Le Mal et le Bien – 3 – SUPER JESUS : l’homme qui murmurait à l’oreille de Dieu

 

Qui est Jésus ? Le sauveur de tous les temps, comme le prêchent tant de convertis ?

Il paraît que c’est lui notre sauveur, sauveur d’avant et de maintenant.

Il est venu nous sauver il y a 2000 ans et il nous sauve encore aujourd’hui ! 

 

L’existence historique de Jésus-Christ, sa vie, sa mort sur une croix et même ses miracles (interpréter différemment selon les écrivains) sont bien attestés par des écrits. Il n’y a pour l’instant aucune trace archéologique du passage de Jésus sur terre (du moins de ce que je sais , ça ne veut pas dire que !). Il n’a pas écrit (ce sont ses disciples qui ont consigné ses enseignements) ; nous ne savons pas exactement où se sont passés les évènements de sa vie (les lieux que l’on visite en Israël ont été décrétés tels par la tradition).

 

Pour cet article, je me base principalement sur la Bible.

 

Les prophéties de l’Ancien Testament concernant la venue du Messie, c’est-à-dire du Sauveur de l’humanité, ont été écrites entre –1500 et –400 avant J.C.

 

Les traductions grecques des Septante remontant à –250 avant J.C. et les manuscrits de Qûmram datant de –200 (écrits contenant l’Ancien Testament dans son entier plus d’autres textes), apporteraient les preuves formelles que ces prophéties ont été écrites bien avant la venue de Jésus-Christ.

 

Les avis divergent selon les livres sacrés.

 

Dans la Bible, il est reconnu que Jésus est le messie, Dieu incarné en homme :

 

– « C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : voici la jeune fille deviendra  enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel » (livre du prophète Esaïe ch.7 v.14 – environ -700 avant J.C.)((Emmanuel signifie "Dieu au milieu de nous", or c’est l’autre nom de Jésus). Il est prédit qu’il naîtrait à Bethléem (Michée 5:1) et serait issu de la lignée du roi David (livre des psaumes 89:4)

Commençons par le début, sa venue au monde.

Sa mère, Marie, Notre-Dame la Madone sainte Vierge, n’avait apparemment que 15 ans quand l’Ange Gabriel serait venu l’avertir qu’elle était enceinte du sauveur (donc de Dieu puisque d’après des milliers d’autres personnes dans le monde, Jésus serait = Dieu !)

Il semblerait que Marie était déjà fiancé à Joseph avant qu’elle ne soit enceinte. Joseph aurait-il pu être le père génétique de Jésus et « Dieu », le père spirituel ? Seule la foi permet de croire à cette magie…

 

Ce serait un moine, sous le règne de Charlemagne, qui aurait estimé l’année de naissance de Jésus. Il en a fait le départ de notre calendrier grégorien. Il se serait apparemment trompé de quelques années. En fait, d’après les Evangélistes (les témoins) Matthieu et Luc, Jésus serait né sous le règne d’Hérode le Grand, donc avant sa mort, en – 4 avant notre ère. Aujourd’hui la plupart des historiens situent la naissance de Jésus en l’an –6, c’est-à-dire en 6 avant Jésus-Christ. Serait-on en 2016 ?

Donc 8 jours après sa venue au monde, la barbarie commence, c’est écris dans la bible (Luc 2), on a circoncit Jésus ! Le pauvre ! Vous imaginez cette mutilation ?! En plus, comme c’était le premier-né mâle, il a fallu sacrifier des animaux (tourterelles ou pigeons) parce que c’était la loi du seigneur !

Ca bien sûr je ne peux imaginer Dieu assis sur son trône ordonnant des sacrifices en son nom. Non ! Il faut cesser cette vision ancestrale, à mon goût ! 

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Ensuite…

Son enfance : de 0 à 12 ans. Là, pas grand chose…

Etant de confession juive de par ses parents « adoptifs », Jésus a du être instruit dans une synagogue vers l’âge de 5-6 ans.

Il est dit qu’à l’âge de ses 12 ans, un garçon juif devenait majeur et acquérait de ce fait des droits et des privilèges spirituels de tout homme juif.

Donc, alors qu’il avait 12 ans, il suivit ses « parents » lors de la procession de la pâques à Jérusalem, l’une des fêtes les plus importantes chez les juifs qui commémorait l’ « Exode » des Juifs hors d’Égypte à l’époque de Moïse. Bizarrement, cette fête est devenu symboliquement, représentatrice de la mort expiatoire de Jésus-Christ…

Lors de cette fête, il s’assit parmi les plus grands médecins de l’époque, les écouta et les questionna. Ceux-ci furent très surpris (d’après les écrits), du discernement et de l’intelligence de cet enfant à peine « majeur ». Ce fut pour eux une preuve sur sa compréhension des choses spirituelles…

Jésus cherchait le Saint Esprit, l’Esprit sain, qui pouvait lui apporter les réponses qu’il ne trouvait pas chez lui. Et c’est au prix de ses ailes, qu’il travailla en tant que charpentier à la maison familiale.

Quand Joseph mourut, c’est lui qui soutint sa famille. Le travail à la charpente, fut apparemment ressentit comme une obligation pour lui qui désirait répandre la bonne parole…

(Là, si je découvre tout ce qu’il s’est passé avant ses 30 ans, j’écrirais une deuxième partie)

Vers l’âge de 30 ans (soit vers 26-27 de notre ère), commence ce qu’on appelle son ministère.

Jésus débuta en se faisant baptiser dans le Jourdain par un dénommé Jean dit le Baptiste. Le baptême consiste à se plonger tout entier dans l’eau, pour indiquer le désir de suivre Dieu dans sa vie. De retour en Galilée, Jésus Christ appela 12 personnes à le suivre et ce sont ces 12 qu’il désigna sous le nom d’apôtres.

Son ministère consistait essentiellement en enseignements dans les synagogues le jour du sabbat, en discours aux foules et en guérisons multiples. Parfois, du lever du soleil à son coucher, Jésus guérissaient tous les malades qui lui étaient apportés. Il faisait du bien partout autour de lui et accueillait tout le monde, notamment ceux qui étaient rejetés par la société.

Il est dit que Jésus a guéri des paralysés, des aveugles, des sourds et des lépreux. Il a chassé les démons des possédés et a ressuscité les morts. Pour exemple le paralytique de la piscine de Béthesda (Jean 5:1-5)), l’aveugle-né (Jean 9:1-40), les dix lépreux (Luc 17:12-19), le paralytique de Capharnaüm (Marc 2:1-12), le possédé Gérasénien (Marc 9/17-29), le fils de la veuve de Naïn (Luc 7:11-17), le muet possédé (Marc 9:17-29), l’hémorroïsse et la fille de Jaïre (Luc 8:41-56) et la résurrection de Lazare (jean 11:1-45)

En dehors des miracles accomplis sur les êtres humains, Jésus avait aussi d’autres capacités comme :

• – transformer l’eau en vin (les noces de Cana),

• – multiplier 5 pains et 2 poissons pour que 5000 personnes puissent manger, demander une pêche miraculeuse et la recevoir.

• – « nettoyer » le temple en chassant les vendeurs (échangeurs de monnaies et vendeurs d’animaux destinés aux sacrifices d’expiation),

• – pardonner les péchés à ceux qui croyaient en lui,

• – faire preuve d’une compassion extraordinaire,

• – Changer les pécheurs en sain de par sa voix…

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Les miracles de Jésus ont plusieurs but dont le plus évident est peut-être de démontrer le pouvoir de Jésus sur la vie et la mort pour l’édification de ceux qui leur en sont témoins.

Le jour où on a voulu lapider sous ses yeux une femme adultère parce que la loi de Moïse (à vérifier) a dit qu’il fallait agir ainsi… Jésus s’est levé et à crié à l’assemblée, à tous ceux près à mettre à mort la jeune femme, que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre ! Et personne n’a pu jeter la première pierre…

Jésus liait la guérison spirituelle à la guérison psychique. Je pense qu’il ne faut pas tout interpréter au pied de la lettre. Ok, il y a eu des guérisons physiques, mais il faut voir aussi le sens spirituel dans ces guérisons. Ce sont nous qui sommes aveugles ou sourds, possédés ou paralysés, ou même mort "spirituellement".

La mission de Jésus était de rendre hommage à la Vérité. Il a accomplit les prophéties le concernant dans l’alliance de la loi et a vécu de façon à ce que cette vérité devienne réalité. Il était l’incarnation même de la vérité (Jean 14.6), cette vérité qui peut libérer les hommes à condition qu’ils soient du côté de la vérité.

 

Jésus était aussi un homme sensible. Sa "perfection" le rendait compatissant à l’égard des imparfaits. Il était miséricordieux à l’égards des ingrats et des méchants (Luc 7-36 ; Luc 15)

Et à cause de toutes ses qualités, de sa compassion et son Amour pour l’Etre, Jésus a eu droit à un procès (Matthieu 26-57) pour blasphème. Ils ont beau chercher, la seule chose qu’ils trouvent à lui reprocher est qu’il est dit « Désormais le Fils de l’Homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu ». Alors ils lui dirent : « Tu es donc le Fils de Dieu ? » Et Jésus répondit : « Vous le dîtes, je le suis. » (Luc 22:67)

Après avoir été trahi par « le baiser de Juda », et trainé devant le « grand conseil », Jésus fut amené devant Ponce Pilate à qui on demanda la condamnation à mort de Jésus.

Pilate ne voulait pas faire tuer Jésus car il était pour lui « innocent » (Jean 18:29-38 ; Luc 23:8-16). Mais le peuple insistant, et sous les menaces des retombées de César s’il n’obtempérait pas, il finit par s’en « laver les mains », devant le peuple témoin, que ce n’était pas lui qui serait responsable de la mort du juste Jésus, même s’il a choisi d’écouter le peuple en acceptant de relâcher Barabas…

 

…Et Jésus fut envoyé à la mort…

Jésus prit le chemin de sa crucifixion sur la route de Golgotha où après avoir été battu et humilé, craché et torturé, il fut crucifié près de Jérusalem sur le Mont des Oliviers, le quatrième jour de la Pâques (Luc 23:1-56).

Comme dit selon les écritures, 3 jours plus tard, au septième jour de Shabbat habdomadaire, ce fut la résurrection de Jésus, il ressuscita. Du moins son « Esprit » ressuscita, car son aspect physique étant modifié, personne ne le reconnu immédiatement, même pas sa propre mère. Quand elle le reconnu et qu’elle voulu se jeter sur lui, il ne le voulu pas et lui expliqua qu’il devait d’abord monter au père. De plus il est dit qu’il traversait les murs et les portes fermés à clés. Etait-ce parce qu’il n’avait plus de corps physique ?

De tous ses miracles, sa propre résurrection fut le miracle le plus important qu’il accomplit.

Sa résurrection fut différente des résurrections qu’il accomplit avant sa mort. Car celle-ci n’était pas la simple réanimation de son corps charnel, mais le passage à une vie nouvelle.

Tout le monde ne crut pas immédiatement à sa résurrection, comme Thomas, qui ne put s’empêcher de vérifier les stigmates qui lui prouvèrent que c’était bien la même personne qu’il avait sous les yeux.

Cela changea à jamais la vie de ses disciples, qui, après sa mort, étaient tellement effondrés, qu’ils étaient près à retourner à leurs occupations antérieures. Au lieu de ça,ils poursuivèrent l’oeuvre de Jésus.

La résurrection de Jésus fut l’élément majeur de la fondation de ce qui va devenir une nouvelle religion. Progressivement, le christianisme se sépara du Judaïsme, conséquence aujourd’hui de leur crise d’identité (Je pense ! Mais peut-être que je me trompe… ) Le christianisme connaîtra une progression importante dans différentes branches jusqu’à être de nos jours, la religion la plus importante au monde en nombre de fidèle.

Malheureusement, les enseignements du Christ n’étant pas toujours compris et retransmis dans leur intégrité, il y eu beaucoup de guerres de religion, encore aujourd’hui…

L’Église considère Jésus comme un personnage essentiellement rédempteur, venu racheter l’humanité du péché originel. C’est à se demander pourquoi ce concept est si central dans le message de l’Église ? Pour moi, Jésus était un véritable « initié » venu apporter aux hommes et à ses disciples la connaissance sur la nature humaine et son fonctionnement, ainsi que sur la manière dont l’univers fonctionne. Et il avait le Christ en lui…

Le problème des Églises se situe dans l’orgueil et, par conséquent, au niveau d’une domination à maintenir sur la conscience des foules pour asseoir un pouvoir temporel.

Son discours a toujours voulu prouver que seule sa compréhension du Christ avait valeur rédemptrice. Elle a figé Jésus comme un homme-dieu dès le départ, qui n’a donc pas cheminé en tant qu’être humain incarné et face auquel il faut simplement s’agenouiller pour obtenir le salut puisqu’il est Dieu, point final. C’est une visons des choses très… dé-responsabilisante.

On nous demande de transmettre notre capacité de réflexion et de croissance personnelle à un Être qui vient effacer nos problèmes… à condition que nous lui prêtions hommage. A ce que je constate, la rémission des péchés et le rachat de l’Humanité ne sont pas compris de la bonne façon et ont pour conséquence de nous enfoncer dans le sentiment de culpabilité. Les religions ont mis l’humanité en danger. Qu’ont-elles fait de la soif spirituelle de l’homme ? Les religions ont préféré manipuler et conditionner la psyché de l’humanité.

Elles n’ont pas compris les paroles de Jésus qui parlait avec le Christ en lui.
La mission du Christ se situait peut-être au niveau du nettoyage du fardeau karmique contracté par notre Humanité au fil des Temps… Le Christ est peut-être venu résoudre un problème terrestre de nature énergétique afin de réinitialiser la progression de notre espèce…

Cependant, le rôle que  Jésus-Christ a joué nous a-t’-il déchargé de notre karma personnel ?

…

Notre responsabilité individuelle est sur notre propre chemin de Libération.

Ah oui, j’allais oublier : l’ascension !

Avant de « partir », Jésus rappela à ses disciples qu’il fallait qu’il accomplisse ce qui était écris de lui dans la loi de Moïse. 

Que le Christ souffrirait et qu’il ressusciterait le troisième jour , et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations et c’est à Béthanie qu’il disparu enlevé par le ciel, alors qu’il bénissait… Jésus aurait-il pu être influencé par le contexte social et familial dans lequel il était né et vivait ? Depuis sa naissance, il devait entendre qu’il était le messie. Il ne pouvait déçevoir ceux qui croyaitent en lui…

 

Avant de partir, il a dit aussi à Marie de Magdelene : « "Cesse de te cramponner à moi. Car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va-t’en vers mes frères et dis-leur : Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu"’ (Jn 20:17)

Et là est un preuve pour moi que Jésus est Jésus et Dieu est Dieu et le Christ en lui était le lien entre lui et Dieu. C’est que nous pouvons aussi avoir le Christ en nous si nous croyons en lui et donc en nous-même. Et nous pouvons nous débarrasser de nos défauts en nous repentant de nos péchés, c’est-à-dire de nos erreurs, on appelle cela aussi de l’introspection. Reconnaître ses erreurs et les comprendre afin de ne plus les recommettre. Et nous pouvons évoluer et nous perfectionner dans le but d’être aussi sage que Jésus. Il suffit juste de se connecter avec ce que certains appelleront Christ et d’autres « Energie » ou « Dieu ».

 

Voilà, voilà ! Je ne suis pas Jésus car lui semblait parfait alors que moi je ne le suis pas. Mais je pense avoir compris ce qu’il voulait dire. Pardonnez-moi si je fais des impairs ou me trompe à vos yeux dans ce que je dis. Pour moi, Jésus parlait en son nom propre. Il montrait le chemin pour trouver son propre chemin. Il était l’exemple même de nos capacités étouffées. Il nous montrait comment faire, comment dire, comment voir. Il était le parfait exemple de ce que nous sommes tous au fond. Les guerres de religions sont provoquées quand les personnes ne sont pas capables d’avoir la compassion lumière l’un envers l’autre. Quand elles ne sont pas capable d’ouvrir les yeux et les oreilles. Il y a à débattre, c’est sûr, et ce n’est pas encore aujourd’hui que je terminerai. Bientôt 3 semaines que je suis sur Jésus à l’étudier, alors je ne comprends peut-être pas tout, mais je me suis fait mon opinion. Jésus était égal à Amour, Paix et Liberté !

 

Maintenant, je voudrais vous expliquer ce qui m’a poussé à écrire un article sur Jésus… C’est  à cause de Véritas ! Oui oui ! Le commentateur qui vient régulièrement harceler les reporters de C4N en nous sautant à la gorge avec ses versets bibliques !

Je me suis vraiment décidée après avoir écris mon article « C’est quoi l’Amour », parce que Véritas me donnait l’impression de vouloir imposer sa vision -qui de mon humble avis est erronée- mais que je respecte car CHACUN SA VISION.  

 

Véritas, malgré le fait qu’il m’agace par moment, à cause de sa dictature biblique m’aura « poussé » à ouvrir ma Bible, histoire de pouvoir rétorquer justement.

Félicitation Véritas, vous aurez fait une bonne action. Avant « vous », je m’étais toujours littéralement endormie au bout de 2 lignes de lectures…

Alors Véritas, je tiens à vous remercier, grâce à vous, j’ai enrichi mes connaissances théologiques, ma connaissance de l’histoire, MERCI !

Mais ce n’est pas fini, je n’ai pas fini… Je reviendrais pour les détails… car tout n’est pas accomplit ici…

Pour terminer, voici quelques phrases de Jésus à méditer :

• – "Votre amour profond les uns envers les autres prouvera au monde que vous êtes mes disciples", dit Jésus (Jn 13.35) Peut-être que si vous aimez Satan, vous lui prouverez que vous êtes un disciple de Jésus… peut-être… Si c’est un ange déchu, alors au fond de lui, il doit toujours avoir l’étincelle de lumière de son créateur…

• – « (…) Quoi donc ? Tu énumères mes lois et tu as mon alliance à la bouche ?  Toi qui hais les avis et qui jettent mes paroles derrière toi !» (Psaume 50:13-17) En clair et là je m’adresse à Véritas, voilà ce que ce psaume veut dire : Cesse de me réciter des lois et de te réclamer de mes promesses car tu as refusé mes disciples et méprisé mes commandements, toi qui jettent mes paroles derrière moi !

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• – "Recherchez avant tout l’amour", écrit Paul aux Corinthiens (1 Co 14.1)

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• – "Vous êtes la lumière du monde ! Math.5:14 Pour être la lumière, restons branchés ! 

 

Au fait, Véritas… Au cas où vous penseriez que je suis l’antéchrist :

"Toute Écriture est inspirée de Dieu" (II Tim. 3:16).

Ah ! Ah ! Ah !

 

(Excusez-moi, je n’ai pas pu m’en empêcher…)