Red Dead Redemption : plongée vidéoludique au coeur du Far West

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Red Dead Redemption, dernier bébé du fameux studio Rockstar, créateur de la sulfureuse et célébrissime saga GTA, est sûrement le jeu à posséder en cette fin de printemps.


Pourquoi ? Les raisons sont nombreuses. Dressons une rapide présentation de ce jeu, qui s’arrache actuellement depuis sa sortie le 21 mai.

Graphiquement, RDR exploite au mieux les capacités des consoles nouvelle génération (Playstation 3 et Xbox 360) et le résultat est bluffant. Les textures sont magnifiques, la profondeur de champ imposante, les couleurs éclatantes,…

Le joueur incarne John Marston, un ancien hors la loi contraint de travailler pour le gouvernement américain. Pour revoir femme et enfant, pris en otage par les autorités, il devra silloner l’Ouest américain à la recherche d’anciens amis-truands qu’il doit maintenant éliminer.

Manette en main, on est plongé dans le far west crépusculaire de 1911, à la frontiere americano-mexicaine, foisonnant de détails (faune et flore ont été tout spécialement travaillées par les développeurs et varient en fonction des zones) et recelant de multiples activités à accomplir (chasse, cueilette, poker, black jack,…). Le terrain de jeu, divisé en trois grandes régions, est immense et les décors variés (forêts, canyons, déserts,…). Ici, point de voitures, comme dans GTA. On se déplace à cheval (dont les animations sont parfaitement réussies et crédibles), en diligence, en train,…

La bande son est également au rendez-vous et participe pleinement à l’immersion dans un monde virtuel fascinant. Les bruitages sont bluffants, les musiques en adéquation avec l’action,…

En dehors de la trame principale, durant laquelle notre cow-boy rencontrera de nombreuses personalités attachantes, des missions annexes sont à remplir et Marston sera constamment sollicité par les personnages qui l’entourent. Comptez une vingtaine d’heures de jeu pour boucler le scénario, et de nombreuses autres pour finir totalement le jeu. 

Le héros est bien entendu possesseur de nombreuses armes qui l’aideront à survivre dans cet environnement hostile, du simple pistolet au couteau en passant par la carabine ou le lasso.

Le meutre à grande échelle étant l’une des composantes principale du jeu, RDR n’est pas à mettre entre des mains trop juvéniles. Pour les autres, foncez !

Une réflexion sur « Red Dead Redemption : plongée vidéoludique au coeur du Far West »

  1. Le premier Read Dead Revolver avait plutôt bien marché.
    Je ne me suis pas intéressé à celui-là et je ne compte pas m’y intéresser car ce n’est pas du tout mon style de jeu, mais il doit être soigné.
    Une fois de plus, on ne peut que reprocher une durée de vie plutôt faible (bien qu’honnête pour la génération actuelle) due en grande partie à la HD et au son multi-canaux.

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