Trois policiers blessés à coups de couteau à Paris

Trois policiers ont été blessés lundi peu après 13h30, rue Moret dans le XIe arrondissement de Paris, alors qu'ils tentaient d'interpeller un homme porteur "d'un très grand couteau", a-t-on appris auprès de la préfecture de police.

Alors que les policiers essayaient de le maîtriser, l'homme leur aurait porté plusieurs coups de couteau, leur occasionnant des blessures. Les fonctionnaires l'ont aussi blessé en utilisant leurs armes, a ajouté la préfecture.

Deux policiers ont été légèrement blessés alors que le troisième fonctionnaire ainsi que l'individu interpellé l'ont été plus gravement et ont dû être hospitalisés, a précisé la préfecture.

Dans cet article diffusé par l'AFP, nous comprenons que les fonctionnaires de Police se retrouvent face à une menace armée; ils ont la chance de voir l'arme de l'individu. Or, d'après les statistiques des Forces de l'Ordre, les victimes d'agression au couteau ne voient l'arme que dans 20% des cas!

C'est pour préparer nos élèves à cette éventualité que nous (Fédération des clubs de close-combat) incluons dans notre programme, un module "Défense contre Menace Armée".

Ce programme est accessible à tout Civil désireux d'apprendre le Combat à main nue, ainsi qu'à tout représentant des Forces de l'Ordre voulant développer ses connaissances.

D'après leur expérience de terrain, les Policiers participant déjà à nos séminaires reconnaissent que le programme que nous dispensons est adapté aux violences modernes de rue.

De plus, nous travaillons la dimension "Emotionnelle" qui nous assaille lors d'une agression armée: en complément du corpus technique, la FCCC met l'accent sur l'aguerrissement mental de ses élèves.

 

3 réflexions sur « Trois policiers blessés à coups de couteau à Paris »

  1. Combat ?
    Je suis très septique sur cette information qui ressemble a de la publicité pour la FCCC.
    je pense a un recrutement suite aux affaires de Londres ????? 😛

  2. Agressif à l’école, un adolescent perd la nationalité suisse.Les jeunes étrangers peuvent perdre la nationalité suisse s’ils se tiennent mal à l’école. Selon le Tribunal fédéral, la justice schwyzoise l’a retirée avec raison à un adolescent de 17 ans au comportement agressif.

    L’assemblée communale de Schwyz avait naturalisé en avril 2007 le jeune homme contre l’avis de l’exécutif. Ce dernier avait relevé que si le casier de l’adolescent était vierge, celui-ci avait été épinglé pas moins de 66 fois à l’école. En 2006, il en avait même été exclu pendant trois jours.

    Un député UDC a déposé un recours auprès du tribunal administratif cantonal contre la décision du législatif schwyzois. Il a obtenu gain de cause en août 2007 et le jeune garçon a perdu sa nationalité suisse. La Cour cantonale a jugé qu’en raison de son attitude à l’école, l’adolescent ne bénéficie pas d’une réputation sans tache, comme l’exige la loi cantonale sur les naturalisations.

    Le Tribunal fédéral vient de débouter le jeune homme, qui a tenté de s’opposer à la décision cantonale. Les juges de Montbenon constatent que la description du comportement scolaire de l’adolescent s’appuie sur une riche documentation. Le cahier des charges pédagogique exige des enseignants de consigner de telles informations.

    Utiliser des données récoltées dans le cadre scolaire pour une procédure de naturalisation ne pose aucun problème du point de vue du droit constitutionnel, ont relevé plus loin les juges lausannois. Le autorités ont le droit de rassembler des données précises sur les postulants. Pour les jeunes, cela signifie justement obtenir des informations sur leur attitude à l’école.

    Enfin, la cour administrative cantonale n’a pas violé la séparation des pouvoirs, a poursuivi le Tribunal fédéral, même si elle a invalidé la décision prise par un législatif communal. (afp/7sur7)
    18/07/08 13h07

    lib

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