Qu ‘avons nous compris ?

 Je veux bien que l ‘on donne son avis sur des sujets qui touchent la société mais de là à verser dans de la propagande.C’est pas sympa.Il y a des hommes,des femmes et des enfants qui peuvent mourir chaque jour à cause de l ‘irresponsabilité des médias citoyens. Mais oui ! 

Faut pas rigoler non plus sur des sujets qui peuvent servir de détonateur ou catalyseur en jetant un chef d’accusation sur un peuple ou un chef d’état. Tout le monde sait bien qu ‘il y a  des vrais tyrans en liberté et qui ont massacré beaucoup d ‘innocents.Plusieurs prisons sont encore présentes pour nous le rappeler.

Non je crois que le devoir de conscience doit primer sur celui d’exister ou de prouver son existence.Sartre est bien mieux placé que moi pour vous en parler.

Soulager la souffrance humaine ne se fait pas qu ‘avec des sédatifs mais avec des mots qui viennent d’un esprit libéré. C’est comme une terre sur laquelle on séme ou la violence , la haine ou les hautes valeurs morales ,la vertu,l ‘espoir, la justice etc…

Oui certes les cultures sont différentes mais est-ce une raison de profaner la foi d’un autre peuple ou  les cimetières des autres religions.Est-ce une raison de donner les mauvais exemples à nos enfants qui nous regardent faire .

La conscience de celui qui écrit est à la hauteur de ce qu ‘il croit être juste ! Mais s’il se trompe , allons-nous croire que ses excuses sont suffisamment plausibles pour laver son crime de médire ou de mal dire en public.

Mais certainement pas.Seul un examen de conscience  pourra le purifier et lui permettre de donner son avis avec une responsabilité de citoyen du monde.On est bien d’accord ! Ici Descartes a son mot à dire. Je pense donc je suis !

Etre ou ne pas être est une question qui s’adresse à ceux qui précisément pensent que cette interrogation s’ adresse aux autres .

O rage ! O désespoir ! O vieillesse ennemie ! N’ai je donc tant vécu que pour ne rien comprendre ?

17 réflexions sur « Qu ‘avons nous compris ? »

  1. Heu… Sartre ? Ce n’était pas un modèle de paix, mais plutôt de haine ! Heureusement qu’il n’a jamais eu de pouvoir !
    Quant à l’article, je suis de tout cœur avec vous ! Malheureusement, beaucoup ne comprennent pas « l’autre » parce qu’ils regardent le monde avec des œillères !

  2. [quote]Nordi a dit : Heu… Sartre ? Ce n’était pas un modèle de paix, mais plutôt de haine ! Heureusement qu’il n’a jamais eu de pouvoir !
    Quant à l’article, je suis de tout cœur avec vous ! Malheureusement, beaucoup ne comprennent pas « l’autre » parce qu’ils regardent le monde avec des œillères ! [/quote]

    Que devons-nous comprendre, à regarder le monde avec des œillères, Nordi ?

    Que les œillères nous interdisent de regarder le monde tel qu’il est ? ou autre ?

    Comme dirait l’un de mes amis mexicains  » Viva Zapatta… Viva la Revolucion… Viva El Che…  » et comme on dit à Madrid, à Cuba…  » toujours andante…. adelante… et avec un grand sourire… « 

  3. Explication de texte : regarder le monde avec des œillères c’est regarder le monde à travers un prisme idéologique ou religieux ou politique ou… tout, mais pas simplement avec le cœur.
    Et quand je dis avec le cœur, je ne parle pas de bons sentiments dégoulinants de gentillesses hypocrites, mais avec de vrais sentiments, bruts, humains tout simplement… Alors pitié, surtout ne pas y mêler Sartre !

  4. [quote]Nordi a dit : Alors pitié, surtout ne pas y mêler Sartre ! [/quote]
    Où avez-vous lu Sartre ? Je pense qu’il n’y a que vous qui en faites état…

  5. Bien sûr que j’ai lu Sartre et il faut le lire ! J’ai apprécié ses premières œuvres. Je n’ai pas aimé sa rupture avec Camus et pleine d’autres choses : l’Idiot International….

  6. [quote]Nordi a dit : Bien sûr que j’ai lu Sartre et il faut le lire ! J’ai apprécié ses premières œuvres. Je n’ai pas aimé sa rupture avec Camus et pleine d’autres choses : l’Idiot International…[/quote]

    et que vient faire Sartre comme un cheveu sur la soupe sous cet article où il n’est même pas cité ?

    Vous baillez donc aux corneilles à moins que des cartes ne vous indisposent….

  7. [i] »Heu… Sartre ?
    Ce n’était pas un modèle de paix, mais plutôt de haine !
    Heureusement qu’il n’a jamais eu de pouvoir ! »[/i]
    MALHEUREUSEMENT ZORROZY A EU LE POUVOIR , LUI !!!!

  8. Non je crois que le devoir de conscience doit primer sur celui d’exister ou de prouver son existence.Sartre est bien mieux placé que moi pour vous en parler.Parole du texte.

  9. Merci à toa Nasrallah pour cette feuille si dense… et si légère à la fois, et qui répond à l’interrogation de nos frères d’humanité :
    – de l’insouciance ô questionnement à venir…;

    >> Qu’y a-t-il de plus important pour l’ôm :

    >> la recherche du progrès

    >> la recherche de la perfection

    Corollaire : peut-on se contenter d’oeuvrer pour le seul progrès de l’Humanité sans ESSAYER de se perfectionner soi-même… >>

    • Sans que ne me vienne le besoin de rajouter un maux.

    Ou peut être ses quelques mots de T N H:

    « [i]L’univers dans un grain de poussière…

    … qu’il soit aussi minuscule qu’un grain de poussières ou aussi énorme qu’une montagne, quel que soit l’objet, il n’est pas séparé de la réalité « ultime ». En fait il contient l’immense totalité de la réalité.

    … quand je regarde les arbres en face de moi, mon esprit ne sort pas de moi pour aller dans la forêt, et il n’ouvre pas non plus une porte en moi pour laisser les arbres entrer. Mon esprit et les arbres sont un … L’infiniment petit n’est pas intérieur, l’infiniment grand n’est pas extérieur.[/i]»

    ainsi, sur le chemin qui nous foule à chaque pas, restons dans la pleine conscience de nos pas afin de:

    voir un uni_vers dans le creux éminant d’un espace né sans

    et un nirvana en toute chose inhérente et rémanente

    Tenir l’infini dans l’espace immanant d’un vide naissant

    et l’éternité dans l’instant .

    Qui parle d’infiniment petit et d’infiniment grand… – sourire
    – il n’y a pas d’infiniment petit et d’infiniment grand… ni intérieur ni extérieur…

    et ni d’inter_rieur… ni d’exter_rieur…

    et je m’immiscerai comme une ombre-phosphorescente – multitude inter_dépendante – assaillant d’hivers mes amis des T: Transe Tactile… se mélant ô vivanT de TouT insTanT Tanné d’éTerniTé.

    ces assaillants dits vert ce sont les silences adamantins de toutes immersions … ce sont ces vides d’absynte luminescente, énergie latente et patente, partout et nulle part, qui trace en nos consciences l’épure même de leur existence.

    lien indélébile, liant l’observateur à ce qu’il observe

    mais je m’égare !

    se taire… et acquiescer l’évidence de la pleine conscience

    et laisser s’interpénétrer cette autre évidence de la pleine conscience:

  10. bis repetita placent

    nice shot Nasrallah
    enjoy to see & read yu again

    l’hêtre, ou le nez en… cascade! des embruns sans vertige…
    – l’arbre (de la famille des fagacées, à petites feuilles ovales caduques, au tronc puissant et à l’écorce lisse et cendrée) qui cache nos forêts de symbole!

    de la chair à l’esprit de la chair
    de l’esprit de la chair à la peau easy de la vie
    de la peau easy de la vie … ö lyrisme de l’instant partagé

    Pleine conscience de l’instant: ajustement de notre ainsité à la – juste – mesure de notre engagement, dans un vivre ensemble bien loin de l’existence surfaite de notre conscience conditionné de l’être et de l’avoir.

    ni être ni par_être, et naître de n’être rien (de plus)

    paul le ti poulpe en superficielle profondeur

    bien à toi

    sourire

  11. se taire… et acquiescer l’évidence de la pleine conscience

    et laisser s’interpénétrer cette autre évidence de la pleine conscience:

  12. et laisser s’interpénétrer cette autre évidence de la pleine conscience:

    « [i]Transmettre à autrui ce que l’on est s’avère invariablement une erreur

    Seul révéler à autrui ce qu’il est possède une quelconque efficacité

    Mais ne rien faire est supérieur à toute autre forme.[/i] »

    que rajouter…

    Restons cils en cieux afin de parachever sa cible

    …«
    Je me réjouis de voir – simplement Que le ciel est bleu… que la terre est terre
    C’est cela le plus difficile : voir un rocher quelque part … les vies dansent!
    Et puis faire qu’il soit là, rocher, couleur de la vie
    …»

    l’arc en ciel s’arqueboûte pour parachever ses extrêmes nées_bulositées; l’observant s’immisce en elles, et ainsi T, se confond à sa cible – saisissement tactile -, et, quand toute cible disparait enfin… – dé_saisissement tactile – cavalier du vent, il naît souffle de vie… élan vital: source de vie – ô sunyata.. l’altérité est advenu comme sixième agrégat, et pendant ce temps à Hong Kong des hommes à vendre… tjrs et encor

    by the way… localement
    Quand l’attente s’endort… (ô kevala)
    Les Enfants du Silence déploient leur multitude
    Balayant de leur geste innocent
    Les affres de la vie diurne
    Ils sont les garde-fous d’un monde qui s’exécute
    Et… Par delà le bien et le mal
    Ils se diffusent en toute chose
    Dans cette nuit obscure
    Le rêveur attardé les appelle sans crainte
    La raison n’entend plus que son lointain écho
    – La multitude se répand
    Au plus profond de ses chairs
    Et cette douce respiration – vivifiante
    Dans le silence infini de toute inhérence
    (ô sunyata) – En cet instant qui le fait naître –
    L ’emporte! – pour accéder ainsi
    À un nouvel état de l’être…
    Vide de sens mais plein de vie,
    Infiniment plus vrai
    Dans une existence où Eros
    Ne se dresse pas en étranger
    Contre thanatos
    La vie contre la vie
    le monde contre le monde
    Et les ôm contre les ôm

    bis repetita placem

    Voir un univers-samsaresque dans le creux éminant d’un espace né sans

    et un nirvana en toute chose transitoire

    Tenir l’infini dans l’espace immanant d’un vide naissant

    et l’éternité dans l’instant .

    – levons l’encre : bariolons la vie !!!
    cf. la quadrature du cercle, (dérive innée branlable du présent… improvisation féconde) distance circulaire des horizons sans fin, d’où le peuple de l’herbe s’élance… en rondes immuables, qui s’éloignent, pour mieux illimiter les finalités de cette humanité dit(e) gérée – quand la fin alitée de nos individualités pas tentées se disperse. et que le sens de l’un… par fait, se re-trouve en l’alter réïtéré en soi – dans l’uni vers celle dit solution

    vivons… les vies dansent
    and the wind, the wind is blow’in, through my flesch the wind is blowin…

    le ti poulpe en surface
    ph’ol_diable ô teint … allez: né de n’être rien
    – de surccroit sans tanin ni fard… ni balise, just act !

    ô plaisir

  13. Merci le sourire .
    Les Enfants du Silence déploient leur multitude
    Balayant de leur geste innocent
    Les affres de la vie diurne
    Ils sont les garde-fous d’un monde qui s’exécute
    Et… Par delà le bien et le mal
    Ils se diffusent en toute chose
    Dans cette nuit obscure
    Le rêveur attardé les appelle sans crainte
    La raison n’entend plus que son lointain écho
    – La multitude se répand
    Au plus profond de ses chairs
    Et cette douce respiration – vivifiante
    Dans le silence infini de toute inhérence
    (ô sunyata) – En cet instant qui le fait naître –
    L ’emporte! – pour accéder ainsi
    À un nouvel état de l’être…
    Vide de sens mais plein de vie,
    Infiniment plus vrai …
    Je m ‘incline et le bois de cette fontaine qui jaillit soudainement d’une terre qu ‘on croyait ..j appelle Brel à la rescousse …un domaine ou l ‘amour sera roi et ou tu seras reine Mozarine …Bonjour Mozarine ! et Bonne fête à tous les musulmans qui propagent la paix des coeurs à chaque instant ou le coeur palpite son propre refrain !

  14. [quote]e m ‘incline et le bois de cette fontaine qui jaillit soudainement d’une terre qu ‘on croyait ..j appelle Brel à la rescousse …un domaine ou l ‘amour sera roi et ou tu seras reine Mozarine …Bonjour Mozarine ! et Bonne fête à tous les musulmans qui propagent la paix des coeurs à chaque instant ou le coeur palpite son propre refrain ![/quote]

    ????

  15. Rejaillir le feu. D’un ancien volcan. Qu’on croyait trop vieux. Il est paraît-il. Des terres brûlées. Donnant plus de blé. Qu’un meilleur avril. Et quand vient le soir …

Les commentaires sont fermés.