Comment passer du statut de pays en voie de développement à celui de pays émergent ?


 

L’habile stratège et brillant économiste, qui est aussi l’éminent juriste inspirateur de réformes et conventions, a conseillé divers chefs d’Etat et de Gouvernement, y compris africains. Il s’explique sur le potentiel de ce continent, tout en s’insurgeant sur le fait que les pays africains soient toujours classés, depuis de nombreuses décennies, dans la catégorie des pays dits "en voie de développement". Une voie lui paraissant par trop longue. Il s’en explique tout en proposant un plan.


‘ En 1973 Alain Peyrefitte publiait son célèbre ouvrage visionnaire « Quand la Chine s’éveillera le monde tremblera ». Et elle s’est bien bien éveillée soudainement : 2ème (bientôt 1ère) puissance économique mondiale, 1ère réserve de change mondiale, ce pays communiste comptant plus de milliardaires en U$Dollars que l’Amérique

 

En 2015 ce serait «quand l’Afrique s’éveillera» tant son potentiel est énorme. Elle nécessite elle aussi un «réveil économique», puisque ne générant que 2 % des échanges économiques & commerciaux mondiaux. Moins qu’en 1948

 

Cela dû au fait qu’on a toujours vu l’Afrique uniquement comme une réserve de matières brutes, et non comme un partenaire économique. Et que l’on n’a jamais déclenché de ce fait son essor et développement, se complaisant à qualifier sempiternellement ses pays de «en voie de développement» !

 

Cela expliquant aussi que ses ressources ne sont que minières, son agriculture pourtant à fort potentiel ne représentant que… 2 % de ses exportations. Et quant à ses formidables ressources humaines, autrefois pillées dans des pages sombres et honteuses de l’Histoire, elles n’ont jamais vraiment été utilisées, alors qu’elles représentent… le quart de la population mondiale ! Ceci parce que le Monde n’importe d’Afrique que des produits bruts, sans les transformer sur place.

 

Quant aux  »contrats d’approvisionnement » de matières brutes ou premières, -ceci dit entre parenthèses- , ce sont souvent des contrats commutatifs déséquilibrés (historiquement même léonins), ne serait-ce que par leur effet pernicieux faussant la régulation normale du Marché (spot ou à terme), c’est à dire le jeu de l’offre et de la demande, composante du dit Marché. Cela est donc facteur de baisse des cours des matières premières, (ce qui se produit en ce moment), tout en empêchant ou freinant la hausse des cours. Et le bénéficiaire d’un tel contrat n’hésitera sans doute pas à faire acheter indirectement sur le Marché si les cours y deviennent plus favorables.

 

Pour son réveil, l’Afrique nécessite un modèle économique servant d’exemple mais aussi d’élément moteur et dynamiseur à effet d’entraînement, et pas seulement du pôle centralisateur et de la plate-forme d’échanges (économiques, financiers et commerciaux) qui lui fait défaut actuellement.

 

Ce Continent a besoin en effet lui aussi d’un  »Etat-modèle », de son « Singapour africain ». Lequel Eldorado peut même faire bien mieux : Car Singapour n’est ni le modèle ni l’exemple parfait, souffrant de ses imperfections et handicaps : 714 KM2 seulement ! (soit à peine plus du MILLIEME de la France), en sus répartis …en 64 îles !, et de surcroît..sans ressources naturelles !! (à l’inverse de l’Afrique)

 

Ce qui ne l’empêche pas d’être 3ème (bientôt 2ème) place financière mondiale , 2 ème port mondial, 1er PIB mondial par habitant, et plus grosse concentration mondiale de millionnaires en pourcentage de population !!

 

A partir de cet exemple, (démontrant que tout est possible avec du know-how /savoir-faire), et aussi de mon demi-siècle d’observation de l’économie politique, et enfin et surtout de l’analyse de l’insatisfaction de la demande et des besoins mondiaux, j’ai peaufiné durant 10 ans un plan économique parallèle («extérieur») basé sur une stratégie astucieuse et inédite aux multiples syngergies, visant à tirer le meilleur parti de la mondialisation et globalisation de l’Economie plutôt que d’en subir les effets.

 

Plan que je mets gracieusement à disposition de l’Etat souhaitant devenir ce fleuron et porte-flambeau de L’Afrique. Plan dont d’ailleurs la mise en place a également le mérite de ne rien coûter non plus, mais qui servira aussi de réveil et de starter à un Continent qui en a tant besoin. », conclut René Ducret, (contact : [email protected]) lequel avait annoncé la préparation de ce plan lors du 24 ème sommet France-Afrique à Cannes, auquel il était convié. (taper sur Google : « René Ducret, sommet France Afrique Cannes »).