Un slip qui dévorerait les odeurs…



Qui n’a pas rêvé d’enfermer durant toute la journée ses parties intimes, dans un caleçon qui ne laisserait plus passer les mauvaises odeurs, ou mieux encore les neutraliserait ?

Bien entendu, l’hygiène demeure la base pour palier à ce désagrément olfactif, mais si un procédé venait aider, en apportant une réelle amélioration, il serait idiot de s’en passer… Non ?

Et bien réjouissez-vous messieurs, le rêve devient réalité, grâce à une invention originale, imaginée par un jeune entrepreneur de Dordogne, en la personne de Guillaume Gibault.

Cet inventeur de génie aurait en effet mis au point : "le slip qui sent bon !".

Le procédé bien entendu reste secret, mais à ce que l’on sait, le sous-vêtement serait constitué de "micro-capsules" de parfum, qui feraient partie intégrante des fibres composées principalement de coton.

 Il a été révélé également, que le seul parfum disponible à l’heure actuelle pour le prototype, serait le musc agrémenté de poire, pour accentuer selon le concepteur le côté masculin.

Le système entrerait en fonctionnement de façon progressive, dès que l’on imprimerait le moindre mouvement au slip.  Enfin, le sous-vêtement resterait opérationnel durant 30 lavages.

 

On notera que le jeune entrepreneur, n’a pas choisi une filière classique pour financer son projet, mais a plutôt opté par un financement internet, via le site My Major Compagnie. L’idée ne semble pas mauvaise, car Guillaume Gibault, qui avait estimé la production de "l’indomptable" (c’est le nom donné au dernier slip qui sent bon) à 10.000€, en est déjà rendu à 18.000€, ce qui évidemment va au-delà de ses premières espérances.

Ce qui est original, c’est que le site My Major Compagnie, était davantage connu pour encourager les initiatives de jeunes artistes, à croire donc que la création de sous-vêtements peut rentrer dans cette catégorie.

En outre la souscription continue jusqu’au 3 juin et Guillaume estime déjà récolter la somme rondelette de 30.000€ ! Ce qui lui permettrait de lancer sur le marché, une série supérieure à ce qui avait été prévu initialement.

 

Pour information, le slip qui sent bon, créé timidement en 2011, avait fait l’objet de quelques 20.000 ventes, juste avec le "bouche à oreille" via le net, et l’atelier fait déjà travailler 20 salariés.

 

En tout cas, je me permets à titre personnel de souhaiter bonne chance à cette jeune entreprise et d’ajouter ma fierté, de voir un produit 100% français sortir du lot, dans une filière pourtant déjà bien concurrencée.