Alors qu’hier, lundi 13 Mai 2013, des milliers de supporters du PSG se rassemblaient au Trocadéro, en face de
En effet, au tout départ, tout allait pour le mieux. Un gros rassemblement de plus de 15 000 supporters et fans du PSG, en liesse, attendant que leurs héros arrivent et soulèvent le fameux Trophée. Les drapeaux du club de
Mais c’était sans compter sur le 0 de QI de certains décérébrés, bravant la mort en escaladant les deux échafaudages se trouvant de part et d’autre de la place. Certains d’entre eux affichèrent même des slogans sur banderoles tel que « LIBERTE POUR LES ULTRAS ».
Tiens, alors que les joueurs parisiens se font attendre, afin de faire monter un peu plus la pression des supporters chauds bouillants, « les ultras » pour la plupart interdit de stades pour cause de « mauvais comportements » (certainement parce qu’ils sont de gros Bisounours tranquilles en manquent d’affection quotidienne), se rappellent au bon vieux souvenirs des Français, de
Certains alpinistes chevronnés « ultras » iront même tout en haut des échafaudages pour rejouer la scène de « Titanic » sans belle demoiselle avec eux (quel dommage), à moins qu’ils ne voulussent se suicider sous les yeux de
Et voici comment la situation a commencé à partir en vrille. On pouvait d’ailleurs lire dans un célèbre journal :
« On était de plus en plus nombreux, ça a commencé à pousser en direction du podium, raconte Didier, supporter parisien. On était de plus en plus compressés, on ne pouvait plus bouger. Cela devenait franchement dangereux. »
Les joueurs, plus fébriles que sur un terrain de foot, Zlatan Ibrahimovic le premier, discrètement placé sur la gauche du podium, font leur entrée et soulèvent leur Trophée… Avant de s’éclipser rapidement…
Ceci dut certainement rajouter à la frustration déjà énorme que doivent posséder les pseudos « Terreurs » de Paris et sa banlieue, trop contents de pouvoir enfin laisser exprimer leurs pulsions animales premières à travers la ville, et plus particulièrement sur les Champs -Elysées. Armés pour certains de barre de fer, d’autres de barrières métalliques de la ville, trouvées sur leur passage, ou de n’importe quel objet ressemblant étrangement à des armes, messieurs les fouteurs de … ont tout saccager sur leur passage tels des animaux, l’instinct sauvage refaisant surface, heureux de pouvoir aussi faire la fête comme « tout le monde » quoi. Voiture brûlées, magasins vandalisés, vitrines de restaurants brisées… La fête est bel et bien terminée.
L’anarchie est de retour, malgré le combat des forces de l’ordre, bien trop peu importantes en nombre pour effrayer des centaines de casseurs parmi une foule de plusieurs milliers d’individus, venus pour la plupart sans intention particulière de nuire à «
La droite et le FN profitent déjà de cette hystérie pour tacler
Il est temps que les choses bougent en France, et vite !
L’éducation des casseurs est la première responsable de cet anarchie d’un soir, car en effet, des gens bien éduqués et un minimum civilisés respecteraient leur compatriotes (loin de ce qui a été monté par ces « froussards encagoulés ».
La politique est la seconde responsable, selon moi, car à jouer comme des enfants au jeu du « c’est pas ma faute c’est de la tienne » sans réagir une bonne fois pour toute aux racines et causes du mal, cette partie de la population continuera à se croire « intouchable » et au-dessus des lois.
La loi justement qui nous amène à la troisième responsable, qui est « madame
En effet et pour finir, imaginez une justice française digne de celle au Etats – Unis par exemple. Même si celle – ci a été à moult reprises décriée par nous autres hexagonaux (plus humains que ces chers américains), de bonnes grosses, voir très grosses sanctions pour des faits rencontrés hier soir calmeraient vite les ardeurs de beaucoup d’entre eux. Pensez un instant, chers lecteurs et lectrices, que là-bas, les peines s’additionnent, et même si cela semble invraisemblable, les individus les plus dangereux pour la société sont parfois emprisonnés à vie multipliée par 3 ou plus…
La justice française veut être trop humaine, alors que ce genre de casseurs comme nous avons pu voir à l’œuvre hier en fin de journée, n’en n’ont strictement rien à faire des autres et de « l’humanité ».