Le pressing, mon mec et moi !

Le pressing, mon mari et moi, c’est une longue histoire…. de désamour, un trio épique, anecdotique mais surtout compliqué. Ma « lessivophobie » est un problème, ses déplacements hebdomadaires un autre, le pressing joue les arbitres mais c’est souvent match nul !

Dimanche 22h :

Gaspard prépare sa valise, son avion décolle dans huit heures : « Chérie, où sont mes chemises ? », éternelle question du dimanche soir. Comme toutes les semaines, je ne les ai ni lavées, ni repassées et honteusement oubliées au pressing. Les alertes sur mon téléphone n’y changent rien, notre pressing fétiche occasionne un détour de 20 minutes, alors il y a toujours l’excuse de la journée épuisante au boulot, de la foule dans le métro, de la fermeture imminente… Donc on est dimanche soir et comme tous les dimanches soirs, les chemises sont prêtes depuis trois jours… mais pas dans l’armoire.

Mercredi 17h :

Gaspard est en « vacances », connaissant mon aversion pour les corvées ménagères, il s’aventure jusqu’au pressing. Quelques chemises, un costume, et une robe étincelants de propreté et de tenue. Seulement voilà, il pleut, mon Gaspard est un peu gauche, le bas de ma robe traine au sol alors il lève le bras en l’air, puis le bras engourdi, décide de les rabattre sur un de ses avant-bras et ramène tout fier notre petit trésor à la maison. Un petit trésor qui peut repartir à la case départ sans toucher 20 000 : le tout doit être à nouveau lavé et repassé ! 

Vendredi 18h :

Gaspard rentre enfin de sa longue semaine à New York, mon bonheur de le retrouver s’arrête à la vue de sa valise de linge sale. Il repart le lundi suivant à Bali, une partie de son linge doit être à nouveau lavée et repassée. MAIS CHERI C’EST LE WEEK-END, PAS DE LESSIVE LE WEEK-END !!! Vous l’aurez compris, en femme active et moderne, je boude toutes les corvées. Mon Gaspard, friand des derniers gadgets, s’amuse, le fer à repasser devient un vaisseau spatial, il décompresse et dédramatise une activité qui l’épuise d’avance. Résultat, cet enfant de 40 ans s’amuse bien, mais trois chemises sur cinq sont brûlées ou marquées par les crachats du fer.

Face à ces expériences récurrentes et catastrophiques, une décision radicale s’imposait. C’était Gaspard, le pressing ou moi, et puis Washapp est arrivé dans notre vie et depuis c’est nous trois à la fois. Ce pressing 2.0 a changé notre quotidien, les « wahsman » viennent chercher notre linge, et nous le ramène en 48h. Quand Gaspard est en déplacement, il réserve la collecte de son linge via l’application, et quand il rentre les « washman » l’attendent, emportent son linge et le ramènent avant son nouveau départ. Si comme nous, vous n’avez ni le temps ni l’envie de vous occuper de la corvée lessive, n’hésitez plus et téléchargez l’application Washapp pour voir le pressing autrement.

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