L’affaire Karachi,

qu’est-ce que c’est ?

Voici la réponse de Nicolas Sarkozy

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La piste d’une affaire d’État le Figaro.fr du 19/06/2009

L’attentat avait fait 14 morts, dont 11 ingénieurs Français et 12 blessés. Crédits photo : AFP

Selon un rapport de la Direction des Constructions Navales DCN, rédigé en septembre 2002 par un ancien agent de la DST, Claude Thévenet, la vente par le gouvernement d’Edouard Balladur au Pakistan de trois sous-marins Agosta pour 5,5 milliards de francs était assortie de promesses de versement de commissions à plusieurs dignitaires Pakistanais. Mais également de rétro-commissions destinées à financer en retour, en 1995, la campagne présidentielle d’Édouard Balladur, campagne dont le directeur était Nicolas Sarkozy, Médiapart du 19 juin 2009.

C’est donc une bombe qui vérifiée constituerait une affaire d’État.

A cette époque Nicolas Sarkozy était son ministre du budget.

De ce fait il ne pouvait pas ne pas approuver le volet de financement des contrats Agosta et Sawari II qui comprenaient comme dans tous contrats d’armement la rémunération d’intermédiaires, Vigi-Infos du 21 mai 2010.

Le contrat Agosta,

signé le 21 septembre 1994 par le gouvernement Balladur, prévoit la vente par la France de trois sous-marins d’attaque conventionnels de type Agosta 90B au Pakistan. Montant du contrat, 5,5 milliards de francs, soit 826 millions d’euros. La France est en concurrence avec la Chine, la Suède, la Grande Bretagne, et l’Allemagne, pour décrocher le marché, le contrat prévoit des commissions équivalant à 10,25% du montant de la vente. La plupart ont été versées. Selon plusieurs acteurs de l’époque, l’Arabie Saoudite aurait pu payer en partie en lieu et place du Pakistan.

Le contrat Sawari II,

conclu en novembre 1994, par le gouvernement Balladur également, porte sur la vente à l’Arabie Saoudite de trois frégates La Fayette pour un montant d’environ 19 milliards de francs, près de 3 milliards d’euros. Le montant des commissions s’élève à 18% du montant du contrat, selon un responsable de la Direction des constructions navales. Un montant important de ces paiements n’a finalement pas été honoré, Jacques Chirac ayant stoppé les versements après son élection en 1995.

C’est là que commencerait l’attentat de Karachi contre la France puisqu’elle n’aurait pas honoré ses engagements. On se rappelle qu’Édouard Balladur était l’adversaire de Jacques Chirac à l’élection présidentielle de 1995, et une fois à l’Élysée puisque président de la république, il aurait stoppé les derniers versements n’ayant pas aimé que son adversaire néanmoins compagnon politique finance sa campagne grâce à des rétro-commissions selon l’ancien ministre de la Défense Charles Millon, et que d’autre part elles sont interdites,

C’est l’attentat du 8 mai 2002 qui met en lumière cette affaire à la suite de l’explosion du bus de la Direction des Constructions navales par une voiture piégée, devant l’hôtel Sheraton de Karachi à 7h45, ou 15 personnes sont tuées, dont 11 Français employés de la DCN, travaillant à la construction de sous-marins dans le cadre d’un contrat avec le Pakistan, et quatre Pakistanais. Une enquête anti terroriste est donc ouverte en France par le juge d’instruction Jean-Louis Bruguière qui privilégie, pendant des années, la piste d’un attentat islamiste commis par Al Qaida en représailles contre l’engagement Français en Afghanistan, piste avancée par le Pakistan. En 2008 la piste Al Qaïda est abandonnée par le juge Marc Trévédic qui reprend le dossier en 2007. Il s’intéresse aux commissions versées dans le cadre de contrat de vente de sous-marins au Pakistan et de frégates à l’Arabie Saoudite orientant son hypothèse sur des représailles Pakistanaises après l’arrêt des commissions liées à la vente des sous-marins.

C’est le rapport Nautilus, en fin d’article, évoque un lien possible entre la suspension du versement de ces commissions et l’attentat de Karachi en 2002. Il s’agit en fait d’une série de six rapports de 2002, résultats d’une enquête sur les causes de l’attentat de Karachi commandée par la DCN, et dont Claude Thévenet, un ancien de la DST, a reconnu être l’auteur.

Fac-similé de la note de la DCN

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Ce rapport précise que l’attentat de Karachi du 8 mai a été réalisé grâce à des complicités au sein de l’armée et au sein des bureaux de soutien aux guérillas islamiques de l’ISI. Le but poursuivit était d’obtenir des commissions non honorées et promises par le réseau El Assir lors de la signature du contrat en septembre 1994. L’ISI, l’Interservices Intelligence est un service secret Pakistanais qui constitue un État dans l’État dans un pays ou l’armée est au pouvoir depuis la moitié de ses 60 années d’existence. L’ISI a souvent instrumentalisé les mouvements fondamentalistes, au Cachemire, où Islamabad, arme et finance la guérilla qui lutte au nom de l’islam contre l’Inde. Le réseau El-Assir est constitué par les Libanais Abdulrahman El-Assir et Ziad Takieddine.

«Nous avons la certitude que l’État Français nous cache quelque chose» estime Magali Drouet, dont le père a été tué dans l’attentat, «cela fait sept ans qu’on nous bassine avec la piste Al Qaïda. Aujourd’hui nous voulons que les personnalités citées dans le dossier soient entendues». Les «personnalités» en question sont notamment Edouard Balladur, Jacques Chirac, Renaud Donnedieu de Vabres et Charles Millon. Ce dernier a confirmé, qu’à la demande du président Chirac, élu en 1995, il avait «stoppé le versement de commissions pouvant donner lieu à des rétro-commissions» vers la France. Or il se trouve que c’est précisément l’arrêt par Paris du versement de ces commissions, évaluées à plus de 100 millions d’euros, qui serait le mobile de l’attentat selon un document rédigé en 2002 par un ex-agent de la DST, Claude Thévenet, et baptisé « Nautilus ». Selon ce document, la branche «Afghane» des services secrets Pakistanais aurait commandité l’attentat pour sanctionner la France de la suspension du versement des commissions, selon Jeune Afrique.

C’est donc un très lourd dossier des secrets de la république. Si ces informations devaient être définitivement validées par l’enquête judiciaire en cours, elles viendront solidement asseoir la thèse selon laquelle les commanditaires de l’attentat n’étaient pas des islamistes liés à la mouvance Al-Qaïda, comme cela a été longtemps invoqué par les autorités Françaises et Pakistanaises. De nombreux éléments tendent aujourd’hui à démontrer que l’attentat serait en réalité une manipulation de l’État Pakistanais et de ses services secrets, l’ISI, visant à punir l’État Français, coupable d’avoir suspendu le versement de commissions et de rétro-commissions occultes en marge d’un contrat d’armement datant de 1994 d’après Médiapart.

Le problème qui se pose concerne la culpabilité de l’attentat, or l’État Français n’a fait que d’arrêter le versement des commissions qui sont légalement interdites, il ne peut donc en être tenu pour responsable. Cette culpabilité criminelle apparaît être celle de l’État Pakistanais pour un engagement non tenu. Le problème est qu’il a vu la mort de 14 personnes dont 11 Français, dans ce cas, si cela est dû à l’arrêt des commissions par Jacques Chirac, on ne pourrait que le condamner pour sa responsabilité morale comme instigateur implicite de cet attentat, mais d’une part, il n’avait pas le droit légal de payer ces commissions, et d’autre part savait-il les conséquences qui en résulteraient ?

Par contre, pour Édouard Balladur et Nicolas Sarkozy le problème est tout autre, si les rétro-commissions ont servit au financement de la campagne électorale d’Edouard Balladur. De plus, le versement de commissions étant interdit, ces personnes seraient doublement coupables non pas de la mort des 14 personnes, mais d’avoir illégalement financé une campagne électorale à partir de rétro-commissions également interdites.

Le député, PS, et maire de Cherbourg, Bernard Cazeneuve, a été interrogé, estime que le gouvernement et la majorité n’ont pas favorisé le travail de la mission parlementaire sur l’attentat de Karachi en 2002.

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Le député socialiste Bernard Cazeneuve estime que le gouvernement et la majorité n’ont pas favorisé le travail de la mission parlementaire sur l’attentat de Karachi en 2002, l’Express.fr .

La majorité n’a manifesté aucun empressement à voir le contrôle du Parlement s’exercer sur ce dossier. D’emblée, le Sénat s’est opposé à la création d’une mission. Nous avons dû effectuer un premier parcours du combattant. A l’Assemblée, nous avons été circonscrits dans un cadre restreint, même si la lettre de mission englobait, au-delà de l’attentat, le contrat d’armement.

«Jamais je n’ai été confronté à autant de difficultés pour accomplir une mission d’information parlementaire», a -t-il déploré lors d’une conférence de presse. «Les difficultés auxquelles nous avons été confrontés dans le cadre de ce travail parlementaire sont venues des relations avec l’exécutif», a-t-il dénoncé, regrettant le fait de ne pas avoir obtenu du gouvernement des documents «qui auraient pu être très utiles pour faire avancer la vérité», l’Express.fr le 11/05/2010. Il est évident que la majorité ne peut collaborer à l’éclaircissement de cette affaire qui met en cause Sarkozy et Balladur les deux principaux responsables présumés d’autant que des preuves avérées ne sont pas produites. Mais aussi ne pas aider à les constituer laisse planer une suspicion sur cette affaire.

Il n’y a jamais de fumée sans feu, et on ne peut s’empêcher de penser que le couple Balladur Sarkozy avait besoin d’argent pour cette campagne présidentielle contre Jacques Chirac, or à l’époque, qui était propriétaire des moyens financiers si ce n’est Jacques Chirac !        

Le rapport Nautilus,

Après de nombreux contacts, tant en Europe qu’au Pakistan, nous parvenons à la conclusion que l’attentat de Karachi du 8 mai 2002 a été réalisé grâce à des complicités au sein de l’armée et au sein des bureaux de soutien aux guérillas islamistes de l’ISI (1).
Les personnalités militaires ayant instrumentalisé le groupe islamiste qui a mené à bien l’action poursuivaient un but financier. Il s’agissait d’obtenir le versement de commissions non honorées, et promises par le réseau El Assir lors de la signature du contrat de septembre 1994.
L’annulation de ces commissions avait été décrétée en 1995, à la suite de l’alternance politique en France, et visait à assécher les réseaux de financement occultes de l’Association pour la Réforme d’Édouard Balladur. Le financement singulier de l’acquisition de ces sous¬-marins par le Pakistan, grâce à un portage ordonné par la famille royale saoudienne, a longtemps laissé supposer un arrangement amiable sur le non-paiement de ces commissions. Les liens entre le président Français et les dirigeants saoudiens le permettaient théoriquement.
Cependant, la décision du 12 janvier 2002 du président Pervez Musharraf de stopper le financement des guérillas islamistes au Pakistan a rompu cet équilibre, localement, conduisant plusieurs chefs militaires à choisir un mode d’opposition fondée sur la violence 1.

Intermédiaires opérationnels dans le contrat tour la vente de 3 Agosta 90B à l’état pakistanais.

(1). Inter Services Inteligence, services spéciaux pakistanais.

Pour la DCN, la phase amont du contrat (été 1993) a été assurée par la SOFMA, la SOFRESA et la SOFREMI. Lors des premières approches, elles ont été épaulées par l’Office général de l’Air qui venait alors de finaliser un contrat pour le compte de Dassault. Plusieurs chefs militaires pakistanais ont été reçus à Paris et à Cherbourg. Ils étaient accompagnés par Hermine de Clermont Tonnerre, qui prenait en charge leur confort sur le territoire français.

DCN International, créée pour la circonstance, a pris le relais quelques mois plus tard, par l’entremise notamment d’Edwige Avice. Ces démarches ont progressivement permis à la DCN de convaincre le chef d’état-major de la marine pakistanaise, Mansurul Haq, lequel a demandé le versement d’une commission pour ce contrat, organisé par le biais d’une banque Suisse.
Au sein du management de la DCN, Emmanuel Aris a supervisé l’essentiel des opérations qui ont conduit à la signature du contrat le 21 septembre 1994. La gestion des éléments financiers a été confiée à la société bancaire Financière de Brienne.

1.2. L’intervention de l’Arabie Saoudite, qui a subventionné l’essentiel du contrat, explique la présence, à divers stades des négociations, de l’intermédiaire Cheikh Ali Bin Mussahalam, ancien grand chambellan du roi Fahd.

1.3. Pour Thomson CSF, les négociations ont débuté au début de l’année 1994 et portaient sur la vente du matériel électronique embarqué à bord des sous-marins. Sur les conseils de Samir Traboulsi et de Ziad Takie Eddin (actuellement actionnaire de Gemplus, connu pour son rôle dans l’affaire Isola 2000, et ami de Francine Gomez), la présidence du groupe a choisi l’homme d’affaires libanais Abdul Rahman EI-Assir (gendre d’Aman Kashogi) pour mener à bien les négociations sur ce volet du contrat. Aux yeux de l’industriel, El-Assir possédait alors deux avantages. C’était un ami d’Azi Ali Zardari le mari du Premier Ministre Benazir Bhutto, lequel incarnait la clé des contrats de la puissance publique au Pakistan.
Par ailleurs, El-Assir intervenait déjà dans le contrat Sawari 2 avec l’Arabie Saoudite et avait préparé une partie du système de financement de la campagne balladurienne, garantissant au projet pakistanais un soutien du gouvernement de l’époque. Il avait pour adjoint un homme d’affaires égyptien, Ali Hagag.

1.4. Pour Aérospatiale, il semble que sa direction commerciale a joué un rôle moins actif. La vente de missiles SM 39, dans le cadre de la cession des sous-marins Agosta, intervenait à la suite de plusieurs contrats sur place – en particulier pour des hélicoptères. Il s’avère – en l’état actuel des données – qu’à l’époque l’industriel n’a pas développé de réseaux spécifiques pour cette opération.

2. Les systèmes de rétribution occultes mis en œuvre et leurs évolutions.

2.1. Au Pakistan, Abdul Rahman El Assir a planifié l’enrichissement du clan Bhutto, au terme d’un accord entre les époux. Abdul Rahman El Assir a acheté à son tour l’aval du chef d’état major de la marine, Mansurul Haq, comme l’ont montré les récentes investigations lancées contre lui à Islamabad (interpellé en 1997 aux Etats-Unis puis extradé vers le Pakistan). Cependant, il ne s’agissait pas d’un simple acte d’enrichissement personnel. Le général Haq se servait de ce type de contrat d’armement pour dégager des crédits afin de financer les guérillas islamistes du Cachemire et de la Zone Tribale, comme l’ont fait la plupart des officiers supérieurs intervenant sur les achats de matériels (ces informations nous ont été confirmées par plusieurs enquêteurs des Nations Unis travaillant au Pakistan et en Afghanistan). Le général Haq a, en particulier, utilisé ce contrat pour libérer des fonds pour le bureau des affaires afghanes de l’ISI que dirigeait le général Aziz Kahn. Ce bureau a été en particulier à l’origine du recrutement à Londres, par le poste de l’ambassade, du chef islamiste Cheikh Omar Saeed (information confirmée par un cadre du Foreign Office qui cite un rapport du MI 6). Ce leader religieux est considéré comme un défenseur de la cause islamiste à la solde des militaires et de l’ISI, trahi par la décision de Pervez Musharraf du 12 janvier 2002 qui stoppe le financement et l’appui des mouvements radicaux. L’attentat de Karachi a été perpétré deux jours avant l’ouverture du procès d’Omar Saeed.

 

2.2. En septembre 1995, le président de la République a ordonné de cesser toute rémunération du réseau EI-Assir. Charles Millon, ministre de la Défense, conserve trace d’une visite de l’homme d’affaires proche de l’Elysée, Patrick Maugein(2), venu pour régler la succession du réseau El-Assir (Patrick Maugein, cf. affaire de la BRGM. Famille Maugein : l’un des leaders sur le marché des accordéons basé à Tulle; important contributeur des campagnes politiques en Corrèze dans les années 70 et 80).

(2) Cf. nos notes des 17 et 28 octobre 1999 (ci-jointes)

La prise en main par Patrick Maugein a été effective courant 1996, et a abouti à cesser les versements aux balladuriens et aux islamistes de l’ISI. Ce revirement a eu pour conséquence, à plusieurs reprises, l’envoi de messages menaçants à des fonctionnaires français, et émanant de ressortissants libanais.

3. Eléments d’analyse sur l’attentat du 8 mai 2002.

Cet attentat suit plusieurs avertissements adressés localement au personnel diplomatique en charge de l’armement. Il s’agit notamment d’une bombe placée sous le véhicule de l’épouse d’un fonctionnaire, au mois de février 2002, sans que le détonateur ait été préalablement actionné.

L’enlèvement de Daniel Pearle, compte tenu de ses liens familiaux (sa femme est française et travaille pour RFI) et au regard des premiers textes de revendications (il est demandé aux occidentaux d’honorer leurs engagements sur des marchés d’armements, un texte cite le contrat des F l6 gelé par le département d’Etat) aurait pu également constituer un autre avertissement (recherche en cours).

L’attentat lui-même se distingue des autres actions – plus artisanales – entreprises contre des ressortissants occidentaux, notamment dans des lieux de culte. En effet, la déflagration du bus conduisant les agents de la DCN est le résultat d’une planification militaire. Nous avons pu confirmer, par des sources judiciaires et diplomatiques locales, que les dégâts occasionnés résultent du placement d’une mine magnétique sur le bus, à l’endroit précis où la camionnette contenant des explosifs s’est collée au bus. Ce modus operandi plaide pour une participation des correspondants du bureau Afghan de l’ISI. Ce dernier, lâché par le pouvoir politique depuis janvier 2002, recherche ses propres modes de financement et a entrepris de reprendre les « dossiers impayés ». Pour exécuter l’action, il a pu sans difficulté manipuler des partisans d’Omar Saeed, au moment où s’ouvrait son procès, de la référence Jeune Afrique .

 

48 réflexions sur « L’affaire Karachi, »

  1. [b]Anido[/b],

    c’est un lièvre, que tu lèves ici… Je ne sais pas trop quoi dire, d’autant que je ne connais pas les tenants et les aboutissants de cette affaire d’état !
    Cependant, si les faits s’avèrent exacts, cela pourrait mettre le [b]Président Nicolas Sarkozy[/b] dans de sérieuses difficultés…
    [i]- Que se passerait-il si des poursuites judiciaires étaient engagées contre lui et contre [b]Édouard Balladur[/b] ?
    – Le financement des campagnes électorales par le biais de commissions versées pour la vente d’armement nucléaire, n’est-ce pas interdit par nos Lois ?[/i]

    Il me semble, que, à cette époque, [b]Jacques Chirac[/b] était candidat contre [b]Édouard Balladur[/b] ! [i]Comment [b]Jacques Chirac[/b], qui n’était, ni Premier Ministre, ni Président de la République, pourrait avoir une quelconque responsabilité dans cette affaire ?[/i]
    Par ailleurs, [b]François Mitterrand[/b] était Président de la République ! Or, en vertu de l[b]’Article 15 de la Constitution de la Vè République[/b], il était le [b]Chef Suprême de nos Armées[/b] ! [i]Aurait-il eu également des responsabilités dans cette affaire ?[/i]

    Maintenant, je viens d’écouter cette vidéo, que tu as installée dans ton article ![i] La réaction du [b]Président Nicolas Sarkozy[/b], face à ce journaliste, n’est pas digne d’un Homme d’État et d’un Président de la République ![/i]

    Avec toute mon amitié,

    [b]Dominique[/b]

  2. [b]Dominique[/b],

    Le problème est circonscrit à Jacques Chirac, Édouard Balladur et Sarkozy
    , Mitterrand n’a rien à voir dedans, le premier ministre étant Jacques Chirac. Ce n’était pas Mitterrand qui ouvrait les cordons de la bourse.

    J’ai, je crois avoir bien expliqué le rôle de Jacques Chirac quand il découvre après avoir été élu qu’il doit payer les Pakistanais du solde de ce qui avait été promis.

    Comme c’est interdit, et que probablement il n’était pas au courant, il ne veut pas se mouiller, il refuse de payer.

    Or, ces commissions ont ouvert des rétro-commissions qui auraient servies à la campagne d’Édouard Balladur, on ne peut faire une campagne électorale sans argent, il en faut beaucoup pour la présidentielle.

    Bien entendu rien n’est prouvé, l’enquête, si elle abouti, montrera t-elle la réalité ?

    Alors que dire si cela se vérifie, que peut faire la justice, il s’agit du président qui ne peut être poursuivit pendant son mandat pour ce genre d’affaire, il faudra donc attendre qu’il quitte son chapeau comme Jacques Chirac. Quand à Balladur, il peut être jugé mais sans Sarkozy ce qui est bancal.

    Bien à toi,

    Anido

  3. [b]Veritas[/b] bonsoir,

    Je n’accuse personne, je reprends ce que la presse écrit et que tous évoquent Veritas.

    Bien à toi,

    Anido

  4. [quote][i][b]… Le problème est circonscrit à Jacques Chirac, Édouard Balladur et Sarkozy, Mitterrand n’a rien à voir dedans, le premier ministre étant Jacques Chirac. Ce n’était pas Mitterrand qui ouvrait les cordons de la bourse…[/b][/i][/quote]
    [b]Anido[/b], si tu te souviens bien, lors de cette deuxième cohabitation, c’était bien [b]Édouard Balladur[/b], qui, [u][i]du 29 mars 1993 au 11 mai 1995[/i][/u], était Premier Ministre[b]([u][i]*[/i][/u])[/b] !
    [b]Jacques Chirac, quant à lui, était Maire de Paris et Député de la Corrèze :[/b] [i]alors, comment peux-tu lui imputer des responsabilités alors qu’il n’avait aucun rôle dans ce gouvernement de cohabitation ?[/i]

    [b]([u][i]*[/i][/u])[/b] – [b]Premiers ministres et gouvernements [ [url]http://www.france-politique.fr/gouvernements.htm[/url] ][/b]

  5. [quote][i][b]… J’ai, je crois avoir bien expliqué le rôle de Jacques Chirac quand il découvre après avoir été élu qu’il doit payer les Pakistanais du solde de ce qui avait été promis. Comme c’est interdit, et que probablement il n’était pas au courant, il ne veut pas se mouiller, il refuse de payer…[/b][/i][/quote]
    Sur ce point, [b]Anido[/b], on ne peut que donner raison au [b]Président Jacques Chirac[/b]… Donc, il ne peut guère être incriminé dans cette affaire…
    Il n’empêche que c’est lamentable, d’autant que des gens ont perdu la vie dans cette affaire…

  6. [quote][i][b]… Or, ces commissions ont ouvert des rétro-commissions qui auraient servies à la campagne d’Édouard Balladur, on ne peut faire une campagne électorale sans argent, il en faut beaucoup pour la présidentielle. Bien entendu rien n’est prouvé, l’enquête, si elle abouti, montrera t-elle la réalité ? Alors que dire si cela se vérifie, que peut faire la justice, il s’agit du président qui ne peut être poursuivit pendant son mandat pour ce genre d’affaire, il faudra donc attendre qu’il quitte son chapeau comme Jacques Chirac. Quand à Balladur, il peut être jugé mais sans Sarkozy ce qui est bancal…[/b][/i][/quote]
    Alors, [b]Anido[/b], toute l’affaire sans le roussis… I[i]l conviendrait peut-être de revoir,[/i] [u]une fois de plus[/u][i], les règles concernant le financement des campagnes électorales des candidats à une élection présidentielle…[/i]
    Quoiqu’il en soit, cette lamentable affaire risque fort bien de mettre d’accentuer encore plus ce [b]divorce sans consentement mutuel entre le peuple français et sa classe politique[/b]…
    Puis, il se pourrait très bien que les juges aillent au bout de leur enquête !

    Avec toute mon amitié,

    [b]Dominique[/b]

  7. [i]Je n’accuse personne, je reprends ce que la presse écrit et que tous évoquent Veritas. [/i]
    et moi NIDOLGA, je reprenais certaines paroles de la video !!!
    [b] »qui peut croire à une fable pareille,…
    demandez à la justice qui z’enquete ! « [/b]

    attention NIDOLGA ,[b] HEINE[/b] te surveille !!!!

  8. [quote][b]Je n’accuse personne, je reprends ce que la presse écrit et que tous évoquent Veritas.
    et moi NIDOLGA, je reprenais certaines paroles de la video !!!
    « qui peut croire à une fable pareille,…
    demandez à la justice qui z’enquete !  »

    attention NIDOLGA , HEINE te surveille !!!![/b][/quote]
    [b]Qu’entendez-vous par là, Veritas ????[/b]

  9. [quote][i][b]je parle à NIDOLGA ![/b][/i][/quote]
    [b]Et où est le problème, Veritas ? [i]Ceci, n’est-il pas un espace de commentaire, dans lequel, chacun est libre de s’exprimer ????[/i]
    [u]Alors, Veritas, j’etime avoir parfaitement de vous poser cette question, que je repose, ci-dessous, en QUOTE[/u] : [/b]
    [quote][quote]Q[i][b]u’entendez-vous par là, Veritas ????[/b][/i][/quote][/quote]

  10. [quote]e[i][b]t moi, j’estime avoir parfaitement le droit de ne pas vous répondre ![/b][/i][/quote]
    [b]A votre guise et à votre bon vouloir, Veritas… Point barre !!!!! J’attendrai donc le commentaire de Anidom Nidolga ![/b]

  11. on va lever un coin du voile sur cette fameuse HEINE
    (attention à l’orthographe et ne pas écrire Haine !!!)

  12. et après tout, c’est vous le journaliste, ce n’est pas moi
    …qui ne suis qu’un modeste commentateur !

  13. [b]Dominique[/b] bonjour,

    Je n’impute aucune responsabilité à Jacques Chirac,voila ce que j’ai écrit : [b]dans ce cas, si cela est dû à l’arrêt des commissions par Jacques Chirac, on ne pourrait que le condamner pour sa responsabilité morale comme instigateur implicite de cet attentat, mais d’une part, il n’avait pas le droit légal de payer ces commissions, et d’autre part savait-il les conséquences qui en résulteraient ?
    [/b]

    [b]Par contre, pour Édouard Balladur et Nicolas Sarkozy le problème est tout autre, si les rétro-commissions ont servit au financement de la campagne électorale d’Edouard Balladur. De plus, le versement de commissions étant interdit, ces personnes seraient doublement coupables non pas de la mort des 14 personnes, mais d’avoir illégalement financé une campagne électorale à partir de rétro-commissions également interdites. [/b]

    Tu écris il conviendrait de revoir le financement des campagnes électorales, mais l’UMP de l’époque percevait des subventions pour son parti comme pour les autres en fonction de nombre de leurs députés.

    Si dans le même parti un autre homme politique veut se lancer dans la bataille sans avoir l’investiture de son parti, il ne peut percevoir un financement puisque c’est celui qui est désigné qui en profite, et c’était Jacques Chirac. En d’autres termes il est conduit à se financer soi-même, donc à trouver de l’argent.

    Bien à toi,

    Anido

  14. NIDOLGA , Bonjour !
    j’ai vu ton article sur médiapart.
    tu ne parles pas de HEINE !
    trop sensible ???

  15. [b]Veritas[/b] bonjour,

    HEINE te surveille bien entendu cela méritait une explication car je ne connais Heine que comme un poète et journalisme Allemand du 19ème.

    [b]Heine fut à la fois un poète romantique et celui qui surmonta le romantisme. Il légitima le langage courant en poésie, éleva le feuilleton et le récit de voyage en forme d’art et conféra à la langue allemande une légèreté et une élégance stylistique rarement atteintes. En tant que journaliste, essayiste, satiriste et polémiste engagé, il était autant admiré que craint. Il est l’un des poètes les plus traduits de la langue Allemande.[/b]

    Serais-je romantique et polémiste engagé à tes yeux Veritas ?

    Ou tout simplement un peu simplet ?

    Expliques-toi s’il te plait !

    Bien à toi,

    Anido

  16. [b]Veritas[/b],

    Oui,j’écris aussi sur Médiapart pour élargir mon influence médiatique, et j’ai vu aussi que tu commentes sur ce site que je trouve excellent.

    Je vais aller puisque l’on m’a invité aux lundi de Médiapart le 14 juin histoire de voir ce qu’ils sont.

    Bien sur je ne parle pas de Heine je suis un blogueur lambda rien d’un journaliste de valeur.

    Bien à toi,

    Anido

  17. Parle de HEINE, parce qu’il faudrait bien en parler !
    (c’est un souhait , pas un ordre bien sûr !).
    Bonne journée.

  18. 2 POIDS 2 MESURES :
    [b]Vidéo off de Sarkozy:
    le journaliste de Rue89 risque
    une mise en examen pour recel .[/b]

  19. [b]A tous[/b],

    Des compléments sur une société obsure qui n’ont été révélés par Veritas.

    Il existe une société obscure la « shadow company » située au Luxembourg qui gérerait les relations obscures entre nos décideurs politiques et l’industrie de l’armement. C’est Libération, ici[url]http://www.liberation.fr/societe/0101640566-heine-boite-a-pots-de-vin-qui-tache[/url] qui développe le coté obscur d’une correspondance entre le comptable Luxembourgeois de Heine, Yves Schmit, avec Nicolas Sarkozy, pourtant ministre de l’Intérieur, pour régler un problème capitalistique touchant la société. Et en des termes révélateurs d’un lien de subordination : «Votre lettre du 28 septembre nous est bien parvenue. Mais à ce jour, elle n’a pas été suivie d’effet. Nous n’avons toujours pas reçu d’instruction de la part de l’Etat français» L’article dit présenter un fac similé [b]que je n’ai pas trouvé[/b].
    Ensuite le le 16 janvier 2007, un courrier à en-tête de Heine, Boivin, l’homme orchestre, demande à Michèle Alliot-Marie, de lui «accorder prochainement un rendez-vous». Une démarche, semble-t-il, fructueuse. Or, une décision méconnue émanant de la Haute cour de justice de l’Ile de Man, un accord aurait, au lieu a été c’est plus prudent, passé sur cette île le 24 janvier 2009, entre Heine et un «représentant du gouvernement Français», avec la participation de Thales et la DCNS (successeur de la Direction des constructions navales), pour le versement de 8 millions d’euros d’honoraires à Jean-Marie Boivin pour prix de son silence, c’est ce que présente l’article.

    Si MAM n’est que l’un des nombreux interlocuteurs de Heine, et pas forcément le plus assidu, son cas soulève un conflit d’intérêt. En 2007, elle intervient comme ministre de la Défense, alors que la DCNS appartient à 74% à l’Etat. Deux ans plus tard, elle est mutée à la Justice, tutelle d’un parquet qui freine des quatre fers une enquête pénale visant les relations entre Heine et la DCNS…

    La suite après

  20. La suite,

    Ces courriers aux ministres de l’Intérieur, de la Défense et à l’Elysée, sous la présidence de Jacques Chirac (le 26 avril 2006) puis de Nicolas Sarkozy (le 8 février 2008), apparaissent dans les annexes d’un rapport de police judiciaire de 22 pages, rédigé par deux commissaires luxembourgeois, Eric L. et Alexandra G., daté du 10 janvier 2010. Un document cité la semaine dernière par Mediapart, le Parisien évoquant les missives de Heine. Le porte-parole du parquet général du Luxembourg, Jean-Paul Frising, nous a expliqué que ce rapport «relate les démarches des policiers luxembourgeois, leurs actes coercitifs [les perquisitions dans les bureaux de Heine et de Boivin, ndlr], tous effectués sous le contrôle d’un juge luxembourgeois». Et, selon lui, ses services en ont transmis un premier exemplaire au parquet général de Paris le 10 février.

    Des pièces fiscales montrent qu’en 1997, la DCNI, filiale pour les ventes à l’export, transfère 51,9 millions de francs à Heine. Afin de rémunérer discrètement les acheteurs étrangers.

    un courrier de la DCNI du 23 juillet 2003 montre que Jean-Marie Boivin, principal responsable de Heine, «intervient auprès de l’Elysée pour faire passer des messages» relatifs à un marché de navires pour la Belgique. Il y rencontre à deux reprises le contre-amiral Richard Wilmot-Roussel, rattaché à l’état-major particulier du président Jacques Chirac.

    Et le 9 mars 2005, Heine demande directement à la DCNI le paiement d’une facture de 577 000 euros au titre de son intervention sur un gros marché au Chili, comprenant notamment la vente de torpilles.

    Tout cela ne prouve rien quand à l’implication de Heine dans l’affaire Karachi, on peut seulement constater que pour vendre des armes, il faut un intermédiaire qui, pour son travail reçoit des commissions dites occultes, donc interdites, ce que l’on savait déjà.

    Bien à vous,

    Anido

  21. [b] »qui peut croire à une fable pareille,…demandez à la justice qui z’enquete !  » [/b]
    « Interrogations des enquêteurs luxembourgeois sur le rôle de la société Heine
    PARIS (AP) — La société Heine, créée au Luxembourg par la Direction des constructions navales (DCN), a versé près de 76 millions d’euros entre [b]1994[/b] et 2004 sur des comptes offshore, selon le rapport de la police luxembourgeoise transmis à la justice française qui enquête sur des faits de corruption présumée au sein de la DCN.
    Créée en 1994 au Luxembourg, comme la société Eurolux, cette société était utilisée par DCNI pour régler des commissions à des intermédiaires dans le cadre de ventes d’armes à l’étranger, comme l’homme d’affaires d’origine libanaise Ziad Takieddine, soupçonné d’être impliqué dans la vente de sous-marins Agosta par la France au Pakistan en 1994. Ce qu’il dément.[b] Les enquêteurs estiment que « le bénéficiaire économique de ces deux sociétés est l’Etat français ».[/b] »

  22. Veritas ,

    Tu n’es pas satisfait que j’ai posté l’information que tu m’a donnée ?

    Elle est importante même si elle n’apporte sur l’affaire Karachi aucune preuve, elle montre tout simplement que pour vendre des armes, il faut passer par des intermédiaires.

    C’est un point acquis.

    Bien à toi,

    Anido

  23. « qui peut croire à une fable pareille,…demandez à la justice qui z’enquete !  »
    France Info – 2 juin 2010
    Affaire Karachi : un rapport de police mentionne Nicolas Sarkozy
    Un rapport de la police luxembourgeoise évoque un financement occulte
    de la campagne d’Edouard Balladur en 1995.
    Selon ce rapport, révélé par Médiapart.fr, Nicolas Sarkozy aurait validé
    la création d’une société off-shore destinée à financer cette campagne.
    Les familles des victimes de l’attentat de Karachi appellent à la démission
    de Nicolas Sarkozy.

    Les familles des victimes pensent que ce système de financement aurait pu
    servir de mobile à l’attentat de Karachi qui a coûté la vie à 14 personnes,
    dont 11 ingénieurs français en 2002.
    Pour l’avocat des six familles de victimes de l’attentat, Me Olivier Morice,
    « ce rapport montre que Nicolas Sarkozy est au cœur de la corruption et
    qu’il a menti aux familles ».
    « Nous ne sommes pas en présence d’une fable mais d’un mensonge d’Etat »,
    a estimé l’avocat,
    ajoutant que « les familles sont indignées et demandent sa démission ». »

  24. [b]Veritas[/b],

    Ce serait croire à l’impossible bien qu’elle soit indépendante du pouvoir politique.

    C’est effectivement une affaire d’État qui comme toutes ces affaires, elle fera psitt!

    Croire en sa démission faut pas rêver qui va le faire démissionner ?

    Quelle procédure pour le faire démissionner ?

    Si les faits sont avérés, il peut être mis en cause après son mandat de président à condition que la justice ouvre une enquête et qu’il soit entendu comme témoin seulement, par contre Balladur peut être jugé.

    Bien à toi,

    Anido

  25. [b]IL EST FORT QUAND IL DIT
    « et puis d’mandez à la justice qui z’enquête  » !!!!!!!!!![/b]

  26. [b]HEINE PENDUE A DES CROCS DE BOUCHER !!![/b]:
    « Le vice-président chinois, Zheng Dejiang, a rencontre au Pakistan
    les 9 et 10 juin derniers des responsables civils et militaires.

    Selon la presse locale, [b]un nouvel accord majeur[/b] pourrait être conclu
    entre les 2 pays, prévoyant l’achat d’au moins 3 sous-marins. »

  27. [b]Veritas[/b] bonjour,

    Ce qu’il y de bien chez toi, c’est que tu m’oblige à chercher, mais je ne trouve pas toujours et cela m’est désagréable.

    La fois dernière c’était Heine ou je me suis planté et cette fois-ci c’est trois sous-marins entre les Chinois et les Pakistanais, pourrais-tu préciser, je n’ai rien trouvé sur le sujet.

    Merci,

    Bien à toi,

    Anido

  28. C’est bon de chercher , non , NIDOLGA ? …à condition de trouver !!!
    « [b]et puis d’mandez à la justice qui z’enquête[/b]  » !!!!!!!!!!
    [url]http://www.lalsace.fr/fr/article/3318016/Sous-marins-pots-de-vin-et-urnes-a-l-origine-du-carnage-de-Karachi.html[/url]

    [url]http://www.corlobe.tk/article19983.html[/url]

    servi sur un plateau , c’est pas beau ça ?!!!
    « [b]moi j’voul’dit[/b] »

    Bonne journée à toi !

  29. NIDOLGA ,je te laisse en information un lien qui concerne le Pakistan :

    [url]http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20100614180704/les-services-de-renseignement-dans-le-viseur-des-occidentaux.html[/url]

  30. [b]Veritas[/b],

    Merci, tu as un vrai réseau d’informations le mien est conséquent mais il apparaît moins performant.

    Effectivement la Chine va vendre des sous-marins au Pakistan, c’est en cours, mais en quoi cela concerne Heine puisque Heine est un groupe de transactions d’armement monté par Sarkozy ?

    Remarque dès lors qu’il touche à tout rien n ‘est impossible

    Bien à toi,

    Anido

  31. « Des policiers financiers ont perquisitionné jeudi le domicile parisien
    de Ziad Takieddine, présenté comme un intermédiaire dans la vente de
    sous-marins de la DCN au Pakistan en 1994, a-t-on appris aujourd’hui
    de source judiciaire. »Source le figaro
    bonne journée Nidolga
    (je ne fais pas partie de la DST , ni d’un think-tank !!!!!)

  32. [b]Veritas[/b],

    Effectivement Ziad Takieddine a été perquisitionné jeudi, on n’en sait pas plus pour le moment.

    L’enquête du parquet, qui a donné lieu à cette perquisition avait été ouverte à la suite d’une plainte de familles de victimes de l’attentat. Elles ont à nouveau déposé plainte pour les mêmes chefs mardi, cette fois avec constitution de partie civile.

    Bien à toi,

    Anido

  33. j’ai l’impression NIDOLGA , qu’on est face à une réaction en chaine :
    « [b]Ziad Takieddine a versé l’argent à une société domiciliée au Luxembourg, Heine.
    Un rapport de police luxembourgeois récemment publié et des conclusions de la
    police française de 2007 estiment qu’Heine a été créée par la DCN avec l’accord
    de Nicolas Sarkozy et Edouard Balladur.[/b] » (Reuters)

  34. [b]Veritas,
    [/b]
    Il est exact d’après ce que j’ai pu lire, que Heine a été créée pas la DCN sous les instructions de Sarkozy avec l’accord d’Édouard Balladur.

    Il faut un intermédiaire pour vendre des armes.

    Bien à toi,

    Anido

  35. [b]A tous[/b],

    le juge confirme l’existence de rétro-commissions illicites

    Le juge Marc Trévidic, chargé de l’enquête sur l’attentat de Karachi en 2002, a confirmé l’existence de « rétro-commissions illicites » en marge du contrat de vente de sous-marins au Pakistan, a indiqué un avocat des parties civiles de l’attentat. La justice soupçonne que l’arrêt du versement de commissions au Pakistan ait été à l’origine de l’attentat. Selon le juge, les motifs d’arrêt des commission étaient connus « [b]au plus haut niveau de l’État[/b] ». (AFP)

    Bien à vous,

    Anido

  36. LE SECRET DES FABLES DEVOILE ?
    « Hervé Morin a signé lundi la déclassification du dossier relatif à l’attentat de Karachi en 2002. Le ministre de la Défense a suivi l’avis de la Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN) qui s’était prononcée pour cette levée la semaine dernière. Ces dossiers comprennent notamment deux rapports du contrôle général des armées et le contrat Agosta sur la vente de trois sous-marins au Pakistan en 1994. » JDD

  37. L’AUTRE AFFAIRE OU IL Y A EU MORTS D’HOMMES !
    « « [u][b]Le Premier ministre[/b][/u], par l’intermédiaire du service qui lui est rattaché, le [u][b]secrétariat général à la Défense nationale[/b][/u], et par son directeur Alain Juillet, a contacté un de mes avocats en Angleterre, afin de mettre en place trois réunions de cinq heures chacune, qui ont eu lieu en septembre, en octobre 2008 et le 24 janvier 2009, affirme Boivin. Au cours de ces quinze heures de négociations, le montant total des services rendus par [b]Heine[/b] et facturés à DCN a été validé, soit 8 M€. » »
    [url]http://www.leparisien.fr/abo-faits-divers/ce-que-l-homme-cle-de-l-affaire-de-karachi-a-dit-aux-juges-09-07-2010-994378.php[/url]

  38. [b]Veritas,
    [/b]
    Allons-nous connaître la vérité si le secret défense est levé ?

    Cette affaire si elle se dévoile sera pire que Bettencourt-Woerth, pour le moment attendons.

    Bien à toi,

    Anido

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