Les Seychelles, un paradis plus abordable qu’on ne le croit

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Les Seychelles. Rien que l’évocation de cet archipel perdu au milieu de l’Océan Indien nous fait frissonner d’envie. Et il y a de quoi. Avec leurs quelques 110 îles extrêmement bien préservées, les Seychelles proposent des plages de sable blancs parmi les plus belles du monde, une faune sous marine à couper le souffle, et des espèces endémiques, comme le cocofesse, qui ressemble à une blague faite par la nature. Et nul besoin d’être un plongeur confirmé pour profiter des richesses de l’océan indien. Un masque et un tuba suffisent à apprécier le ballet des innombrables poissons aux couleurs et formes variées, la grâce des tortues de mer qui n’hésitent pas à côtoyer les nageurs, et en certains endroits les magnifiques parterres de coraux.

Pourtant, beaucoup pensent que ce paradis n’est pas à la portée de leur bourse : les Seychelles ont une réputation de destination de luxe. 


Elle peut cependant s’avérer plus abordable qu’on ne le croit. Car en dehors des voyages clés en mains souvent très couteux, il est possible de se concocter un séjour bien moins cher. Le billet d’avion, tout d’abord, est accessible à partir de 700 euros sur Qatar Airways, soit un prix équivalent à celui de la Réunion par exemple. Concernant le logement, les différentes îles de l’archipel regorgent d’hôtels de luxe aux tarifs exorbitants. Mais une autre solution existe : la location de maison à des particuliers, qui peut s’avérer très intéressante. Un site internet en a fait sa spécialité : homelidays.com. Sur l’île principale, Mahé, on peut par exemple trouver une maison avec jardin, trois chambres avec salles de bains privées et tout le confort pour seulement 75 euros par nuit. Entre amis ou en famille, c’est une alternative inespérée pour ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir le luxe des grands hôtels. Et cette solution comporte un autre avantage de taille : la possibilité de manger sur place, un barbecue étant souvent fourni avec la location. Et vu le prix dérisoire du poisson aux Seychelles, c’est le délice assuré !

Pourquoi hésiter alors à faire un petit voyage au paradis ?

6 réflexions sur « Les Seychelles, un paradis plus abordable qu’on ne le croit »

  1. PQ polluez loin alors qu’il est possible de polluer près?
    Les pirates somaliens ne rôdent pas loin et comme ils ont une tendance à augmenter sans cesse leur rayon d’action…..

    Au fond il y a de beaux coins en France également…

  2. Oui, évidemment il y a des beaux coins en France, je suis tout à fait d’accord. Et partir aux Seychelles uniquement pour se faire bronzer au soleil sans profiter de toutes les richesses qu’offres ces iles est, je vous l’accorde, complètement inutile. Autant le faire sur les plages françaises.
    Mais ce dont je parle ici, c’est de la découverte d’une faune et d’une flore que vous ne trouverez pas en France, la découverte d’une culture et d’une gastronomie que vous ne découvrirez pas autrement. Libre à vous de faire le choix de ne pas en profiter, mais libres à ceux qui veulent s’ouvrir sur le monde d’aller voir la-bas.
    Par ailleurs, concernant les pirates, je ne pense pas qu’ils sévissent aux Seychelles, certaines iles sont de toutes façons très proches les unes des autres, et si c’est cela qui vous fait peur, il est toujours possible de se rendre d’une ile à l’autre en avion !

  3. ======> les pirates s’aventurent bien jusqu’aux Seychelles ….
    Mais les pirates attendaient seulement la fin de la mousson, du vent et des vagues, pour relancer leurs attaques à bord de petits canots rapides. De plus, au lieu de se cantonner aux routes maritimes proches des côtes, ils ont élargi leur terrain de chasse grâce à leur système de « bateaux mères » – des petits cargos permettant d’affronter la haute mer. C’est l’un de ces bateaux que la marine française a arrêté, mercredi 15 avril, dans l’océan Indien, dans lequel naviguaient 11 pirates somaliens présumés.

    [u]Les forbans ne se cantonnent pas au golfe d’Aden, où passent entre 16 000 et 20 000 bateaux par an, mais s’aventurent jusqu’aux Seychelles.[/u] La force internationale doit donc couvrir plus de deux millions de kilomètres carrés. Les rançons, une centaine de milliers de dollars (jusqu’à 75 000 euros) à l’origine, s’élèvent maintenant à un ou plusieurs millions par bâtiment. En 2008, l’estimation du montant total des rançons payées se situait entre 30 et 60 millions de dollars. Dans une région déshéritée, ce déluge d’argent a suscité la création d’une activité organisée.

    [url]http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/04/16/en-somalie-le-dispositif-international-doit-etre-repense_1181522_3234.html[/url]

  4. A l’abordage
    Neuf présumés pirates somaliens, interceptés lundi par un navire de guerre espagnol dans les eaux territoriales [u]des Seychelles[/u], ont été placés en détention mardi 28 avril à Victoria, capitale de cet archipel de l’océan Indien. Les présumés pirates, arrêtés par les garde-côtes seychellois après leur interception par la frégate Numancia, sont arrivés tôt mardi matin à Victoria à bord du PS Andromache, a indiqué la présidence seychelloise.

  5. Des croisiéristes repoussent des pirates avec des chaises longues!
    Des retraités britanniques à bord d’un bateau de croisière ont aidé à repousser une attaque de pirates armés au large des Seychelles en leur lançant des chaises longues, ont rapporté vendredi plusieurs sources, dont des journaux.

    L’attaque de pirates contre le MSC Melody, un bateau de 35.000 tonnes, le 25 avril, a finalement été mise en échec par les forces de sécurité du navire sans qu’aucun des passagers ou membre d’équipage ne soit blessé, a précisé une porte-parole de la compagnie de croisières MSC Cruises.

    « Des passagers ont vu les pirates arriver et ont alerté la sécurité qui les avait déjà repérés », a expliqué Sarah Longbottom. Les croisiéristes sur le pont ont reçu l’ordre de rentrer dans leur cabine et d’éteindre la lumière, tandis que certains passagers ont tenté de repousser l’intrusion.

    Beryl Rowlands qui voyageait avec son époux David, a indiqué avoir « jeté des chaises longues » sur les assaillants.

    Ian et Jessie Moakes célébraient leur 40e anniversaire de mariage sur le bateau lorsqu’ils ont appris l’attaque, rapporte le tabloïd The Sun.

    « Certains vacanciers ont jeté des tables et des chaises pour repousser les pirates, ils ont été très courageux », a relevé M. Moakes, 62 ans, un retraité de la police. « Cela aurait pu se passer beaucoup plus mal. Il y avait des impacts de balles sur le bateau », a-t-il souligné.

    Maureen Gawthrop, 66 ans, était aussi à bord avec son mari Roy, 66 ans. « Nous écoutions un concert de musique classique sur le pont quand on a entendu un craquement. Les applaudissements se sont tus soudainement et quelqu’un a couru sur le pont en criant pirates! », a-t-elle expliqué, citée par le Daily Telegraph. Rentrée dans sa cabine, la passagère dit avoir vu par le hublot « un canot blanc avec huit hommes en camouflage vert, qui nous tiraient dessus ».

    Le MSC Melody, avec quelque 1.000 passagers et 500 membres d’équipage à bord, « se trouvait au moment de l’attaque à 600 miles nautiques de la côte somalienne, dans une zone qui n’est pas considérée comme dangereuse, et à [u]180 miles nautiques des Seychelles », [/u]a précisé Gianluigi Aponte, propriétaire de la compagnie de croisières, dans un communiqué.

    (afp/belga)
    22/05/09 15h56

  6. NAIROBI, 24 juin 2009 (AFP) – Des pirates somaliens ont incendié [b]un navire des Seychelles [/b]après avoir libéré son équipage capturé fin mars en raison du montant trop faible selon eux de la rançon payée pour relâcher le bateau et son équipage, ont indiqué mercredi à l’AFP des pirates.

    Le Indian Ocean Explorer, un navire de recherche océanographique des Seychelles, avait été capturé par des pirates dans l’océan Indien entre le 28 et 31 mars. Ses sept hommes d’équipage ont été libérés par les pirates et sont rentrés aux Seychelles mardi. Mais les pirates ont refusé – contrairement à leurs habitudes – de rendre le navire. « On l’a brûlé, il y a trois nuits », a déclaré Abdullahi Qaaray, interprète du groupe de pirates pendant les négociations avec le propriétaire du navire. « On avait demandé au propriétaire un million de dollars, mais à la fin il nous a payé seulement 450.000 dollars », a-t-il expliqué à l’AFP par téléphone depuis un village somalien situé près du port de Haradhere (500 km au nord-est de Mogadiscio), un des principaux repaires des pirates somaliens. « On avait dit que nous brûlerions le bateau parce qu’il refusait de payer toute la rançon », a-t-il affirmé. Des responsables somaliens ont confirmé la destruction de l’Ocean Indian Explorer. Après la libération de l’équipage du navire seychellois, 13 navires et plus de 200 marins sont toujours aux mains de divers groupes de pirates somaliens.

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