Les enfants d’Afrique au cœur des préoccupations humanitaires

En tout, l’Afrique compte 200 000 millions de jeunes de 15 à 24 ans, ce qui en fait le continent le plus jeune du monde. Souvent laissés à l’abandon, adolescents et jeunes enfants constituent pourtant l’avenir des différents pays d’Afrique. Plusieurs associations, dont Children of Africa, ont décidé de concentrer leurs efforts sur les plus jeunes. Nathalie Folloroux, vice-présidente de l’association, mène ainsi de vastes campagnes en direction de la jeunesse africaine.



En Afrique, les organisations humanitaires jouent un rôle non-négligeable dans le soutien financier et moral aux plus démunis. Venant souvent en soutien d’Etats en difficulté, elles permettent une amélioration concrète des conditions de vie.

Rongés par le travail des enfants, les pays africains peinent encore à lutter efficacement contre ce mal récurrent. Les associations prennent ainsi le relais en proposant de vastes campagnes de sensibilisation et en mobilisant les familles.

Plus encore, le développement de l’éducation permet de mener les enfants à l’école plutôt qu’aux champs, les protégeant ainsi de travaux dangereux et parfois fatals.

Nathalie Folloroux a renoncé à son poste à TF1 pour s’engager pleinement dans l’aventure humanitaire. Formée à l’Université Paris-Dauphine en tant que communicante, elle tente ainsi de créer un mouvement de fonds au sein de la société civile africaine en faveur de la protection des plus jeunes.

Mais l’association ne se limite pas aux grandes villes. En effet, pour offrir une éducation minimale aux enfants des territoires les plus enclavés, une flotte de bibliobus a été mise en place et sillonne la Côte d’Ivoire et d’autres pays proches.

En effet, une jeunesse éduquée représente dans l’avenir une population en âge de travailler formée et qualifiée, augmentant ainsi la richesse du continent. Véritable cercle vertueux, une bonne politique éducative représente ainsi un atout très précieux pour la société entière.

Certes, si les associations humanitaires et les bonnes volontés ne pourront jamais remplacer des politiques publiques d’ampleur, elles représentent tout de même un soutien de poids, nécessaire en attendant la consolidation des Etats africains et l’augmentation pensée et réfléchie des budgets destinés à la santé, à la culture et à l’éducation.

Retrouvant une stabilité longuement perdue et des conditions sécuritaires stables, la Côte d’Ivoire semble s’engager sur ce chemin.

2 réflexions sur « Les enfants d’Afrique au cœur des préoccupations humanitaires »

  1. [quote]

    Beaucoup trop d’enfants, Beaucoup trop d’enfants
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    Beaucoup trop d’enfants, Beaucoup trop d’enfants
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    [/quote]

    c’est l’énorme problème africain…Pire le sujet est tabou

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