In memoriam Nicanor

Voici désormais de longs mois que Jacques Monnet nous a quittés,

laissant la porte de Nicanor ouverte à tous les vents.

Pour éviter que les bribes du souvenir ne s’y dispersent jusqu’à se perdre, un recueil anthologique de ses écrits (intitulé Place de l’Europe) a été constitué (puis présenté à l’édition classique, mais en vain).

 

Ses trois tomes en sont désormais disponibles en version Kindle (liseuse électronique), sous une préface de Fabien Bardoux.

Voir http://www.amazon.fr/s/ref=ntt_athr_dp_sr_1?_encoding=UTF8&field-author=Jean-Pierre%20Lamargot&search-alias=digital-text&sort=relevancerank

 

7 réflexions sur « In memoriam Nicanor »

  1. Paix à son âme, je me rappelle avoir conversé avec ce Monsieur Jacques, à un « tea time party » , on line, c’est chic, « quand même, merde! », « Une valse à trois temps, c’est beaucoup plus dansant… une valse à mille temps… » c’est beaucoup plus marrant, vous voulez dansez M JPLT 007 ? A distance si ça ne vous dérange pas, je n’aime danser que seule ou avec mon mari!
    Adieu à Messieurs Jacques.
    {youtube}UK5X_Mb9daM {/youtube}

  2. [b]Oui Jacques Brel était un grand chanteur …mais dans cent mille ans qui se souviendra encore de lui …[/b]

  3. Que voilà d’intéressants et pertinents commentaires !

    Pour aider le lecteur, il n’est pas inutile de lui indiquer que si Jacques Brel n’est pas cité dans l’article commenté, il l’est en revanche dans un commentaire d’encouragement que j’ai posté sous un article de Poissonrouge ([b]Intox autour des abcd de l’égalité[/b],
    [i]http://www.come4news.com/intox-autour-des-abcd-de-legalite-958666[/i]), pour lequel il s’était fait copieusement étriller, en particulier par les deux intervenants d’ici.

    Et dans des termes tels, que l’on n’est pas trop étonné d’apprendre que nous avons affaire à un précurseur du « [b][i]Tea Party[/i][/b] ». [i]Vous dansiez ? J’en suis fort aise…[/i]

    Mais entre nous, ne sont-ils pas dans le désarroi de se dire que, dans cent mille micro secondes (voire moins), on peinera à se souvenir d’eux, de leurs fantasmes, de leurs fantômes et de leur intolérance ? ? ?

    Et que leurs outrances n’étaient que le moyen qu’ils avaient trouvé pour se démontrer à eux mêmes leur incertaine existence…

  4. « Avec le temps va , tout s’en va… »
    On à envie de dire sauf… mais sauf quoi? on cherche… l’incertain, l’inconnu, ce mystère qui nous dépasse nous fait rêver nous fait peur, alors chuuuuuuuuut, on écoute…

    {youtube}aiXcUTTLud4&{/youtube}

  5. La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles et progressistes, mais d’échapper à ses propre archaïsmes idéologiques et/ou religieux.
    Le progrès est impossible sans changements de tout conservatisme , et ceux qui ne peuvent jamais changer leur digestion d’eux mêmes, ne peuvent ni changer le monde ni se changer eux-mêmes. » George Bernard Shaw.

    Et pour finir sur une note humoristique, à tous nos apnéeistes c4niens en anaérobie cognitive systémique , comme dirait Beckett: « Vous n’avez cessé d’essayer ? Vous n’avez cessé d’échouer ? Aucune importance ! Réessayez, échouez encore, échouez mieux. »

  6. Tout est difficile si on ne veut pas faire du facile, il faut bien quelques carcans pour s’abriter des foudres. Le facile c’est se laisser aller, cultiver la jalousie et les critiques faciles, s’accommoder des mensonges, gifler les plus faibles, s’allier à la haine, répandre l’infâme… le péché, puisque vous me parlez des religions que vous ne digérez pas, dirait-on… Ce n’est pas grave… mais pourquoi en parler alors? Elles ne sont que des souvenirs qui ont laissé des traces dans le pas de hommes, on ne les retient pas comme un premier jour, on les transmet quand même aux autres, même si personne n’est obligé d’écouter.
    Vous avez un peu raison quand même, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, mieux vaut changer pour grandir toute la vie, enfin si on peut, si on aime…

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