La scarification : un rituel ou l’expression d’un mal être ?

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La scarification était plutôt considéré comme un rituel. Le phénoméne prend de l’ampleur. Les adolescentes sont particuliérement touchées par ce problème.

Se démarquer, un mal être, le refus d’assumer la féminité … Les raisons avancées sont nombreuses ….

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Le sujet est tabou . Une certaine honte entoure le phénoméne. Les psychologues essaient d’expliquer cette frénésie d’automutilation. Le public concerné : les adolescentes. Les cas chez les garçons sont bien moins nombreux.

La féminité croissante facteur de ce phénoméne ? Il semble que ce soit en partie une des causes de ces automutilations. L’impression d’être prisonnier d’un corps que l’on refuse et que l’on punit par ces entailles. Le mal être de la puberté, la quête d’une idendité, le démarquage … Bien des raisons poussent ces jeunes filles à l’automutilation.

L’image d’un sang impur que l’on fait couler de ses plaies ressemble à la saignée d’antan. On expulse l’impureté, une vision bien freudienne de ce phénoméne. Imiter sa copine pour ne pas se ressentir exclu … Le sentiment de révolte contre l’autorité parentale chatiant son corps pour démontrer son indépendance.

Les cas ne sont pas isolés. D’après des statistiques, près de 14% d’adolescentes ont eu recours à ces pratiques. Après la prolifération, du "jeu du foulard", la scarification fait son entrée dans le monde de l’adolescence. Le morbide qui entoure ces pratiques m’interpelle. Une manière de franchir la frontiére des interdits ? La vie, la mort, les questions existantielles teintées de gothique …

Les réponses sont dans les questions. La société a évolué, beaucoup de tabous sont tombés, au fil des années. Les adolescents d’aujourd’hui sont prisonniers d’un système de consommation. Poussés vers le moindre phénoméne où ils auront l’exclusivité d’exprimer leurs indépendances …

21 réflexions sur « La scarification : un rituel ou l’expression d’un mal être ? »

  1. Arrêtons les conneries
    … Un article certes informatif, mais sacrément mal renseigné, aller voir ces jeunes au lieu d’écrire des choses dont vous ne connaissez rien, ni l’ampleur. Certes c’est un phénomène qui se généralise, comme la « mode » ana. Mais de là à démystifier tout… Ces jeunes – les hommes sont aussi touchés, et sont probablement les plus grave – ont besoin d’aide. Et mutilation c différent de suicide !!! Vous généralisez ceci comme un phénomène de mode que tout le monde va faire pour le fun. Je vous mets au défi de vous plantez un couteau dans le bras. On en reparlera après ! De plus les psy fr n’ont aucune formation adapté face à cette addiction !!! Et éviter de mettre dans le même sac les gens qui vont pas bien et les fanatiques !

    Le mot d’ordre : n’essayez jamais !

  2. Qu’on le veuille ou non ca ressemble à une forme de posséssion démoniaque.

    C’est de l’ordre spirituel tout ca et ceux qui le pratiquent ne savent même pas pourquoi ils le font, ils y sont poussés.

    Alors voila pourquoi ca ressemble à de la posséssion, une sorte de rituel satanique, plutôt qu’à un mal être. Bravo pour cet article Michel.

  3. Le mal-être
    Bonjour, j’ai 22 ans, dupuis l’âge de 14 ans je me scarifie les avants bras, je ne le fait pas tout le temps mais quand, par moment, je ne trouve aucunes issues à mon mal être, je fais ça et apres ça va beaucoup mieux, le mal etre est « endormi » en fait à ces moments, apres j’ai l’impression que tout ira mieu. J’avou que j’aurais besoin de reconfort par moment, qu’ont me motive vraiment et je me sent seul car personne ne peut comprendre, je pense ne pas avoir eu de bases assez solides durant mon enfance une faiblesse certainement. je me suis senti rejeté par mes parents et maintenant j’ai coupé les ponts avec eux, enfin je m’apitoi jamais sur mon sort et je cache ma douleur a tout le monde. Je ne suis pas tellment d’accord avec « l’image du sang impur… » et de cette espece de phenomene de mode, il ne faut pas tout melangé, certe il y a des adepte a ce genre de pratiques mais pour ma part c’est une sorte d’échapatoire une impression de se libéré sans se suicider (tres dur à expliquer) desolé pour les fautes d’orthographes je suis pas doué

  4. san commentaire …
    cet article é nimporte koi !! vou ne pouvez pa savoir se ke c é le commentaire de « junior » est completemen imbecile pr pa dire otre chose !!!! ken on é touché par se genre de chose, c loin detre une « possission démoniaque » !!!! vs ny connaissez rien, c libéran et ce n’est pa non plu, com dirai certain, pr se rendre interressan !
    c une fasson dexprimer ses probleme san laide de personne ! alor svp, la prochaine fois, allez vous renseigner sur notre mal etre o lieu de dire nimporte koi !!!!!!!

  5. mon exemple
    moi j’ai pratique et il m’arrive encor de le faire, je faisait cela pour exprimer des doueurs forte sur lesquelle il etait impossible de mettre des mot, le faite de me faire mal cachait la première douleur et me la faisait oublier, c’est devenue une drogue o moindre soucis je le faisait. mes parent s’en sont apercut et ils m’ont ddit que si j’arretait pas il me ferait enfermer donc j’ai fait comme si j’aretait. a l’heure d’aujourd’hui je ne ele fait plus a leur yeux alors que ce n’est aps vrai. j’essaye d’arreter mais a la moindre occasion je recommence sa me fait du bien et après mettre multiler, je sourir et je ma’amuser car quand je le fait , je ne ressens rien.

  6. moi
    je me suis aussi mutilé et je l’ai fait dernièrement quand mon ti ami m’as di qu’il reparlai à une fille qu’il avai connu ça m’as fait tellemen mal au coeur k je me suis griffée le bras jusqu’au sang il l’a vu et il essai de m’aider. j’ai commencé à faire ça lorsque celui que j’aimai s’est sucidé je ne l’ai pas supporté et j’évacuai cette douleur intérieur en me griffant le bras.

  7. fo pa me suivre
    bein voila y a ptètre les con(ne) qui le fon pour la mode mais moi si jle fait c ke c com sa que « j’évacu » tout le mal que jressen pas que quan suis dan la rue o colège ou cher d ami(e) … On me connai souriente qui rigole qui pren gout a la vie mais d que jsui tt seul je repense a tout cki mai arriver a tout cke jme reproche et ma vie que je detteste et quest merdique comme tout !!! Tout ske jgagne c perdre tout ceux qui mson chère comme si jleur donner une grav maladie et qui mourrai tousse o fur et a mesur que je vien vers eu si je fai sa c ke pour linstant sa m’enpèche de me suicider mais sa fait dj plus de 1 ans que jle fait et c un peu comme une drogue seulement personne nle comprent maintenant jsuis rendu a fair d truc que jorer jamai imaginer …

  8. La vie est déjà assez chiante comme ca dans notre société…pas besoin d’en rajouter
    Salut à tous,
    vos commentaires m’ont beaucoup touché.

    J’ai été mal un temps dans ma vie, mais j’ai compris une chose.

    Le matin en te levant tu as 2 options :
    – te désoler sur tout ce qui va pas ou sur ce que tu n’as pas
    – ou te réjouir de tout ce que tu as, car nous sommes tous des nantis. (on mange à notre faim, et on a pas de guerre proche)

    Malgré tout, je suis d’avis que la vie est faite d’expérience.
    Quand on est moins sur de soi, on a souvent tendance à faire n’importe quoi pour se sentir vivre…
    Un conseil qu’il faut que j’applique aussi : Vivez, Riez, bougez et surtout amusez-vous.

    http://www.dailymotion.com/video/xtlsz_jacques-martin-le-kit-petard-herbe_fun

  9. nécésaire
    elles sont la pour me rapeller mes erreur,
    elles sont la pour que je m’en rapelle,
    elles sont la pour qu’elles ne me quitte pas,
    elles sont la parce que je fait du mal
    et enfin, elles sont la car elles doivents disparaitres…

    Chacun ces raison, et sa na rien de satanique ou démoniaque junior, elles sont la pour des raison que toi tu ne pourra pas comprendre, personne d’ailleur…

  10. ouvré les yeux…..
    hahahahahahah
    tous ce q je vien de lire é rien q: haine, mal, scarification, malheur, posséssion,
    ou alé vous come sa, vs ete encor jeune, é la le parcour de la vie é encor encor encor plu long q vs le croyé (si dieux le ve),
    ouvré ls yeux é comparé votr mal a celui ds otr, ouvré ls yeux é pensé a ceux qi soufr +, ouvré ls yeux sur ceux qi non pa dabri, ouvré ls yeux sur ceux qi meur sans réson, ouvré ls yeux é éssayé d’abrendr de vos éreure nn pa de ls culpabilisé ou de ls gravé sur 1 bo corp, le bonheur né pa uniqemen l’amour d’un amour nn,
    pr moi la solution é q vs ne savé pa a qi parlé, cherché un ami un bon ami, ya plin, fo parlé fo dir ce qon pens ce qon croi just, ce qon ve dir é ce qon le ve pa,
    inspiré vs des cowboys, malgré tt leur parcour qi é tro dur, a chaq étap il se souviennent qils on été heureux un momen passé, é qil vont l’êtr apré lépreuve car ts fini bien si ls choses son tj ver le pir c’est qil n’on pa encor arivé a leur fin …..
    alor si qq a besoin de parlé a un étrangé (ou devenir un ami)j ss la rien ne changra en vs é rien ne changra en moi,([email protected])

  11. attention
    Bonjour,
    Je pense que cet article a été écrité à titre informatif, pour les personnes qui ne pratiquent pas comme celle qui pratiquent la scarification. Cet article est très court et reprend sans doutes certains écrit psychologiques et sociologiques, c’est un condensé, donc inutile de s’énerver. c’est vrai qu’à trop vouloir simplifier on modifie le sens et on peut agasser.
    Il est certains que lorsqu’on souffre et qu’on lit un tel article, cela doit être rageant! Même si tout n’est pas bon à prendre, il ne faut pas rejetter tout en bloc. Certaines choses sont certainement bonnes à prendre pour certaines personnes. dans tous les cas c’est un article généraliste, et tout le monde le sait, dès qu’il s’agit de souffrance, même si plusieurs personnes expriment leur souffrance de la même manière (en l’occurence la scarification) chaque personne à son histoire propre, ses propres raisons de le faire.
    Ce qui est sure c’est que c’est un moyen d’évacuer la douleur psychique. Peut être la question à se poser c’est: comment ça se fait que les personnes qui s’automutilent ou se scarifient, ne peuvent gérer leur douleur autrement que par ce moyen?
    Il faut savoir que tout le monde souffre mais que tout le monde n’est pas égal face à cette douleur: pas égal dans le sens où tout le monde n’a pas la même force ou capacité à supporter la frustration.
    Et pour « Junior »… la possession démoniaque c’est un peu bizarre cette explication non?

  12. C’est vrai que c’est un réel problème, au même titre que l’anorexie ou la boulimie. C’est comme nombre d’entre vous l’ont si bien dit un moyen d’évacuer la douleur psychique. Pourquoi s’en prendre au corps Julie?

    Et bien, pour reprendre une petite interprétation psychanalytique, les maux que l’on ressent psychiquement qu’ils soient conscients ou inconscients trouvent parfois une voie de sortie vers l’extérieur. On va « projeter » notre mal hors de notre psychisme, et essayer de le rejeter hors de notre corps. Mais cela se fera de façon différente pour tout le monde. Certains utiliseront l’art, le sport, certains se verront phobiques ou obsessionnels, et d’autres encore vont rejeter ce mal sur l’autre propre corps. Et dans le pire des cas les derniers se suicideront. Cela dépend de la douleur, de son origine qui est souvent inconsciente, et de la capacité (et la volonté) de chacun à faire face à la douleur. La mutilation est une approche directe de la pulsion de mort que nous avons tous mais qui est plus ou moins refoulée, plus ou moins conservée dans notre inconscient.

    Ce n’est pas « normal » de se mutiler (ne pensez pas que je critique, j’ai également été dans ce cas), et en psychologie c’est considéré comme un trouble névrotique important. Il est souvent le signe avant courreur d’un suicide.

    Mais le problème n’est pas là, parce que certes le corps est blessé, mais ces mutilations cicatrisent (même si je vous assure ça laisse des traces des années après!). Ce qu’il faut traiter ce n’est pas le symptôme mais la cause. Le premier pas est d’amettre que l’on a un problème. Le premier pas est de se rendre compte que se mutiler ca ne régle les choses que en apparence et de façon ponctuelle. La douleur est certes bien là mais c’est elle qui faut combattre avant tout (ou du moins essayer). Et cela ne se fait pas seul.

    Mon dernier mot sera donc de vous dire : consultez!! Ca n’a rien de honteux d’aller parler à un psychologue ou un psychiatre. Souvent ça aide à revivre. Et au pire si ca marche pas on connait au moins l’origine de notre problème et la façon d’y faire face. Les psy sont formés pour ce genre de choses. Et surtout ne pas avoir honte car nous sommes nombreuses à avoir souffert et à souffrir de ces problèmes!

    Bon courage à tous

  13. je pense que c’est un peu facile de juguer lorsqu’on vit ça de l’exterieur.
    il est vrai qu’il aura toujours plus maleureux que nous mais il ne fait pas pour autant négliguer cette souffrance. se mutiler aide beaucoup de personne à rester en vie (et je parle en connaisence de causes)et toutes personnes qui n’accepte pas ça n’a en ausun cas le droit de juguer les personnes qui ont recourent à cette pratique!
    (dsl pour les fautes d’orthographe)
    L

  14. la mutilation, scarification ,…
    est un sujet dont il ne faut pas prendre à la légère !
    bien que tabou cet acte est surtout un échapatoir vers lequel on se sent mieu et soulagé
    j’ai 15 ans , j’en suis à trois tentatives de suicides dont la derniere où je me suis retrouvée trois jours dans le coma , si je l’ecris ce n’est pas pour qu’on aille pittié de moi ou pour attirer l’attention mais juste pour vous dire que oui je sais ce que ca fais de voir son propre sang coullé, oui je sais ce que ca fait de se couper car moi ca fait depuis a peine mois mais les choses ont pris d’autres tournures
    j’ecris ce texte pour eviter une fois de plus de saigner …
    mais dans ma tete j’ai une devise qui me reste gravé :
    KAN ON VEU ON PEU !

  15. Bonjour, je suis d’accord avec ceux qui disent que cet article c’est un peu n’importe quoi :/
    J’ai 15 ans & je me scarifie depuis presque un an pour diverses raisons mais je ne l’ai jamais fait pour être à la mode ou faire comme les autres… Me scarifier m’aide à me sentir mieux après même si en général je finis par regretter à un moment ou un autre de l’avoir fait… Je n’arrive plus à m’arrêter de le faire & à chaque fois c’est de pire en pire, j’aimerais arrêter mais je n’y arrive pas… Je fais des pages et des pages sur Internet, pour trouver des forums & tout qui parlent de ça car j’ai besoin d’aide… Je ne peux plus en parler à mes amis pour lesquels j’ai définitivement arrêté & je ne peux pas aller chez une psy car je n’ose pas en parler à mes parents… Si quelqu’un à une solution… [email protected]

  16. A 15 ans il faut commencer a apprendre à lire et déjà cela sera bien plus compréhensible. Je ne parle ni de mode…ni de faire comme la copine d’en face…
    Justement en refusant d’en parler à ton entourage tu ne fais qu’accroitre ta dépendance, et le refus de communication pour x raisons n’est certainement pas la solution à ton problème.
    Alors au lieu de chercher l’introuvable commence par la communication !
    Michel

  17. J’ai 15 ans Je me multile Souvant et j’ai arrêter l’année dernière et j’ais recomencer cette anée >:(

  18. j’ai 16 ans et je me scarifie depuis l’annee derniere pour ce qui croivent que l’on est fous et que c nimporte quoi c facile de dir sa quand on a la vie de rêve des amies moi je dit quand on sait pas se que c faut meme pas metre un seul comentaire et aller retourner jouet avec ses poupees de toute facon il y a que ce qui ont vecue sa qui peuvent comprendre notre souffrance c comme la drogue c un cercle sans fin a part pour ceux qui font sa pour fair genre.

  19. je fais des recherches au lycée sur la scarification tatouage pour un devoir pourriez vous me dire si elle se pratique de la même maniére que la scarification merci 🙂

  20. pour chacun d’entre nous la scarification a une signification alors ne chercher pas trop comprendre, pour moi, je ne sais même pas pourquoi je fais sa en tout cas sa ne ma jamais dégoûter. c’est vrai que c’est quelque chose de bizarre mais en tout cas sa soulage. et ce qui dise que c’est une « mode » je ne vois pas trop de quoi il parle.

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