réalité que des effets de discours:
    Cœur du « nœud papillon » du pouvoir financier, une structure en 1318 points, un par entreprise – reliés par 12 191 liens symbolisant leurs liaisons en capital.
    Les points sont colorés du rouge au jaune, en dégradé décroissant d’intensité, pour indiquer le degré de contrôle exercé sur l’ensemble: en rouge, les plus puissantes, en jaune celles qui disposent d’un pouvoir de contrôle relativement plus limité.

    A peine plus d’un millier, donc (1318 exactement) de ces sociétés multinationales, plus financières qu’industrielles ou commerciales, possèdent à elles seules des participations dans des sociétés, elles-mêmes multinationales de l’industrie et du commerce, des « services », etc. produisant 60 % des revenus totaux de la planète!
    
Mais au sein même de ce réseau d’élite de 1318 compagnies, seul un tout petit noyau de 147 constituent le coeur du vaste réseau d’interconnexions planétaires mis au jour par les 3 chercheurs de ZURICH – confirmant les intuitions fondamentales du MARXISME OCCIDENTAL sans se contenter de les répéter « ex libris », mais en leur donnant un développement créateur fondé sur des observations factuelles et des méthodes mathématiques.

    Les 20 poids lourds du SYSTÈME FINANCIER
    

1. Barclays (GB)
2. Capital Group
3. Fidelity Investments
4. AXA (FR)
5. State Street Corporation
6. JP Morgan Chase
7. Legal & General Group
8. Vanguard Group
9. UBS (SUISSE)
10. Merrill Lynch
11. Wellington Management
12. Deutsche Bank (ALLEMAGNE)
13. Franklin Resources
14. Credit Suisse Group (SUISSE)
15. Walton Enterprises
16. Bank of New York Mellon
17. Natixis (FR)
18. Goldman Sachs Group
19. T Rowe Price Group
20. Legg Mason

    Les découvertes des « 3 de ZURICH » suscitent, ces derniers mois, de riches controverses dans le petit monde des chercheurs.
    Nombre d’entre elles trouvent un écho sur le « blog » de l’honnête et perspicace Paul JORION:
    cf. [url]http://www.pauljorion.com/blog/?p=28308[/url]

  9. LES MAÎTRES DU MONDE.
    – À propos de « The network of global corporate control », de S. Vitali, J. B. Glattfelder, S. Battiston


 »Bénédicte était à la modération et je n’ai pas vu l’article immédiatement. Une fois lu, j’ai écrit ceci : « Oui, ça m’intéresse moi en particulier. L’article montre que le monde appartient à 147 compagnies aux intérêts entremêlés. Oubliez vos discussions sur la démocratie. Ça se passe sous nos yeux, sans le moindre complot. L’article le prouve mathématiquement : la science sert donc à quelque chose. »

    
La discussion a démarré sur les chapeaux de roue au cours de la nuit(…). Vu l’importance de la chose, j’ai pris une décision inédite : faire de toute la discussion jusqu’ici un seul billet à partir duquel la suite de la discussion pourra reprendre. »
     » Nous trouvons – lance un intervenant sur le « blog » – que les multinationales (« transnational corporations ») forment une structure de nœud-papillon géante, et qu’une grande part du contrôle est drainée vers un cœur tissé serré d’institutions financières. Ce cœur peut être vue comme une « super-entité économique » dont l’existence soulève de nouvelles et importantes questions tant pour les chercheurs que pour les organes d’élaboration des politiques (« policy makers »).
Une intuition courante parmi les universitaires et dans les médias fait se représenter l’économie globale comme dominée par une poignée de multinationales (TNC = Trans National Corp.) puissantes. Toutefois, des chiffres explicites ne sont pas venus confirmer ni infirmer une telle intuition.

    Une enquête quantitative n’est en rien triviale car les firmes exercent un contrôle sur d’autres firmes via une toile de relation de détentions directe ou indirectes qui s’étend sur de multiples pays.
    De ce fait émerge le besoin d’une complexe analyse de réseau si l’on veut mettre à découvert la structure de contrôle et ses implications.

    (…) Certes, il est intuitif que chaque grande entité multinationale a une pyramide de filiales sous elle et une palanquée d’actionnaire au dessus d’elle. Toutefois, la théorie économique n’offre pas de modèle qui prédise comment les TNCs se connectent globalement les unes aux autres.

    Trois hypothèses alternatives peuvent être formulées. Les TNCs peuvent rester isolées, agrégées en coalitions séparées, ou former une composante connectée géante, plausiblement avec une structure coeur-périphérie.
    Pour l’instant, cette question est demeurée vierge d’enquête, nonobstant ses importantes implications pour la chose politique. Notamment, des relations de détentions mutuelles entre firmes du même secteur peuvent, dans certains cas, mettre en danger la concurrence {{libre et non faussée Note du bloggeur}} sur les marchés. Qui plus est, le tissage de liens parmi les institutions financières a été reconnu comme ayant des effets ambigus vis à vis de leur fragilité financière. »

  10. Reprenant, fin novembre 2011, avec un retard sensible sur le Québec et sur le réseau internet, les révélations des 3 chercheurs, le quotidien parisien Le Monde donne évidemment la parole aux « sceptiques », aux « obsédés du complot »…qui voient des « partisans des théories du complot » partout. Alors que « les 3 de ZURICH », pas fous, n’affirment nullement, ce qui irait bien au-delà de la zone de validité de leur travail, que cette structure en nœud papillon du capital financier international ait été consciemment conçue pour assurer une capacité de manipulation conjointe… des « marchés » par la très haute finance internationale, puis des Etats par les « marchés ».

    Autre critique passablement jésuitique : il y aurait confusion entre poids financier et influence. Etc.

    La chose est, on le voit, sensible.

    Car si « les marchés » ne sont pas, comme nous croyions, sans preuve il est vrai, mais par intuition politique, pouvoir l’affirmer et l’écrire jusqu’ici, une masse inorganisée, émotive, et trouillarde, de petits actionnaires à l’ancienne mus, selon des cycles alternatifs, par des crises d’appétit vorace suivies de crises de panique, mais s’ils sont bien, tout au contraire, un réseau interconnecté d’investisseurs institutionnels, gérants de fonds de pension, de banques, de compagnies d’assurance et même de structures extra-légales, semi-clandestines voire semi mafieuses du « shadow banking » (« banques de l’ombre », économie de l’ombre), selon les dernières révélations d’un investigateur sérieux basé depuis de longues années dans les centres financiers du capitalisme mondialisé, Marc ROCHE

    (« LA BANQUE », livre consacré à GOLDMAN SACHS, puis « LE CAPITALISME HORS LA LOI », tout aussi précieux, mais plus récent – les deux ouvrages sont publiés par ALBIN MICHEL), alors quelques conclusions solides sont à tirer.

    Elles sont d’ordre pratique.

    La « lutte anticapitaliste », sauf à se réduire aux slogans électoralistes de petites sectes légalistes en voie d’éradication accélérée, ne saurait donc plus longtemps se réduire à un travail « pédagogique » de « petits profs » de « Révolution » dispensant à des masses supposées inconscientes, trop peu conscientes, ou carrément abruties, un bréviaire de formules issues de très anciens grimoires, salaire, prix, profit, plus value, etc.

    Ces livres anciens sont bons: pour leur époque, ils disent le vrai, et, pris en main par des révolutionnaires d’acier et non de papier mâché, ils ont pu, selon les circonstances, être efficaces.
    Mais, pour la réalité réelle du « MONDE REEL » du CAPITALISME FINANCIARISE, MONDIALISE et INTERCONNECTE du XXIème siècle, ils restent à côté du sujet.

    CONTRER les MENEES aujourd’hui DEVOILEES des MAÎTRES DU CAPITAL CONTEMPORAIN, à l’image de GOLDMAN SACHS, des deux PAULSON, des gens de BARCLAYS, des deux MORGAN, etc., c’est autre chose.

  11. [i]Ils nous HARCELENT, HARCELONS-LES!
    – Il est GRAND TEMPS.

    Où sont les CAMPAGNES DE HARCELEMENT DE MASSE CONTRE LES NIDS DE RAPACES dont on se contente de dénoncer, dans l’abstrait, les MEFAITS?

    Ceux qui se contentent de l’état actuel des choses nous font, ou nous feront, deux séries d’objections:

    1. »Attention à l’antisémitisme! Attention au danger de FOCALISER sur LES BANQUES JUIVES, les RESEAUX JUIFS DE LA FINANCE MONDIALE! »

    Mais c’est cette objection qui part, en réalité, d’un A PRIORI ANTI JUIF SOUS-JACENT – venu, c’est un paradoxe intéressant, servir de PROTECTION à « GS » comme aux autres « géants » de la FINANCE ANGLO-AMERICAINE…

    Car RIEN n’indique que GOLDMAN SACHS, « grand MANITOU » peu contesté du « GRAND JEU » mondialo-mondialiste de la FINANCE ET DE LA STRATEGIE DE CHAOS ET DE CRISE, banque créée et toujours dirigée jusqu’ici par de grands financiers juifs, c’est vrai, soit une « BANQUE JUIVE », hébergeant des CAPITAUX JUIFS au service d’une STRATEGIE JUIVE, selon le schéma souvent utilisé à propos des ROTHSCHILD d’autrefois, « banquiers d’ETAT » des Etats impérialistes d’EUROPE disposant d’un phénoménal service de renseignement économique, politique et même militaire, puis mécènes historiques de « L’ETAT JUIF » aujourd’hui enlisé dans les HORREURS DE L’EPURATION ETHNIQUE!…

    SE REFUSER A DESIGNER CLAIREMENT, A NOMMER, A INVESTIR, A COMBATTRE, GOLDMAN SACHS et ses clones, ses alliés et associés divers au sein du même réseau, au nom de la CROYANCE, PLUS QUE DOUTEUSE, que ce serait là COMBATTRE « LES JUIFS », le « POUVOIR JUIF » ou un bien peu vraisemblable « CAPITALISME JUIF », c’est avant tout céder à la croyance qu’une BANQUE fondée par une personne d’ORIGINE JUIVE, de FAMILLE JUIVE, ou même, éventuellement, de RELIGION JUIVE, soit « UNE BANQUE JUIVE! »

    En réalité, il n’en est rien!

    Comme les banques de la CITY de LONDRES sont avant tout BRITANNIQUES, les banques de NEW YORK sont des BANQUES DE NEW YORK, des BANQUES AMERICAINES, liées au CAPITALISME d’ETAT DES ETATS-UNIS D’AMERIQUE, soutenues et protégées par lui tout autant qu’elles l’INFILTRENT ET CHERCHENT A ORIENTER SES DECISIONS – et aujourd’hui à se débarrasser du jeune chef d’Etat progressiste mais prudent, aux racines musulmanes, de confession chrétienne, et à peau noire, qu’il a bien fallu ELIRE ou LAISSER ELIRE pour lâcher un peu de lest devant la PRESSION MONDIALE ANTI-IMPERIALISTE et le mécontentement croissant du peuple des Etats-Unis lui-même devant le coût, notamment FINANCIER des AVENTURES GUERRIERES au service d’UN MODELE ECONOMICO-MILITAIRE EN VOIE D’EPUISEMENT.

    Ce serait donc une démission lamentable[/i], (…)

  12. [i]et une démission face à…des préjugés antisémites à peine dissimulés, que de s’ABSTENIR de DECLENCHER UNE BATAILLE PRENANT LA FORME D’UNE « GUERRE…D’USURE », bataille indispensable aux peuples divers d’EUROPE, s’ils veulent COMBATTRE LA CRISE en TOUCHANT A SES RACINES, et donc à ses ACTEURS, aux vrais FAUTEURS DE CRISE, et cela sous la pression d’un NAUSEABOND CHANTAGE A L’ANTISEMITISME!

    2. »Pourquoi cibler une ou plusieurs banques anglo-américaines et pas « nos banques » françaises, Paribas, Société Générale, ou un poids lourd « gaulois » de la finance mondiale comme l’assureur AXA? »
    – Tout simplement parce qu’il ne s’agit pas d’une « CRISE », mais d’une GUERRE, et pas principalement de joutes électorales au service desquelles se ferait une mobilisation populaire à « souveraineté limitée », mais de mobilisation réelle d’un peuple de FRANCE REEL, dans sa diversité, contre SES ENNEMIS REELS: les hommes (plus rarement les femmes) et surtout les STRUCTURES CONCRETES d’un SYSTEME DE DOMINATION MONDIAL, le CAPITALISME FINANCIER « GLOBALISE », « MONDIALISE ».
    Qui dit CHAÎNE de DOMINATION CAPITALISTE, qui dit RESEAUX, doit s’efforcer de PENSER L’ACTION CONCRETE, l’ACTION DIRECTE POPULAIRE, en terme de MAILLONS, plus ou moins forts, plus ou moins stratégiques, et de MAILLON FAIBLE à briser: en concentrant les forces sur lui au moment opportun.
    OSONS PENSER, OSONS AGIR, OSONS FAIRE DE GOLDMAN SACHS, de ses « CLONES », RESEAUX, ALLIES et COMPLICES, le « MAILLON FAIBLE » d’une LUTTE EFFECTIVE!
    Et qui plus est, OSONS IMAGINER L’ISSUE: si nous engageons ce combat, ce n’est pas pour témoigner, c’est pour vaincre!
    Or, qu’est-ce que vaincre, aujourd’hui, de pareils monstres, dotés d’un tel POUVOIR DE NUISANCE et d’une TELLE PUISSANCE?
    Comme le démontre à l’envi l’expérience chinoise, mais aussi celle de l’AFRIQUE DU SUD POST-MANDELA, du BRESIL post-LULA, et demain, probablement, de l’INDONESIE ou de l’ANGOLA, briser, dans le monde réel, les puissances du CAPITAL, ce n’est pas les faire EXPLOSER sur le mode, sympathico-archaïque, « LE CAPITAL EST MALADE: Qu’IL CREVE! » – (Et « VIVE LA CRISE »![/i]

  13. [i]C’est, au contraire, domestiquer les FORCES INFERNALES DE LA FINANCE, leur imposer, sous la dictature de la volonté populaire « des 99% contre les 1% », un MONDE NOUVEAU, celui d’UN ORDRE NOUVEAU, où la FINANCE existe, où le CAPITAL existe, ou l’ENTREPRISE existe, où le PROFIT – oui! Relisons Marx… -EXISTE, mais où ils n’existent pas ou plus pour eux-mêmes, pas ou plus dans le cadre d’une DOMINATION ABSOLUE, de moins en moins MASQUEE, SUR LES FORCES DE LA CREATION ET DU TRAVAIL.

    Un monde d’après le CAPITALISME n’est pas un monde sans capital, sans capitaux.

    Il n’est même pas, pour un temps de transition au moins, plus ou moins long, un monde sans exploitation, sans oppressions, sans contradictions, sans violence.

    IL est UN MONDE où LES FACTEURS S’INVERSENT, où l’ETAT, qui demeure tant que la partie n’est pas finie, les contradictions de classe résolues, les classes elles-mêmes disparues, n’est PLUS LE JOUET DU CAPITAL, DE LA FINANCE, des « RESEAUX ». – jouet que les idéologues actuels du CAPITAL, les BLANKFEIN, PAULSON et cie, rêvent en ce moment de briser, de subvertir, de remplacer, mais par QUOI? – Rêve EN FORME DE CAUCHEMAR POUR NOUS, pour les NATIONS comme pour LES PEUPLES, et qu’il va bien falloir RENDRE PUREMENT ET SIMPLEMENT IMPOSSIBLE.

    Nous n’avons pas le choix.[/i]

    Paris, 2 décembre 2011, minuit. Jean-Paul CRUSE

  14. WAhhoo….là je dis wahoo !! que dire !!! A part: j’ espère vous retrouvez tous bientôt dans la rue 🙂 POUR LEUR FOUTRE AU CUL !!!

  15. [b]TOUT EST ARRANGE , MONSIEUR TZARKOZY !!!!!!!!![/b]
    [b]cassage de figure à la grecque: [/b]
    Si le taux de participation s’avérait en dessous,
    alors le processus de restructuration se couronnerait
    par un échec, la Grèce devra subir un défaut désordonné
    et la zone euro rechuterait dans une crise bien …..
    plus profonde.

  16. [b]TOUT EST ARRANGE , MONSIEUR TZARKOZY !!!!!!!!!
    cassage de figure à la grecque:[/b]

    – la Bourse rechute à cause des vives inquiétudes
    des investisseurs à deux jours du résultat
    du plan de restructuration de la dette grecque.

    – La Grèce hausse le ton envers ses créanciers
    pour pouvoir baisser sa dette .

    – La Grèce a annoncé mardi qu’elle envisageait
    de se défausser de ce qu’elle doit .

    – la somme qu’a empochée Goldman Sachs pour
    permettre à la Grèce de dissimuler sa dette :
    793 millions de $ .

  17. [b]TOUT EST ARRANGE , MONSIEUR TZARKOZY !!!!!!!!!
    cassage de figure à la grecque:[/b]
    – Les incertitudes en Grèce font rechuter la Bourse .
    Vives inquiétudes des investisseurs à deux jours du résultat
    du plan de restructuration de la dette grecque.

    – La Grèce hausse le ton envers ses créanciers
    pour pouvoir baisser sa dette

    – La Grèce a annoncé mardi qu’elle envisageait
    de se défausser sur ce qu’elle doit

    – 793 millions de $ : la somme qu’a empochée Goldman Sachs
    pour permettre à la Grèce de dissimuler sa dette .

  18. PAYEZ , COCHONS DE PAYANTS
    ET VIVE LE BUSINESS !!!!!!!
    Comment Wall Street manipule le plan de sauvetage de la Grèce
    [url]http://www.slate.fr/story/51021/comment-wall-street-manipule-le-plan-de-sauvetage-de-la-grece[/url]

  19. COLLUSION CIA VATICAN :
    Un responsable américain a indiqué
    [b]sous le couvert de l’anonymat[/b]
    que le Vatican avait mis en place un
    dispositif anti-blanchiment pour
    [b]la première fois[/b] mais que son
    efficacité restait encore à évaluer.

  20. LE VATICAN EST CLAIREMENT IMPLIQUE
    DANS LE NOUVEL ORDRE MONDIAL :
    Le Vatican a appelé lundi à la création
    d’une [b] »Autorité publique universelle » et
    d’une « banque centrale mondiale » pour
    réguler les institutions financières [/b]
    dans la période actuelle de tourmente
    et d’incertitudes.

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