Eloge de la fessée.

 

En préambule, je dois préciser que le présent billet ignore totalement les fessées que peuvent s’infliger des adultes, qu’ils soient de même sexe ou de sexe opposés, au sujet desquelles je manque totalement d’expérience, ce qui m’interdit d’en parler.

Les fessées que j’évoque ici sont celles données par des adultes, en principe les parents ou, à tout le moins les responsables, à des enfants qui, par leurs actes ou leur comportement, méritent, aux yeux des adultes précités, une correction.

En la matière, j’ai une double expérience. Enfant, j’ai eu des fessées, qui, autant que je m’en souvienne, étaient justifiées. J’ai même eu des coups de ceinturon. Dans ces cas précis, si une punition était méritée, j’en trouvais à l’époque, et je le crois encore maintenant, la sanction exagérée et exagérément douloureuse.

J’ai, par la suite, infligé des fessées à mes enfants, ce que je revendique et assume totalement.

Les fessées que j’ai administrées ont été assez rares pour qu’elles conservent leur caractère exemplaire, et en même temps assez inoffensives pour qu’elles aient un impact plus pédagogique que physique. Mes enfants le reconnaissent volontiers et pourraient en témoigner.

Il est d’ailleurs probable qu’un jour ou l’autre une nouvelle expérience vienne enrichir mon palmarès puisque maintenant je suis grand-père et que, si j’estime que l’un ou l’autre de mes petits-enfants nés ou à naître mérite une fessée, il en bénéficiera.

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