Des salaires qui ne sont pas prêts d’augmenter !

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Depuis de nombreuses années les salaires ne sont plus très attractifs compte tenu du fait qu’il n’y a pas vraiment de réelles augmentations et les jeunes actifs qui commencent dans la vie professionnelle sont déçus des salaires qu’on leur propose.

Le constat est là, les salaires font les frais à l’heure actuelle d’une conjoncture économique difficile. La crise économique est passée par là et même si les carnets de commandes des entreprises se remplissent un peu plus depuis quelques mois, il ne faut pas s’attendre pour 2011 à des hausses importantes de salaires, on parle d’une moyenne de 2,7 %  et encore pas pour toutes les catégories professionnelles et pas dans tous les secteurs d’activité.

  On est loin dans le secteur privé des hausses moyennes de 3,5 % qui étaient pratiquées durant les trente dernières années.  

Dans le secteur public c’est clair, en raison des efforts à faire en matière de la réduction des déficits publics, on peut parler de gel du salaire des fonctionnaires ou d’augmentation dérisoire, bien en dessous du taux d’inflation.

  La question qui se pose est celle de savoir si les salariés tout secteur confondu,

vont pouvoir supporter encore longtemps cette austérité salariale ?

  Tout va dépendre de la reprise économique qui reste encore très fragile. Mais si l’inflation progresse et que le chômage augmente massivement dans les mois à venir, de nombreuses personnes vont se retrouver en fin de droits et vont très vite basculer dans les minimas sociaux.  

Et si en plus de tout cela, la pression fiscale est encore plus forte avec des impôts locaux qui augmentent de façon démesurée dans certaines communes et  des remboursements de Sécurité sociale qui continuent à diminuer progressivement on peut craindre une  baisse significative du pouvoir d’achat des ménages qui risque de peser lourdement sur le moral des salariés.

 

Ne soyons pas étonné dans un tel contexte que les salariés s’accrochent à leur emploi et qu’ils s’impliquent de moins en moins dans leur travail.

Une chose est sûre, ils tolèrent de plus en plus mal les inégalités salariales et les rémunérations scandaleuses de certains dirigeants…

6 réflexions sur « Des salaires qui ne sont pas prêts d’augmenter ! »

  1. [i] »Le constat est là, les salaires font les frais à l’heure actuelle
    d’une conjoncture économique difficile. » [/i]
    [b]LVMH a vu ses ventes grimper de 24% au troisième trimestre,
    tirées par une dynamique toujours très vigoureuse pour les ventes de luxe !!!!!!!![/b]

  2. [url]http://eco.rue89.com/2010/10/13/des-candidats-us-finances-par-des-entreprises-francaises-170607[/url]

    l’argent est investi ailleurs que dans la hausse des salaires par exemple à financier les candidats US.

  3. Quand il y’a une guerre qui doit se préparer, il faut mettre de l’argent de coté et comme le business des armes est primordial il faut que des gens tirs non pas dans le vide mais sur d’autres pour que d’autres aussi se défend avec leur armes et c’est ce qui fait tourner le business des armes. C’est glauque et pervers je vous l’accord, maintenant il est là notre argent :

    [url]http://www.lefigaro.fr/politique/2008/06/17/01002-20080617ARTFIG00426-sarkozy-prepare-l-armee-a-la-menace-terroriste.php[/url]

    « Plus d’argent, moins d’hommes. Nicolas Sarkozy a annoncé des investissements militaires de [b]377 milliards d’euros[/b] d’ici 2020, assurant que ceux-ci commenceront durant son mandat. 200 milliards seront consacrés aux équipements. Le président de la République veut en effet «lever les tabous» sur l’armée, notamment sur la disponibilité des matériels. Et de citer «un char Leclerc sur deux en état de fonctionner». A l’inverse, il compte réduire les effectifs, avec un objectif de 225 000 hommes «d’ici 6 à 7 ans» (131.000 pour l’armée de terre, 55.000 pour l’armée de l’air et 44.000 pour la marine), contre 271 000 aujourd’hui. «C’est une baisse substantielle, je l’assume», a-t-il déclaré. En revanche, le deuxième porte-avions ne figure pas au titre des priorités. «Rien ne presse aujourd’hui», déclare-t-il, en reportant la décision à plus tard. »

    [b]Mais pour attaquer qui, si les munitions ne peuvent rester inutiliser[/b] ?

  4. [b]UMP, SOCIALOS, MEME COMBAT[/b]
    [b]Michel Barnier.[/b]
    « Je vois ici où là dans nos pays, y compris en France, des tendances ou des mouvements qui s’amplifient de protectionnisme, de réflexes nationaux et de populisme. Ça c’est le poison contre l’Union européenne »
    [b]Pascal Lamy PS[/b], directeur de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), déclare « la montée des tensions sur le marché des changes peut aboutir à la mise en oeuvre de mesures protectionnistes par les Etats ».

  5. [b]IL FAUT VIRER LA RACAILLE MONDIALISTE QUI NOUS GOUVERNE :[/b]
    Europe :
    Près d’un jeune adulte (18-34 ans) sur deux vit chez ses parents
    – 45% ont un emploi, mais parmi ceux-ci
    – 35% sont précaires (Eurostat)

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