Séquestrée et violée par son père durant 24 ans, elle accouche de 7 enfants !

Un drame comme on en entend rarement et que l'on pourrait classer dans les faits divers, si l'horreur de la situation ne nous poussait pas à le mettre plus en avant. L'histoire s'est passée en Autriche. Josef Fritzl, aujourd'hui âgé de 73 ans, a séquestré sa fille Elisabeth durant 24 années dans sa propre cave ! 24 ans de sévices, de viols , durant lesquelles elle mettra au monde 7 enfants, issus de multiples relations incestueuses. Une horreur sans nom, quand on sait qu'en plus de cela, certains des enfants n'ont jamais vu le jour et vivaient enfermés avec leur mère, dans ce sous-sol. L'histoire a bouleversé l'Autriche…

Comment un simple électricien peut-il tomber dans l'horreur ? Séquestrer et violer sa propre fille ? Quand aux 7 enfants, on ne peut qu'être écoeurés et bouleversés par leur destin. Certains "abandonnés", furent récupérés au grand jour par Josef et sa femme Rosemarie. Une sinistre mise en scène qui leur a peut-être permis d'échapper à l'enfer de cette cave. Ce trou à rats où leur mère vivait avec ses autres enfants, sans qu'ils le sachent.

Justement, comment tout cela a t-il pu passer inaperçu ? Rosemarie, la femme de Josef Fritzl, affirme n'avoir jamais rien su. Pourtant, c'est dans sa propre cave, que Josef avait camouflé grâce à une armoire cachant un ingénieux système de porte coulissante verrouillée par digicode, que sa fille est restée enfermée pendant 24 années ! Il a bien fallu nourrir cette femme et ses enfants. Il a bien fallu les vêtir, les soigner, bref, s'en occuper. Et tout ça serait passé inaperçu ? On a bien du mal à le croire…

Le drame a été révélé dimanche à la police autrichienne. Alors qu'un des enfants est tombé malade, l'hôpital a demandé à voir la mère pour en savoir plus. Josef a alors inventé le retour de cette Elisabeth disparue il y a 24 ans en laissant une lettre demandant de ne pas la rechercher. Une Elisabeth accompagnée de 3 enfants, un autre étant mort dans cette cave et les autres "adoptés" par les Fritzl…

C'est une femme de 42 ans, qui a passé plus de la moitié de sa vie dans un sous-sol, qui a alors raconté son calvaire à la police. Quant aux 3 enfants qui vivaient encore avec elle, à 5, 18 et 19 ans, ils n'ont jamais vu la lumière du jour, ni l'école et on se demande comment ils vont pouvoir s'insérer dans cette société qui leur est étrangère ! Quant à Elisabeth, se remettra t-elle un jour ? Et Rosemarie, la mère "innocente", on se demande comment elle a pu ignorer tout cela… 

5 réflexions sur « Séquestrée et violée par son père durant 24 ans, elle accouche de 7 enfants ! »

  1. you suck
    I HOPE YOU DIE BURNING IN A FIRE SO THAT YOU CAN MAYBE FEEL A LITTLE BIT OF THE PAIN YOU PUT YOUR DAUGHTER!!!!!!!! THROUGH, YOUR OWN FLESH AND BLOOD
    BURN IN HELL YOU STUPID BASTARD
    BURN IN HELL!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  2. Viol
    Moi je pense toujours que l’enfer sera remplie des mecs; c’est incroyabe ce que les mecs peuvent faire
    ici bas; c’est incroyable. Aucune femme ne peut agir comme cela.

  3. 3 m de long!
    En découvrant le cadavre d’une femme, les policiers de Menton ont trouvé son fils, Michel, qui vivait reclus ou séquestré dans la maison depuis trente-cinq ans.

    Reclus ou séquestré, Michel Pagès, 50 ans, ne semble pas en état de dire quel a été son sort pendant trente-cinq ans. Il n’a pas mis les pieds hors de la maison familiale depuis l’âge de 15 ans. Le voisinage, et une partie de la famille ignoraient jusqu’à son existence.

    Et sans la mort tragique de sa mère, qui sait quel aurait été l’avenir de cet homme.

    Alertés il y a quelques jours de la disparition d’une vieille dame, selon le journal Nice Matin qui révèle l’histoire ce matin (voir le lien ci-dessous), des policiers de la BSU de Menton se sont rendus à son domicile de l’avenue du Général-Leclerc, à Roquebrune-Cap-Martin, lundi.

    Aux premiers jours des stations balnéaires, la destination était prisée d’une bourgeoisie relativement aisée, mais les beaux immeubles patinés par le temps et le soleil côtoient des maisons très modestes. Dans celle de Thérèse Pagès, au jardin mal entretenu, les policiers découvrent un amoncellement de déchets. Pompiers et policiers sont saisis par l’insalubrité des lieux et l’odeur pestilentielle qui s’en dégage. Dans le salon, Thérèse, 76 ans, git dans son fauteuil. Décédée depuis un certain temps. Certaines parties de son corps sont en décomposition.

    Les secours se mettent à l’oeuvre. Puis sursautent : un homme incroyablement pâle surgit dans la pièce. Effrayé par le bruit dans la maison. De petite carrure, il porte une chevelure immense, de plus de 3 m de long. Des cheveux qu’il avouera plus tard refuser de se couper depuis l’âge de 14 ans.
    Perturbé, Michel ne croit pas au décès de sa mère: il lui a parlé le matin même, assure-t-il, hagard et effrayé.

    L’enquête de police démontrera rapidement que le voisinage et les services sociaux de la mairie ignoraient l’existence de cet enfant, qui a grandi à l’ombre de la maisonnette. Une cousine de Mme Pagès, qui vit dans le Nord, raconte qu’elle savait que Thérèse avait un fils mais ne l’avait jamais vu.
    Michel Pagès, dans un état de total dénuement, a été confié à la cellule psychologique de l’hôpital Saint-Roch de Nice.

    Et l’enquête se poursuit.

    L’article de Nice Matin

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