Etre heureux, ça s’apprend

Nous voulons tous être heureux mais nous ne savons pas toujours comment y parvenir. D’autres par contre y arrivent, sont-ils plus doués ?

Etat psychologique, le bonheur traduit l’harmonie entre deux parties de notre cerveau dotées d’un pouvoir de décision et d’une troisième partie qui régule nos besoins

Le bonheur, c’est la santé, parce que cet état de bien être déclenche en nous des sécrétions chimiques en cascade, il exerce un véritable effet bénéfique sur notre organisme. Anti-stress et euphorisant mais aussi luttant contre les douleurs, le bonheur participe au relâchement musculaire. Les recherches des médecins ont montrés que le bonheur stimule la production de globule blancs dans le corps qui sont les agents anti-infectieux et piliers de notre système immunitaire. Il stimule également la sécrétion des hormones de croissance et des hormones sexuelles, et réduit le risque d’hypertension.

Tout le monde a droit au bonheur, « le bonheur est une disposition de l’esprit », disait Louise de Vilmorin. Il est avant tout, en soi, comme un don du ciel, une capacité qu’il nous faut développer, un jardin que nous devons cultiver chaque jour.

Sa recherche et son développement nécessitent beaucoup de temps, d’attention, d’écoute, d’amour, d’énergie et sa source se trouve dans notre cerveau.

Quelque soit l’origine du bien être, affective ou même culturelle, déclenche la sécrétion d’amandamide qui est une substance chimique ayant un effet physiologique bénéfique sur notre organisme.    

Le bonheur est donc bénéfique et nécessaire pour notre corps et notre cerveau. Il est pour nous comme une drogue et les spécialistes pourraient vous aider.

7 réflexions sur « Etre heureux, ça s’apprend »

  1. Je suis allé voir bienvenue chez le chtis
    1h30 de bonheur pendant le film et une soirée de détente après le film

    un vrai moment de bonheur

  2. Le bonheur permanent c’est ce que mon fils de 15 ans m’a demandé de lui acheter si je gagnais au loto.
    Je n’ai pas encore trouvé la boutique.

  3. Je ne ressens pas du tout « qu’être heureux, ça s’apprend… » !!!

    pour moi, « être heureux » est un état de grâce très subtile, ce n’est pas qqch que l’on peut ou que l’on doit s’approprier à tout prix…

    c’est un état vers lequel chacune de nos tâches quotidiennes doit tendre.

    Ce qui est complètement différent.

    « … Il est pour nous comme une drogue et les spécialistes pourraient vous aider » :

    la fin de l’article :
    incroyable… !!! la pilule du bonheur aurait donc été découverte… ? à quel prix…?

  4. Etre heureux c’est bien. Moi je ne suis peut être pas heureux mais je suis bien, ce n’est déjà pas mal.

  5. xris pense
    moi , puisque la notion de bonheur est tout personnelle pour chacun, je suis plus heureuse à 52 balais qu’à 20
    pourtant il me reste du boulot
    je ne sais pas trop profiter du bon moment PRESENT
    je suis tjours tournée vers DEMAIN………
    Si je dis qu’il me reste du boulot, c’est que je crois qu’effectivement,
    cela s’apprends ou pluôt cela s’acquiert avec l’envie,
    c’est un etat d’esprit, je pense.
    je suis aussi ok avec KAT qui dit c’est un etat vers lequel nos tâches quotidiennes doivent tendrent/ magnifique prase pour moi

    quand on se croit malheureux(se)comme moi avant, on en veux au monde entier, de ne pas avoir çi et ça de ne pas être comme çi ou comme ça , on deteste la pluie, les journées trop chaudes, les corvées ménagères, le sourire qu’on jugera commercial, les vieux,les profs,le luxe des autres,la pauvreté, tout y passe: la liste est longue

    en fait on se déteste SOI, on se dénigre, et ça c’est grave
    j’ai vécu ça
    et j’ai complètement changé

  6. Moins on met la barre haute, plus il est facile d’être heureuse ou heureux.

    Savoir prendre du plaisir en regardant un animal, une fleur prendre le temps de profiter du moment que l’on vit.

    C’est ça le bonheur

  7. question?
    oui… merci pour toutes vos pensées sur le bonheur…

    je rajouterais que le bonheur est indissociable du malheur, tout comme la vie est indissociable de la mort, etc…

    un malheur est une épreuve qui peut être transformée par l’homme et devenir une source de bonheur.

    Je trouve que c’est là que réside le plus merveilleux possible d’espoir pour l’homme : dans le processus, sur le chemin… et pas comme qqch qu’il est possible de s’approprier demain juste en claquant des doigts au p’tit bonheur, par une technique d’apprentissage intellectuelle, ou en sortant son porte-monnaie.

    Cela se saurait…

    et oui, Vu de la Meuse, New reporter et xtiane, ce que vous dites participe également à ce processus.

    et, pour quitter un moment la notion de processus à mettre en oeuvre au quotidien (nos tâches quotidiennes), quelles sont, à votre avis, les principales sources nécessaires, intérieures à nous, pour entamer ce véritable cheminement vers le bonheur tout simple d’être ?

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